La résorption du problème du logement en Algérie nécessite la création d'un "véritable" marché de l'immobilier a affirmé hier le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, M. Noureddine Moussa. La résorption du problème du logement en Algérie nécessite la création d'un "véritable" marché de l'immobilier a affirmé hier le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, M. Noureddine Moussa. S'exprimant sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, M. Moussa a expliqué que "la formation d'un véritable marché de l'immobilier contribuera efficacement à la résorption du problème du logement en Algérie". Le ministre a évoqué la décision de l'Etat, en 2007, de réduire l'impôt sur les revenus des biens immobiliers et la mise en vigueur d'une loi qui protège les droits des bailleurs dans le but d'encourager la location des logements privés. Il a estimé que les 3.700 milliards DA alloués au secteur dans le cadre du programme d'investissement public 2010-2014 vont permettre de développer davantage l'offre nationale ainsi que l'émergence des entreprises nationales et la création de nouvelles entités. Le ministre a rappelé, dans ce sens, que 93% des logements réceptionnés lors du quinquennat 2005-2009 ont été construits par des entreprises nationales qui ont atteint actuellement le nombre de 31.900 entreprises spécialisées. "Il existe même des wilayas où l'ensemble des logements réceptionnés ont été construits par des entreprises algériennes", s'est-il félicité. Interrogé sur les priorités de son secteur au cours du quinquennat 2010-2014, il a expliqué que la construction de 1,2 million de nouveaux logements figure parmi les priorités du gouvernement pour les cinq années à venir. M. Moussa a réitéré, toutefois, que ce quinquennat est celui de la construction de logements de qualité à travers la normalisation des différents actes de gestion contenus dans le processus de la construction. Afin de mener à terme cet ambitieux programme qui consiste à construire de 2010 à 2014 quelque 240.000 unités/an, le ministre a fait savoir que des directives ont été données aux différentes parties concernées, notamment en matière d'aménagement des assiettes foncières nécessaires aux projets et d'équité dans la répartition des programmes de construction entre les régions du pays. S'agissant du logement promotionnel aidé (LPA) qui regroupe à la fois le logement social participatif (LSP) et le logement location vente (AADL), le ministre a expliqué que des "correctifs" ont été apportés à travers cette nouvelle formule dans le but d'assurer une meilleure traçabilité et une plus grande équité dans l'attribution. S'exprimant sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, M. Moussa a expliqué que "la formation d'un véritable marché de l'immobilier contribuera efficacement à la résorption du problème du logement en Algérie". Le ministre a évoqué la décision de l'Etat, en 2007, de réduire l'impôt sur les revenus des biens immobiliers et la mise en vigueur d'une loi qui protège les droits des bailleurs dans le but d'encourager la location des logements privés. Il a estimé que les 3.700 milliards DA alloués au secteur dans le cadre du programme d'investissement public 2010-2014 vont permettre de développer davantage l'offre nationale ainsi que l'émergence des entreprises nationales et la création de nouvelles entités. Le ministre a rappelé, dans ce sens, que 93% des logements réceptionnés lors du quinquennat 2005-2009 ont été construits par des entreprises nationales qui ont atteint actuellement le nombre de 31.900 entreprises spécialisées. "Il existe même des wilayas où l'ensemble des logements réceptionnés ont été construits par des entreprises algériennes", s'est-il félicité. Interrogé sur les priorités de son secteur au cours du quinquennat 2010-2014, il a expliqué que la construction de 1,2 million de nouveaux logements figure parmi les priorités du gouvernement pour les cinq années à venir. M. Moussa a réitéré, toutefois, que ce quinquennat est celui de la construction de logements de qualité à travers la normalisation des différents actes de gestion contenus dans le processus de la construction. Afin de mener à terme cet ambitieux programme qui consiste à construire de 2010 à 2014 quelque 240.000 unités/an, le ministre a fait savoir que des directives ont été données aux différentes parties concernées, notamment en matière d'aménagement des assiettes foncières nécessaires aux projets et d'équité dans la répartition des programmes de construction entre les régions du pays. S'agissant du logement promotionnel aidé (LPA) qui regroupe à la fois le logement social participatif (LSP) et le logement location vente (AADL), le ministre a expliqué que des "correctifs" ont été apportés à travers cette nouvelle formule dans le but d'assurer une meilleure traçabilité et une plus grande équité dans l'attribution.