Des inédits des Pink Floyd dans un coffret collector Les Pink Floyd vont sortir plusieurs morceaux inédits dans un imposant coffret collector retraçant les premières années du légendaire groupe de rock britannique, a annoncé leur label, Sony Legacy Records. The Early years - 1965-1972 sera mis en vente le 11 novembre et comprendra pas moins de 27 CD offrant notamment des titres rares et des performances en live des Pink Floyd. Parmi les chansons qui figurent dans ce coffret, une vingtaine n'avait jamais été sortie jusqu'à présent. Certaines ne sont toutefois pas inconnues pour les fans : le groupe jouait en effet souvent des morceaux originaux peu connus lors de ses concerts. Parmi ces titres inédits figure Vegetable man, écrit en 1967 par le membre fondateur Syd Barrett, qui avait quitté le groupe peu après en raison d'une maladie mentale. La chanson n'a jamais été commercialisée même s'il était possible de trouver des enregistrements pirates. Selon le manager des Pink Floyd, Peter Jenner, le bassiste et leader du groupe, Roger Waters, ne voulait pas sortir cette chanson, qu'il considérait trop sombre et inachevée. Roger Waters a, lui aussi, quitté le groupe en 1985, jurant qu'il ne voulait plus rien avoir à faire avec les Pink Floyd. Mené par David Gilmour, le groupe a sorti en 2014 The endless river, qu'il a présenté comme son dernier album. Le coffret sur ces premières années, qui sera accompagné de sept livres, dont six seront vendus séparément en 2017, ne couvre pas la période la plus faste des Pink Floyd. L'album Dark side of the moon, sorti en 1973 et en partie inspiré par les problèmes mentaux de Syd Barrett, reste l'un des plus vendus de tous les temps avec 45 millions de copies écoulées. Et l'album The wall, sorti en 1979, est aussi souvent classé parmi les meilleurs de tous les temps. Des sculptures bouddhistes exposées à Rome Une exposition regroupant 21 sculptures bouddhistes japonaises, peu accessibles et jamais sorties du Japon, sont exposées en Italie dans le cadre des célébrations des 150 ans du Traité d'Amitié et du Commerce entre les deux pays. Visibles jusqu'au 4 septembre au musée des écuries du Quirinal, ces pièces allant de la période Asuka (VIIIe siècle) à la période Kamkura (XIIIe siècle), représentent Bouddha, des bodhisattva et d'autres divinités. «Même au Japon, ces statues ne sont pas facilement accessibles, car elles doivent rester dans la pénombre des temples et des sanctuaires qui les abritent», expliquent les organisateurs. Parmi les œuvres exposées, des Bouddha en position assise et debout, une caractéristique du bouddhisme japonais - ainsi qu'une grande variété de représentations de divinités masculines et de moines. La plupart sont en bois, quelques-unes en bronze. Le bouddhisme a été introduit au Japon au VIe siècle avant de connaître son apogée sous la période Heian (794-1185), en particulier à Kyoto.