L'attaquant vénézuélien Issia Anderson sera usmiste jusqu'en janvier 2011. Il a signé hier un contrat de deux ans avec l'USMA. Pour rappel, les négociations avaient buté lundi passé, dans la soirée, sur la durée du contra L'attaquant vénézuélien Issia Anderson sera usmiste jusqu'en janvier 2011. Il a signé hier un contrat de deux ans avec l'USMA. Pour rappel, les négociations avaient buté lundi passé, dans la soirée, sur la durée du contrat. L'USMA avait proposé un contrat de deux et demi, alors que le joueur et son manager avaient exigé un contrat d'une année seulement. Allik leur a expliqué par la suite qu'il était impossible de signer un contrat d'une année et que les règlements n'autorisaient pas en cette période des contrats de moins de deux ans. Les négociations ont repris le lendemain en fin de journée et la partie sud-américaine a fini par accepter de signer un contrat de deux ans. Mais rien n'a été signé mardi dernier. Cette fois-ci, c'est Allik qui a voulu temporiser. Et pour cause, il ne savait pas encore qui il comptait libérer parmi ses joueurs. De plus, il craignait de se retrouver avec cinq joueurs étrangers. Le président de l'USMA a fait savoir à Anderson, et même à Cordoba, qu'il ne pouvait pas leur faire signer de contrat avant d'avoir libéré deux éléments de son effectif. Cela a constitué un problème de plus. Selon ce que nous avons pu apprendre, Anderson et Cordoba étaient inquiets, la clôture du mercato n'étant pas loin. Donc, ils risquaient de se retrouver sans club jusqu'à la fin de la saison, d'autant qu'ils ont obtenu tous les deux leurs lettres de libération. Toutefois, l'un d'eux a été définitivement rassuré hier. Il s'agit d'Anderson qui a signé hier vers 14h un contrat de 24 mois avec l'USMA. Cordoba, décision aujourd'hui En ce qui concerne Juan Cordoba, la question n'a pas encore été tranchée. On hésite encore, mais la décision ne va pas tarder à être prise, cet après-midi au plus tard. En effet, les responsables du club veulent le voir encore ce matin contre l'ASO pour trancher son cas. En fait si Cordoba est retenu, c'est Doucouré qui partira. Une option qui n'emballe guère Allik qui a toujours cru en les capacités du Malien. D'ailleurs à chaque fois qu'il était question de le libérer, le président s'y était toujours opposé. Cette fois-ci il sera contraint de le lâcher, même si c'est à contrecur. Pour preuve, Doucouré a reçu plusieurs offres, mais Allik temporise à le céder. Il a même trouvé un terrain d'entente définitif avec le RCK, mais jusqu'à présent, rien n'a été fait de manière concrète. Tout cela, parce que Allik compte le garder. En tout cas, cette difficile décision sera prise aujourd'hui. B. M.