Suite à la décision de la LNFP et de la FAF d'instaurer la trêve hivernale plus tôt que prévu, le staff technique de la formation kabyle a décidé d'accorder une semaine de vacances à ses joueurs. Des vacances effectives depuis hier, le rendez-vous a été donné aux joueurs pour le 17 janvier, date de la reprise. Une reprise qui se fera dans un premier temps à Tizi Ouzou pour au moins une semaine, avant que l'équipe ne s'envole tel que prévu pour la Tunisie, plus précisément à Hammam Bourguiba pour une nouvelle préparation foncière. Il reste seulement à espérer que les troubles qui secouent actuellement la Tunisie ne s'étalent pas jusqu'à cette date. Faute de quoi, les Kabyles seront tenus de choisir un autre site de rechange pour préparer cette reprise du championnat prévue pour le 10 février prochain. Ce qui n'est guère un souci pour eux lorsque l'on sait qu'initialement c'était le Centre de la Lyonnaise des eaux de Casablanca (Maroc) qui était prévu avant que Rachid Belhout, le nouveau coach des Canaris, n'opte pour le site tunisien qu'il connaît bien pour y avoir effectué des séjours avec l'ES Sétif et l'O Béja, son dernier club. Par ailleurs, sur le volet recrutement, la JSK qui a connu le départ de trois joueurs cet hiver, à savoir Coulibaly, Azuka et Hamiti, n'a toujours pas enregistré la moindre nouvelle recrue. A ce propos et suite à la décision de la direction de ne pas retenir le jeune attaquant togolais, pour les raisons que nous avons invoquées dans notre dernière livraison, on croit savoir que la direction de la JSK est actuellement sur la piste d'autres joueurs africains de diverses nationalités dont elle détient des CV, notamment un Camerounais qui semble le plus intéressé les responsables de la formation kabyle qui devraient envoyer incessamment une invitation au concerné, pour qu'il puisse rejoindre Tizi Ouzou dans les tout prochains jours, en perspective des essais pour un éventuel recrutement, d'autant plus que désormais il est plus qu'urgent pour la JSK de trouver un bon avant-centre en perspective des prochaines échéances.