-Etusa : nouveau DG par intérim Un nouveau directeur général de l'ETUSA aurait été nommé par le ministre des Transports. Karim Yacine, soupçonné de corruption par le syndicat d'entreprise, aurait été débarqué par Amar Tou, irrité par la récurrence des mouvements de protestation au sein de l'ex-RSTA. Le syndicat a gelé son mouvement de protestation qu'il devait, rappelle-t-on, observer jeudi devant la Direction générale de l'entreprise suite au dialogue initié par le nouveau directeur par intérim pour écouter les préoccupations des travailleurs. Le syndicat avait l'intention d'empêcher le directeur général et ses collaborateurs d'accéder à l'entreprise, mais il s'est rétracté après que la direction eut accepté d'ouvrir le dialogue, a précisé le secrétaire général du syndicat de l'ETUSA, Kharoubi Mohamed, dans une déclaration à l'APS. -Rue Tanger (Alger-Centre) : lancement des travaux au bâtiment n°11 Des travaux de réhabilitation de l'immeuble n°11 de la rue Chaïb Ahmed (ex-Tanger) sont en cours. Un retard a été enregistré pour la concrétisation de cette opération dans un immeuble où un accident mortel, dû à l'affaissement du plancher, a été enregistré. Les occupants des locaux ont été déplacés, au lendemain de ce drame, et tout l'immeuble vétuste a été scellé. L'opération de réhabilitation a été prise en charge par l'APC, qui compte, nous assure-t-on, y installer, entre autres, des associations. Plusieurs immeubles de la commune sont vétustes. Le président de l'APC, Abdelhakim Bettache, a déclaré, lors d'une intervention à l'APS, que quelque 18 000 immeubles sont difficiles à prendre en charge vu la nature juridique de ces biens. -Toilettes publiques fermées L'absence de vespasiennes dans le centre-ville d'Alger est mise en avant par tout le monde, citoyens et visiteurs. A part les quelques pissotières de la faculté centrale ou de la rue Hassiba Ben Bouali, rien n'est offert aux citoyens pris par un besoin pressant, surtout les malades et les personnes âgées. Les toilettes publiques, installées par les services de wilaya, dans le cadre de l'aménagement du mobilier urbain, ne sont toujours pas fonctionnelles. Le président de l'APC a promis de les relancer.