Mardi 19 avril, à Alger, UBIfrance, la mission économique de l'ambassade de France à Alger, dirigée par Claude Masegoza, a organisé, comme à ses habitudes, un cocktail où se sont rencontrés les différents partenaires des opérateurs français ayant participé à la 5e édition d'Equip Auto Algérie. Des professionnels de la pièce de rechange et autres équipements, entrant dans le même segment, ont profité de l'occasion pour faire connaissance avec les autres exposants et leurs partenaires. Le cadre était convivial. Le Salon de l'équipement automobile et du matériel de garage, qui s'est déroulé à la Safex (Société algérienne des foires et exportations), à Alger, du 18 au 21 avril, a vu la participation de 130 exposants. Qu'ils soient Français ou Algériens, les opérateurs de l'équipement automobile partagent les mêmes ambitions, celles de cerner un peu plus, et chaque année, les besoins du marché algérien, de plus en plus prometteur, sachant que l'Algérie détient un des plus grands parcs automobiles en Afrique. Si l'Algérie se prépare actuellement à la réalisation de la première usine de montage automobile, le marché de la pièce de rechange ne sera que boosté avec la croissance de la consommation qui sera réalisée dans ce secteur, l'occasion pour ces professionnels d'exposer également les contraintes liées à ce segment. Plusieurs opérateurs ont évoqué la dernière loi promulguée par l'ancien ministre du Commerce, El Hachemi Djaâboub. Une loi qui vise à assurer un minimum de sécurité pour les usagers algériens, mais qui rencontre dans la réalité plusieurs embûches. Contrefaçon, homologation, imitation, autant de termes-clés utilisés par les groupes de discussions formés autour du buffet soigneusement préparé pour l'occasion.