Boukhlouf est persuadé que sa frappe avait dépassé la ligne de but... Il semble que Tahar Meredef, l'entraîneur des gardiens, ne soit plus emballé de continuer son aventure avec les Noir et Blanc. Le coach a sans doute assisté au dernier match de son équipe cette saison. Il ne sera plus sur le banc de touche de son équipe à l'avenir. Ce n'est pas tant le semi échec de son équipe qui aurait poussé le coach des gardiens à jeter l'éponge. Mais, un ras-le-bol de la situation que vit le MSPB et dont l'issue selon l'entourage du club ne semble pas prête à évoluer dans le sens souhaité par la majorité des fans du club. Il était au chevet de son père et a tenu à assister au match contre le PAC Le père de Meredef a subi une opération chirurgicale au milieu de la semaine écoulée à Sétif. Tahar Meredef a dû partager son temps entre les besoins de son père malade et à assister au match de la semaine passée qui s'était déroulé à Hydra et qui avait opposé le MSPB au PAC. Les dirigeants avaient bien sûr autorisé Meredef à s'absenter, mais auraient insisté auprès du coach de se déplacer à Alger, le samedi, pour épauler le nouveau coach, dont c'était la première présence sur le banc de touche. Après le match, Meredef est rentré à Sétif pour être au chevet de son père qui venait de quitter la table d'opération. Il était sans doute à bout de nerfs et n'aurait pas trouvé toute l'écoute dont il avait besoin de la part des dirigeants. Il avait refusé l'offre de l'USB, un bon salaire et une excellente avance au mercato Tahar Meredef avait des contacts durant le mercato. Les dirigeants du club phare des Zibans l'avaient sollicité pour venir assister Lamine Boughrara. Le désormais ex-coach du MSPB avait reçu une bonne proposition salariale et une avance intéressante, qu'un autre coach n'aurait certainement pas refusé, nous confie-t-on. Meredef avait refusé poliment l'offre de l'USB pour continuer à honorer son contrat. Il faut préciser que le coach des gardiens est signataire d'un contrat et qu'il a une licence délivrée par la FAF. ------------ Boukhlouf est persuadé que sa frappe avait dépassé la ligne de but « Il faut rendre à César ce qui appartient à César », dit l'adage. La frappe à'origine du litige qu'avait connu le match MSPB-JSS était de Lamine Boukhlouf et non pas d'Abdellaoui. En effet, la frappe avait retenti sur la transversale avant de toucher le gazon, mais de quel côté de la ligne des buts avait-elle touché le terrain ? Boukhlouf est persuadé que sa frappe avait franchi la ligne, en touchant le gazon et l'avait déclaré à ses coéquipiers. Et c'est à ce moment que le défenseur avait dégagé le cuir. Les joueurs du MSPB et le banc de touche ont longtemps réclamé auprès de « Rivaldo », l'arbitre du match. C'est ainsi que Necib est connu sur les terrains, sans succès. Les caméras de la télévision étaient présentes Les caméras de la télévision étaient présentes. Tout le monde va avoir, espérons-le, le cœur net. L'émission sportive hebdomadaire qui passe, ce soir, vers 18h 30 sur la chaine A3 devrait revenir sur les séquences essentielles du match MSPB-JSS. Faut-il pour autant qu'une caméra fut en marche au moment de la fameuse action.