Dennis Rommedahl a disputé les dix matches du Danemark dans les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010. Si l'ancien ailier du PSV et de l'Ajax n'a pas trouvé le chemin des filets dans ces préliminaires, son statut de titulaire au sein de l'équipe dirigée par Morten Olsen ne fait pour autant aucun doute. L'international danois de 31 ans brille aussi par son expérience. Depuis ses débuts à Lyngby, en L1 danoise, en 1995, Rommedahl a tout connu ou presque, ce qui fait de lui l'un des membres les plus aguerris des Danish Dynamites, au même titre que Christian Poulsen, Jon Dahl Tomasson ou encore Thomas Sorensen. En Afrique du Sud, le natif de Copenhague croisera la route des Pays-Bas, son pays d'adoption. Après avoir porté les couleurs du PSV Eindhoven et du RKC Waalwijk entre 1997 et 2004, le Danois a rejoint l'Ajax Amsterdam en 2007. Pour FIFA.com, Rommedahl revient sur ses objectifs avec l'Ajax et le Danemark, mais aussi sur ce match très spécial qui l'attend cet été en Afrique du Sud. Dennis Rommedahl a disputé les dix matches du Danemark dans les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010. Si l'ancien ailier du PSV et de l'Ajax n'a pas trouvé le chemin des filets dans ces préliminaires, son statut de titulaire au sein de l'équipe dirigée par Morten Olsen ne fait pour autant aucun doute. L'international danois de 31 ans brille aussi par son expérience. Depuis ses débuts à Lyngby, en L1 danoise, en 1995, Rommedahl a tout connu ou presque, ce qui fait de lui l'un des membres les plus aguerris des Danish Dynamites, au même titre que Christian Poulsen, Jon Dahl Tomasson ou encore Thomas Sorensen. En Afrique du Sud, le natif de Copenhague croisera la route des Pays-Bas, son pays d'adoption. Après avoir porté les couleurs du PSV Eindhoven et du RKC Waalwijk entre 1997 et 2004, le Danois a rejoint l'Ajax Amsterdam en 2007. Pour FIFA.com, Rommedahl revient sur ses objectifs avec l'Ajax et le Danemark, mais aussi sur ce match très spécial qui l'attend cet été en Afrique du Sud. ,Dennis Rommedahl, vous êtes revenu dans le championnat néerlandais l'été dernier. Comment se passe votre séjour à l'Ajax ? Amsterdam est vraiment une ville magnifique. Toutes les cultures du monde sont représentées ici, ce qui rend la vie au quotidien très enrichissante. L'Ajax compte actuellement quatre points de retard sur le leader Twente Enschede. Pouvez-vous encore espérer décrocher le titre de champion des Pays-Bas ? Rien n'est perdu, nous en sommes convaincus. Nous croyons en nos chances. Si nous gagnons les prochains matches, nous terminerons la saison sur la première marche du podium. Quel regard portez-vous sur vos performances, à titre individuel ? Je suis plutôt satisfait, même si je sais que je peux faire encore mieux. Je suis particulièrement content d'avoir pu aider l'équipe dans des moments difficiles. Cela m'a permis de prendre un rôle de plus en plus important au sein du groupe. Vous avez rejoint le PSV Eindhoven à 18 ans et vous avez remporté quatre titres de champion des Pays-Bas. Cette première étape hors de votre pays d'origine a-t-elle beaucoup compté dans votre parcours ? Avec le recul, je me rends compte que j'ai fait le meilleur choix. J'ai beaucoup progressé au PSV, sportivement et humainement. Cela m'a tout de suite mis sur de bons rails. Ce fut une expérience inestimable pour moi. Vous avez ensuite rejoint Charlton. Quels souvenirs gardez-vous de votre passage en Angleterre ? Je suis très heureux d'avoir eu la chance de jouer en Premier League. Je pense sincèrement qu'il s'agit du meilleur championnat au monde. J'ai beaucoup appris là-bas aussi et tout cela m'a permis de continuer à progresser. Parlons un peu de l'équipe du Danemark. Cela fait maintenant près de dix ans que vous êtes international. Est-ce quelque chose qui compte pour vous ? Oui, je suis très fier d'être resté aussi longtemps au plus haut niveau. C'est un grand honneur pour moi de pouvoir représenter mon pays dans le monde entier. Vous avez disputé les dix matches du Danemark dans les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010. Comment voyez-vous votre rôle en équipe nationale ? Je fais partie des joueurs les plus expérimentés, donc j'essaie d'aider les plus jeunes en leur apportant quelques conseils, sur le terrain comme en dehors. Mon unique préoccupation est de faire en sorte que l'équipe soit la plus performante possible. Morten Olsen est à la tête de l'équipe nationale depuis dix ans. Quel genre d'entraîneur est-il et quelle est sa part de responsabilité dans les bons résultats du Danemark ? C'est le meilleur technicien que j'ai connu ! Il prend le temps de discuter avec chacun et il connaît le football sur le bout des doigts. Il fait le maximum pour aider chaque joueur à progresser. En retour, nous donnons tous le meilleur de nous-mêmes à chaque sortie de l'équipe nationale. Vous allez disputer cet été votre deuxième Coupe du Monde de la FIFA, après avoir participé à Corée/Japon 2002. Quels sont vos objectifs dans ce tournoi ? Nous sommes tombés dans un groupe très difficile mais nous espérons pouvoir accéder aux huitièmes de finale. Si nous passons le premier tour, nous aurons à cœur de créer la surprise. De toute façon, dans les matches à élimination directe, tout est possible. Vous affronterez les Pays-Bas, le Japon et le Cameroun au premier tour. Que pensez-vous