La place de choix et le rôle "incontournable" de l'Algérie au sein de son triple environnement arabe, méditerranéen et africain a été souligné au ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, par de nombreux responsables au sein du Parlement européen (PE). Parmi les responsables que le ministre a rencontré lors de sa visite au Parlement européen, figurent notamment Hans-Gert Pottering, du groupe des Démocrates-Chrétiens (PPE), ancien président du Parlement européen et membre de la Commission des affaires étrangères, Gianni Pittella, vice-président du Parlement européen (Alliance progressiste des socialistes démocrates), Gabriel Albertini, président de la Commission des Affaires étrangères (PPE) et Pier Antonio Panzeri, président de la délégation pour les relations avec les pays du Maghreb et de l'Union du Maghreb arabe. Ils se sont félicité en outre de la visite du ministre au PE qui, désormais, a «un pouvoir de codécision, avec le conseil de l'Union européenne (UE), dans le cadre de la mise en œuvre du traité de Lisbonne» a-t-on souligné. Les responsables du PE ont ainsi appelé au «renforcement du partenariat entre l'Algérie et l'UE», tout en se félicitant de l'installation officielle du groupe d'amitié Algérie au PE. Mourad Medelci a, de son côté, informé ses interlocuteurs des résultats des travaux de la 5e session du conseil d'association Algérie-UE qui s'est tenue le 15 juin à Luxembourg, sous la présidence du ministre espagnol des Affaires étrangères au titre de la présidence en exercice de l'UE, Miguel Angel Moratinos. Par ailleurs, pour le président de la commission des Affaires étrangères du Parlement européen, l'Algérie trouvera «une très grande disponibilité» auprès de la commission qu'il préside en ce qui concerne les ajustements à apporter à l'Accord d'association, car la commission estime que la situation a changé et qu'il est utile de prendre en considération les contraintes des pays associés à l'UE. Outre les relations de l'Algérie avec l'UE et les perspectives à moyen et long termes, Medelci a également évoqué avec l'ensemble de ses interlocuteurs «la situation grave» qui prévaut au Proche-Orient, la construction maghrébine et les défis auxquels elle se heurte ainsi que les difficultés qui entravent le processus de l'UPM La place de choix et le rôle "incontournable" de l'Algérie au sein de son triple environnement arabe, méditerranéen et africain a été souligné au ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, par de nombreux responsables au sein du Parlement européen (PE). Parmi les responsables que le ministre a rencontré lors de sa visite au Parlement européen, figurent notamment Hans-Gert Pottering, du groupe des Démocrates-Chrétiens (PPE), ancien président du Parlement européen et membre de la Commission des affaires étrangères, Gianni Pittella, vice-président du Parlement européen (Alliance progressiste des socialistes démocrates), Gabriel Albertini, président de la Commission des Affaires étrangères (PPE) et Pier Antonio Panzeri, président de la délégation pour les relations avec les pays du Maghreb et de l'Union du Maghreb arabe. Ils se sont félicité en outre de la visite du ministre au PE qui, désormais, a «un pouvoir de codécision, avec le conseil de l'Union européenne (UE), dans le cadre de la mise en œuvre du traité de Lisbonne» a-t-on souligné. Les responsables du PE ont ainsi appelé au «renforcement du partenariat entre l'Algérie et l'UE», tout en se félicitant de l'installation officielle du groupe d'amitié Algérie au PE. Mourad Medelci a, de son côté, informé ses interlocuteurs des résultats des travaux de la 5e session du conseil d'association Algérie-UE qui s'est tenue le 15 juin à Luxembourg, sous la présidence du ministre espagnol des Affaires étrangères au titre de la présidence en exercice de l'UE, Miguel Angel Moratinos. Par ailleurs, pour le président de la commission des Affaires étrangères du Parlement européen, l'Algérie trouvera «une très grande disponibilité» auprès de la commission qu'il préside en ce qui concerne les ajustements à apporter à l'Accord d'association, car la commission estime que la situation a changé et qu'il est utile de prendre en considération les contraintes des pays associés à l'UE. Outre les relations de l'Algérie avec l'UE et les perspectives à moyen et long termes, Medelci a également évoqué avec l'ensemble de ses interlocuteurs «la situation grave» qui prévaut au Proche-Orient, la construction maghrébine et les défis auxquels elle se heurte ainsi que les difficultés qui entravent le processus de l'UPM