Zedam sauvé d'un retrait de permis grâce… à Raouraoua. Djamel Bendjaballah est resté 7 mois sans salaire. C'est ce que laisse entendre l'entourage du coach. L'entraîneur a réalisé une fin de saison honorable, certes, il a accompagné le MSPB en Division 2, tout en réalisant quelques rencontres honorables, comme celle contre la JSK, de l'USMH. Bendjaballah a drivé une équipe qui avait laissé une bonne impression face au CABBA et face à Chleff, malgré les défaites. Le coach devait rencontrer le président à la fin de la saison, mais pour l'heure la rencontre n'a pas eu lieu. Il vient de récupérer son contrat On se demande ce qui se serait passé, si le MSPB s'était fait battre lourdement contre la JSK, ou contre l'USMH et si l'équipe qui était opposée au CAB ne s'en était pas sortie comme on le sait, est-ce que Bendjaballah serait resté à la tête de la barre technique. Une question qui a fait sourire le coach en personne. Bendjaballah aurait-il récupéré son contrat si la Ligue ne faisait pas obligation au club de faire signer les joueurs et les entraîneurs des contrats dûment homologués ? Aujourd'hui, le coach aurait récupéré son contrat, auprès de la Ligue bien évidemment. Il a touché la même prime que les joueurs dans le derby Djamel Bendjaballah a touché le même montant de la prime du match gagné face au CAB, soit 5 millions de centimes. C'est une habitude, les entraîneurs touchent le double des primes des matchs gagnés et touchés par les joueurs. C'est une pratique courante en championnat. Zedam sauvé d'un retrait de permis grâce… à Raouraoua Le dirigeant Zedam, très connu à Batna, ne l'est pas forcément à Alger. Il y a quelques jours, le dirigeant du MSPB qui se trouvait à Alger, avait été pris en flagrant délit en train d'utiliser le téléphone portable au niveau du Palais du gouvernement. Un endroit où on trouve à un policier tous les deux mètres. Zedam, en vieux routier, a réussi à échapper aux griffes d'un policier en montrant, preuve à l'appui, qu'il était en communication avec le président de la FAF. En lisant le nom de Raouraoua sur l'afficheur du portable, le policier a laissé partir le dirigeant du MSPB. Avis aux amateurs, pour éviter de payer une contravention quand on se fait prendre en train de téléphoner, il suffit de rajouter dans son répertoire un nom connu… comme celui du président de la FAF, par les temps euphoriques d'une participation à la coupe du monde.