Le salon de l'emploi, tenu en marge du colloque international sur l'insertion professionnelle des universitaires, organisé récemment par l'université Mentouri, a été l'occasion pour le Centre de carrière de vulgariser sa mission et de se faire connaître tout simplement par l'ensemble de la communauté estudiantine. Le salon de l'emploi, tenu en marge du colloque international sur l'insertion professionnelle des universitaires, organisé récemment par l'université Mentouri, a été l'occasion pour le Centre de carrière de vulgariser sa mission et de se faire connaître tout simplement par l'ensemble de la communauté estudiantine. Inauguré le 25 novembre 2009, ce deuxième centre de carrière à l'échelle nationale symbolise l'illustration parfaite d'un programme de partenariat scellé entre l'Institut William-Davidson de l'université du Michigan (USA) et celle de Constantine. Le rôle qu'il est censé endosser est celui d'«intermédiaire entre les universitaires et le marché de l'emploi». Et partant, il procure à cette communauté une assistance adaptée aux exigences du monde du travail et des recruteurs. Un travail d'accompagnement auquel il se prête pour mettre à profit toutes les chances d'embauche. La vocation de ce centre de carrière est d'asseoir la culture de l'entreprenariat en milieu universitaire. La méthode la mieux apte pour atteindre cette visée est de rendre accessibles les outils et les mécanismes d'insertion afin de favoriser chaque profil professionnel. A commencer par la rédaction d'un curriculum-vitae (C-V), première carte maîtresse dans un dossier de recherche d'emploi. La finalité étant de multiplier ses chances d'embauche par, notamment, les entités économiques qui voudront jouer le jeu de cette stratégie, propre aux sociétés anglo-saxonnes. La constitution d'une base de données concernant les disponibilités de recrutement et des compétences professionnelles est une tâche à laquelle s'attèle l'ensemble des parties impliquées dans cette mission, dont les gestionnaires et les deux Conseils. Le Conseil de réflexion est composé d'une poignée d'étudiants en post-graduation qui y œuvrent à titre gracieux. Il fait office de lien, entre le centre et les étudiants, dans la mesure où il assure la diffusion de l'information. A préciser que le centre est établi sur le campus de la nouvelle ville Ali- Mendjeli, et de ce fait, il se situe bien loin de la plus grande concentration estudiantine, celle du campus central. L'autre partenaire représenté par les entreprises est regroupé dans le Conseil des employeurs. Y figurent des entreprises implantées à Constantine, à l'exemple de l'ENMTP, d'ISOPHARM ou encore de l'ANSEJ et de la direction de la petite et moyenne entreprise. Actuellement, le financement est à la charge du bailleur américain mais vers l'horizon 2012, la tutelle passera à l'université Mentouri. Selon le membre du CNES, Hacène Lourari, dans son intervention lors du colloque sus-cité, chaque année, 100 mille étudiants, parmi les diplômés, restent sans emploi. A peine mille micro-entreprises ont accédé au statut de PME et l'application du programme prèemploi n'aura permis, en dix ans, le recrutement définitif que de 12,5% d'universitaires. Face à ces résultats jugés peu probants en matière d'insertion professionnelle, le centre de carrière réussira-t-il là où les dispositifs de soutien à l'emploi ont échoué ? Inauguré le 25 novembre 2009, ce deuxième centre de carrière à l'échelle nationale symbolise l'illustration parfaite d'un programme de partenariat scellé entre l'Institut William-Davidson de l'université du Michigan (USA) et celle de Constantine. Le rôle qu'il est censé endosser est celui d'«intermédiaire entre les universitaires et le marché de l'emploi». Et partant, il procure à cette communauté une assistance adaptée aux exigences du monde du travail et des recruteurs. Un travail d'accompagnement auquel il se prête pour mettre à profit toutes les chances d'embauche. La vocation de ce centre de carrière est d'asseoir la culture de l'entreprenariat en milieu universitaire. La méthode la mieux apte pour atteindre cette visée est de rendre accessibles les outils et les mécanismes d'insertion afin de favoriser chaque profil professionnel. A commencer par la rédaction d'un curriculum-vitae (C-V), première carte maîtresse dans un dossier de recherche d'emploi. La finalité étant de multiplier ses chances d'embauche par, notamment, les entités économiques qui voudront jouer le jeu de cette stratégie, propre aux sociétés anglo-saxonnes. La constitution d'une base de données concernant les disponibilités de recrutement et des compétences professionnelles est une tâche à laquelle s'attèle l'ensemble des parties impliquées dans cette mission, dont les gestionnaires et les deux Conseils. Le Conseil de réflexion est composé d'une poignée d'étudiants en post-graduation qui y œuvrent à titre gracieux. Il fait office de lien, entre le centre et les étudiants, dans la mesure où il assure la diffusion de l'information. A préciser que le centre est établi sur le campus de la nouvelle ville Ali- Mendjeli, et de ce fait, il se situe bien loin de la plus grande concentration estudiantine, celle du campus central. L'autre partenaire représenté par les entreprises est regroupé dans le Conseil des employeurs. Y figurent des entreprises implantées à Constantine, à l'exemple de l'ENMTP, d'ISOPHARM ou encore de l'ANSEJ et de la direction de la petite et moyenne entreprise. Actuellement, le financement est à la charge du bailleur américain mais vers l'horizon 2012, la tutelle passera à l'université Mentouri. Selon le membre du CNES, Hacène Lourari, dans son intervention lors du colloque sus-cité, chaque année, 100 mille étudiants, parmi les diplômés, restent sans emploi. A peine mille micro-entreprises ont accédé au statut de PME et l'application du programme prèemploi n'aura permis, en dix ans, le recrutement définitif que de 12,5% d'universitaires. Face à ces résultats jugés peu probants en matière d'insertion professionnelle, le centre de carrière réussira-t-il là où les dispositifs de soutien à l'emploi ont échoué ?