Le président syrien Bachar al-Assad, confronté depuis 16 mois à une révolte qui s'est militarisée et réprimée dans le sang, a reçu mardi un émissaire de son allié iranien qu'il a assuré de sa détermination à "purger" le pays des "terroristes" Au lendemain de la mort, selon une ONG syrienne, de 265 personnes à travers le pays, un des bilans les plus élevés depuis le début de la contestation il y a plus de 16 mois, l'armée a poursuivi ses bombardements intensifs sur Alep (Nord), deuxième ville du pays et enjeu crucial du conflit. L'Iran accuse les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie d'aider les rebelles à faire tomber le régime Assad. Les insurgés et les Etats-Unis accusent en retour l'Iran de soutenir militairement Damas. Washington cherche un moyen de hâter la fin des combats et le processus de transition politique en Syrie, a déclaré mardi à Pretoria la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, au lendemain de la défection du Premier ministre syrien Riad Hijab, qui a rejoint l'opposition. Une réunion ministérielle sur la Syrie se tiendra au Conseil de sécurité de l'Onu le 30 août, a-t-on, par ailleurs, appris mardi auprès de diplomates. La réunion sera organisée à l'appel de la France, qui préside le Conseil en août, ont précisé ces diplomates sous couvert d'anonymat, aucune annonce officielle n'ayant encore été faite. L'Iran accuse les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie d'aider les rebelles à faire tomber le régime Assad. Les insurgés et les Etats-Unis accusent en retour l'Iran de soutenir militairement Damas. Téhéran assure que les captifs sont des pèlerins, tandis que la "brigade Al-Baraa", qui a revendiqué le rapt, assure qu'ils appartiennent aux Gardiens de la révolution, corps d'élite du régime islamique. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, était mardi à Ankara pour évoquer cette question. L'Iran a affirmé que Washington était également responsable de la vie des otages compte tenu "du soutien flagrant des Etats-Unis aux terroristes". Les Etats-Unis ont répliqué n'avoir aucune information sur l'identité et le sort de ces Iraniens. Le centre d'Alep était le théâtre de violents combats entre les rebelles et l'armée qui bombardait l'est de la ville, a indiqué l'OSDH. L'ASL a attaqué un bâtiment où étaient retranchés 300 à 400 membres de l'armée régulière, des forces de sécurité et des miliciens pro-régime, mais a dû battre en retraite face à l'intervention d'hélicoptères, a rapporté l'OSDH, rapporte l'Agence française de presse. Selon son chef, Rami Abdel Rahmane, hélicoptères et artillerie bombardent avec une violence extrême les quartiers rebelles de Salaheddine et Soukkari (Ouest et Sud-Ouest) ainsi que Sakhour et Chaar (Est), ce qui "semble préparer une offensive terrestre". Le président syrien Bachar al-Assad, confronté depuis 16 mois à une révolte qui s'est militarisée et réprimée dans le sang, a reçu mardi un émissaire de son allié iranien qu'il a assuré de sa détermination à "purger" le pays des "terroristes" Au lendemain de la mort, selon une ONG syrienne, de 265 personnes à travers le pays, un des bilans les plus élevés depuis le début de la contestation il y a plus de 16 mois, l'armée a poursuivi ses bombardements intensifs sur Alep (Nord), deuxième ville du pays et enjeu crucial du conflit. L'Iran accuse les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie d'aider les rebelles à faire tomber le régime Assad. Les insurgés et les Etats-Unis accusent en retour l'Iran de soutenir militairement Damas. Washington cherche un moyen de hâter la fin des combats et le processus de transition politique en Syrie, a déclaré mardi à Pretoria la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, au lendemain de la défection du Premier ministre syrien Riad Hijab, qui a rejoint l'opposition. Une réunion ministérielle sur la Syrie se tiendra au Conseil de sécurité de l'Onu le 30 août, a-t-on, par ailleurs, appris mardi auprès de diplomates. La réunion sera organisée à l'appel de la France, qui préside le Conseil en août, ont précisé ces diplomates sous couvert d'anonymat, aucune annonce officielle n'ayant encore été faite. L'Iran accuse les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie d'aider les rebelles à faire tomber le régime Assad. Les insurgés et les Etats-Unis accusent en retour l'Iran de soutenir militairement Damas. Téhéran assure que les captifs sont des pèlerins, tandis que la "brigade Al-Baraa", qui a revendiqué le rapt, assure qu'ils appartiennent aux Gardiens de la révolution, corps d'élite du régime islamique. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, était mardi à Ankara pour évoquer cette question. L'Iran a affirmé que Washington était également responsable de la vie des otages compte tenu "du soutien flagrant des Etats-Unis aux terroristes". Les Etats-Unis ont répliqué n'avoir aucune information sur l'identité et le sort de ces Iraniens. Le centre d'Alep était le théâtre de violents combats entre les rebelles et l'armée qui bombardait l'est de la ville, a indiqué l'OSDH. L'ASL a attaqué un bâtiment où étaient retranchés 300 à 400 membres de l'armée régulière, des forces de sécurité et des miliciens pro-régime, mais a dû battre en retraite face à l'intervention d'hélicoptères, a rapporté l'OSDH, rapporte l'Agence française de presse. Selon son chef, Rami Abdel Rahmane, hélicoptères et artillerie bombardent avec une violence extrême les quartiers rebelles de Salaheddine et Soukkari (Ouest et Sud-Ouest) ainsi que Sakhour et Chaar (Est), ce qui "semble préparer une offensive terrestre".