En outre, les assurés ayant des ordonnances délivrées par des chirurgiens dentistes ne sont pas servies avec la carte Chiffa. Dans pareils cas, les assurés doivent donc payer la totalité des frais des médicaments prescrits en attendant le remboursement qui ne se fera qu'ultérieurement, et encore, dans l'incertitude. Cette situation embarrasse et les assurés et le centre payeur qui prend en charge, comme on le sait, les remboursements des assurés de deux daïras (El Hachimia et Souk El Khemis). L'agence qui accuse un déficit énorme en personnel, répond, en matière de remboursement, aux besoins d'un effectif de plus de 70 000 assurés, alors que son service de contrôle médical est couvert par un seul médecin.