Organisé à Skikda par la ligue locale et la DJS, le minifestival national n'a finalement pas attiré grand monde. Seules 5 ligues étaient représentées : Annaba, Béjaïa, Oran, Sétif et Skikda. Malheureusement, ces ligues n'ont engagé que des effectifs très limités. Hocine Younès, ancien président de la ligue de Skikda, membre du bureau fédéral, dira à ce sujet : « Il n'y avait qu'une trentaine d'enfants, alors que nous nous attendions à une plus forte participation. La ligue et les autorités locales avaient pourtant tout prévu en matière d'hébergement et autres. » Dommage que cette manifestation n'ait pas eu le succès attendu, alors qu'un million de dinars avait été débloqué pour la circonstance. La Fédération algérienne de tennis se doit de revoir cette formule du minifestival et essayer de trouver les raisons de cette désaffection des ligues.