RN 24 : Les contraintes Les travaux de dédoublement de la RN 24 n'auront aucun sens à voir les contraintes déjà en place pour « réguler » la circulation. Les ronds-points géants réalisés sur ce tronçon ne facilitent guère la mobilité des bus et autres engins longs. Aussi, ce tronçon est, à multiples endroits, entrecoupé par des routes secondaires. Le comble est atteint par cette floraison d'espaces cloutés. Il est à se demander si vraiment cette opération obéit à une étude préalable. Car d'aucuns pensent qu'il s'agit-là d'une exagération dont le but n'est certainement au profit de l'automobiliste. Wilaya déléguée de Bab El Oued : Absence d'un bureau d'ordre Plusieurs personnes se plaignent du service social au niveau du siège de la wilaya déléguée de Bab El Oued : les responsables ne daignent les recevoir que lors des jours de réception. « Nous avons des recours à déposer auprès du service social, mais à chaque fois, il nous est signifié que la responsable est soit occupée soit absente ou en réunion », déclarent, outrés, des citoyens fatigués de ces va-et- vient incessants et d'être rabroués à chaque fois. Aussi, on s'interroge sur l'absence d'un bureau d'ordre à même d'enregistrer les griefs déposés auprès de cette auguste administration. « Ils refusent d'accuser réception de nos documents », tempêtent des citoyens indignés par le mépris affiché par certains responsables. Places publiques : La dégradation continue La place des Martyrs, à La Basse Casbah, se dégrade sans que les autorités communales y prêtent attention. Les espaces situés aux alentours des bouches du métro sont devenus des réceptacles pour des détritus en tout genre. Des sans-abri et même les quelques commerçants du coin y jettent leurs ordures. Sans vergogne. Cette situation est la même dans toutes les placettes : La Casbah, Bir Mourad Raïs ou encore Aïn Benian. Seule une commune nantie comme Hydra a échappé à ce constat désolant. Les services d'hygiène communaux, les fameux BCH et les EPIC, ont, visiblement, d'autres chats à fouetter. Aucun ne s'y intéresse sauf à l'occasion d'une visite « improvisée » du président de la République dont la succession semble tenir en haleine les élus de l'APC qui redoublent de concurrence pour s'attirer les bonnes grâces du Président.