«On m'a posé un ultimatum jusqu'à la fin du mois pour prolonger, mais je refuse de céder.» «Il y a de fortes chances que je joue en Espagne.» Dans une interview accordée à notre confrère d'El Heddaf, l'attaquant algérien de l'ES Tunis, Youssef Belaïli est revenu sur sa mise à l'écart par le président de son club, expliquant la raison de cet acharnement. «Je suis toujours à Tunis, où j'essaye, avec mon agent, de trouver une solution à mon problème avec les dirigeants de l'EST. Le président du club m'a écarté du groupe, car il croit que j'ai signé un pré-contrat avec la formation de Montpellier. Mes dirigeants n'ont pas accepté ma décision de ne pas prolonger et veulent tout faire pour me mettre la pression.» «On m'a posé un ultimatum jusqu'à la fin du mois pour prolonger, mais je refuse de céder» Et le joueur d'ajouter : «Je m'entraîne en solo actuellement. Je le dis une nouvelle fois, je n'ai pas fauté et je n'ai commis aucune erreur pour que le club me sanctionne. Les dirigeants veulent que je prolonge et m'ont même posé un ultimatum jusqu'à la fin du mois pour le faire, sinon je resterai éloigné des entraînements collectifs jusqu'à la fin de la saison. En tout cas, je ne compte pas céder, car je n'aime pas qu'on me fasse du chantage.» «Il y a de fortes chances que je joue en Espagne» Concernant son futur club, Belaïli a déclaré : «J'ai négocié avec Montpellier, mais il n'y a rien de concret pour l'instant. Il se pourrait bien néanmoins que j'opte pour un club espagnol. La Liga est le championnat qui me correspond le mieux, je pense. Je dévoilerai le nom de ce club lorsque ça deviendra officiel».