de vos adversaires ? Evidemment, les Pays-Bas n'ont pas de secret pour moi. En revanche, je connais moins le Japon et le Cameroun. De toute façon, je suis sûr que notre entraîneur nous donnera toutes les informations utiles pour battre ces deux équipes. On peut dire que les Pays-Bas sont en quelque sorte votre seconde patrie. Comment allez-vous aborder cette rencontre face à la sélection néerlandaise ? Comme je vous l'ai dit, je connais très bien le football néerlandais. J'ai joué avec et contre de nombreux internationaux. Certains sont même devenus de bons amis. Je m'attends donc à vivre un match riche en émotions. Mais que nos supporters se rassurent : je compte bien tout faire pour que la victoire revienne au Danemark ! Dernière question : qu'attendez-vous de cette première Coupe du Monde de la FIFA organisée sur le continent africain ? Je m'attends à vivre un grand et beau tournoi, comme à chaque fois. Je suis très enthousiaste à l'idée de découvrir l'Afrique du Sud. J'ai vraiment hâte d'y être ! ,Dennis Rommedahl, vous êtes revenu dans le championnat néerlandais l'été dernier. Comment se passe votre séjour à l'Ajax ? Amsterdam est vraiment une ville magnifique. Toutes les cultures du monde sont représentées ici, ce qui rend la vie au quotidien très enrichissante. L'Ajax compte actuellement quatre points de retard sur le leader Twente Enschede. Pouvez-vous encore espérer décrocher le titre de champion des Pays-Bas ? Rien n'est perdu, nous en sommes convaincus. Nous croyons en nos chances. Si nous gagnons les prochains matches, nous terminerons la saison sur la première marche du podium. Quel regard portez-vous sur vos performances, à titre individuel ? Je suis plutôt satisfait, même si je sais que je peux faire encore mieux. Je suis particulièrement content d'avoir pu aider l'équipe dans des moments difficiles. Cela m'a permis de prendre un rôle de plus en plus important au sein du groupe. Vous avez rejoint le PSV Eindhoven à 18 ans et vous avez remporté quatre titres de champion des Pays-Bas. Cette première étape hors de votre pays d'origine a-t-elle beaucoup compté dans votre parcours ? Avec le recul, je me rends compte que j'ai fait le meilleur choix. J'ai beaucoup progressé au PSV, sportivement et humainement. Cela m'a tout de suite mis sur de bons rails. Ce fut une expérience inestimable pour moi. Vous avez ensuite rejoint Charlton. Quels souvenirs gardez-vous de votre passage en Angleterre ? Je suis très heureux d'avoir eu la chance de jouer en Premier League. Je pense sincèrement qu'il s'agit du meilleur championnat au monde. J'ai beaucoup appris là-bas aussi et tout cela m'a permis de continuer à progresser. Parlons un peu de l'équipe du Danemark. Cela fait maintenant près de dix ans que vous êtes international. Est-ce quelque chose qui compte pour vous ? Oui, je suis très fier d'être resté aussi longtemps au plus haut niveau. C'est un grand honneur pour moi de pouvoir représenter mon pays dans le monde entier. Vous avez disputé les dix matches du Danemark dans les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010. Comment voyez-vous votre rôle en équipe nationale ? Je fais partie des joueurs les plus expérimentés, donc j'essaie d'aider les plus jeunes en leur apportant quelques conseils, sur le terrain comme en dehors. Mon unique préoccupation est de faire en sorte que l'équipe soit la plus performante possible. Morten Olsen est à la tête de l'équipe nationale depuis dix ans. Quel genre d'entraîneur est-il et quelle est sa part de responsabilité dans les bons résultats du Danemark ? C'est le meilleur technicien que j'ai connu ! Il prend le temps de discuter avec chacun et il connaît le football sur le bout des doigts. Il fait le maximum pour aider chaque joueur à progresser. En retour, nous donnons tous le meilleur de nous-mêmes à chaque sortie de l'équipe nationale. Vous allez disputer cet été votre deuxième Coupe du Monde de la FIFA, après avoir participé à Corée/Japon 2002. Quels sont vos objectifs dans ce tournoi ? Nous sommes tombés dans un groupe très difficile mais nous espérons pouvoir accéder aux huitièmes de finale. Si nous passons le premier tour, nous aurons à cœur de créer la surprise. De toute façon, dans les matches à élimination directe, tout est possible. Vous affronterez les Pays-Bas, le Japon et le Cameroun au premier tour. Que pensez-vous de vos adversaires ? Evidemment, les Pays-Bas n'ont pas de secret pour moi. En revanche, je connais moins le Japon et le Cameroun. De toute façon, je suis sûr que notre entraîneur nous donnera toutes les informations utiles pour battre ces deux équipes. On peut dire que les Pays-Bas sont en quelque sorte votre seconde patrie. Comment allez-vous aborder cette rencontre face à la sélection néerlandaise ? Comme je vous l'ai dit, je connais très bien le football néerlandais. J'ai joué avec et contre de nombreux internationaux. Certains sont même devenus de bons amis. Je m'attends donc à vivre un match riche en émotions. Mais que nos supporters se rassurent : je compte bien tout faire pour que la victoire revienne au Danemark ! Dernière question : qu'attendez-vous de cette première Coupe du Monde de la FIFA organisée sur le continent africain ? Je m'attends à vivre un grand et beau tournoi, comme à chaque fois. Je suis très enthousiaste à l'idée de découvrir l'Afrique du Sud. J'ai vraiment hâte d'y être !