Des dirigeants palestiniens négocient actuellement les modalités de l'organisation d'une conférence internationale sur le Moyen-Orient avec la Russie, la Chine et quelques pays européens, a indiqué mardi à l'agence TASS, l'ambassadeur palestinien en Russie, Abdelhafiz Nofal. "Nous sommes actuellement en pourparlers avec la Russie et la Chine. Avec également des pays européens en vue d'aller vers une conférence internationale", a affirmé le diplomate palestinien. M. Nofal a réitéré que la Palestine ne considérait plus les Etats-Unis comme le seul intermédiaire dans le processus du Moyen-Orient. "Nous appelons la communauté internationale, ainsi que tous les membres du Conseil de sécurité de l'ONU incluant les Etats-Unis, à jouer un rôle dans ce dossier. Il est évident que la Russie aura un rôle majeur", a t-il dit. Selon le diplomate palestinien, Moscou serait la plate-forme préférée pour la tenue de la conférence internationale. "Nous ne le savons pas encore. Cependant, nous sommes impatients d'être à Moscou, mais cela doit être accepté par la communauté internationale", a t-il précisé. Le conseiller du président palestinien aux Affaires étrangères et aux relations internationales, Nabil Shaath, avait précédemment déclaré à TASS que la Palestine envisageait de convoquer une conférence internationale pour régler le conflit israélo-palestinien. "La Palestine est prête à renouveler les pourparlers directs avec Israël sur la base d'une conférence internationale", avait-il déclaré. Le 6 décembre dernier, le président américain Donald Trump avait annoncé sa décision de considérer El Qods comme capitale d'Israël, et avait ordonné au Département d'Etat de commencer les préparatifs en vue du transfert de l'ambassade américaine vers El Qods occupée. Le 28 décembre, l'Assemblée générale de l'ONU adopte une résolution à une majorité de 128 voix contre la reconnaissance d'El Qods comme capitale d'Israël. Pour sa part, Moscou avait affirmé la disposition de la Russie à agir en "médiateur impartial" dans le conflit israélo-palestinien. Le représentant permanent adjoint de la Russie auprès des Nations Unies, Vladimir Safronkov, avait affirmé en décembre dernier lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, "la disposition de la Russie à organiser une réunion entre dirigeants palestiniens et israéliens". "Nous sommes prêts à être des médiateurs impartiaux. La Russie entretient des relations de confiance et amicales avec toutes les nations du Moyen-Orient : les Israéliens, les Palestiniens et les Arabes. Nos liens ne sont pas entachés par l'héritage négatif du passé", avait-il alors souligné. "Nous sommes actuellement en pourparlers avec la Russie et la Chine. Avec également des pays européens en vue d'aller vers une conférence internationale", a affirmé le diplomate palestinien. M. Nofal a réitéré que la Palestine ne considérait plus les Etats-Unis comme le seul intermédiaire dans le processus du Moyen-Orient. "Nous appelons la communauté internationale, ainsi que tous les membres du Conseil de sécurité de l'ONU incluant les Etats-Unis, à jouer un rôle dans ce dossier. Il est évident que la Russie aura un rôle majeur", a t-il dit. Selon le diplomate palestinien, Moscou serait la plate-forme préférée pour la tenue de la conférence internationale. "Nous ne le savons pas encore. Cependant, nous sommes impatients d'être à Moscou, mais cela doit être accepté par la communauté internationale", a t-il précisé. Le conseiller du président palestinien aux Affaires étrangères et aux relations internationales, Nabil Shaath, avait précédemment déclaré à TASS que la Palestine envisageait de convoquer une conférence internationale pour régler le conflit israélo-palestinien. "La Palestine est prête à renouveler les pourparlers directs avec Israël sur la base d'une conférence internationale", avait-il déclaré. Le 6 décembre dernier, le président américain Donald Trump avait annoncé sa décision de considérer El Qods comme capitale d'Israël, et avait ordonné au Département d'Etat de commencer les préparatifs en vue du transfert de l'ambassade américaine vers El Qods occupée. Le 28 décembre, l'Assemblée générale de l'ONU adopte une résolution à une majorité de 128 voix contre la reconnaissance d'El Qods comme capitale d'Israël. Pour sa part, Moscou avait affirmé la disposition de la Russie à agir en "médiateur impartial" dans le conflit israélo-palestinien. Le représentant permanent adjoint de la Russie auprès des Nations Unies, Vladimir Safronkov, avait affirmé en décembre dernier lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, "la disposition de la Russie à organiser une réunion entre dirigeants palestiniens et israéliens". "Nous sommes prêts à être des médiateurs impartiaux. La Russie entretient des relations de confiance et amicales avec toutes les nations du Moyen-Orient : les Israéliens, les Palestiniens et les Arabes. Nos liens ne sont pas entachés par l'héritage négatif du passé", avait-il alors souligné.