Le président du Front pour la justice et le développement (FJD), Abdallah Djaballah, a estimé hier à Guelma que « l'engagement politique constitue le meilleur moyen pour assurer le changement dans le pays ». Animant un meeting au théâtre régional Mohamed-Triki de Guelma à l'occasion de la commémoration du 71e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945, Djaballah a appelé à faire dans le militantisme politique, en dépit, a-t-il ajouté, de « ses résultats mitigés » pour parvenir au changement escompté. Devant ses militants et sympathisants, Djaballah a souligné que la commémoration des massacres du 8 Mai 1945 demeure une « opportunité » pour les jeunes générations pour connaître leur histoire et les sacrifices consentis sur la voie de la liberté, affirmant que le 1er Novembre 1954 était l'aboutissement de l'action du peuple algérien un certain 8 mai 1945.