Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, a affirmé que le texte de loi relatif à la protection de l'enfant visait à « asseoir les règles et les mécanismes de protection de l'enfant » en adaptant la législation nationale aux conventions, a indiqué, hier, un communiqué du Conseil de la nation. Dans un exposé sur le texte de loi relatif à la protection de l'enfant devant la commission des affaires juridiques et administratives et des droits de l'Homme du Conseil de la nation, Louh a souligné que cette loi permettra aussi la mise en place d'un cadre juridique global pour une protection sociale et juridique de deux catégories d'enfants, à savoir les enfants en détresse et les jeunes délinquants. Le représentant du gouvernement a, par ailleurs, évoqué les différentes dispositions que prévoit cette loi, précise la même source.