Des heurts ont éclaté entre de jeunes chômeurs et les forces de l'ordre, dans la matinée d'hier, sur la RN12 à hauteur de la commune de Naciria, à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Vers 10h30, plusieurs jeunes chômeurs ont fermé, à l'aide de pneus brûlés et troncs d'arbres, la RN 12 à la circulation pour réclamer des postes d'emploi. Selon des protestataires, plus de 1.000 lettres d'orientation leur ont été attribuées par l'Anem au moment où les capacités de recrutement au niveau de la municipalité ne dépassent pas la centaine de jeunes à recaser. L'intervention des forces de l'ordre pour disperser la foule et rétablir le trafic routier n'a pas été du goût des jeunes qui ne sont pas restés bras croisés. Ils ont lancé divers projectiles et pierres sur les forces antiémeutes qui ont répliqué par des bombes lacrymogènes. Cet échange n'a heureusement duré qu'une quarantaine de minutes avant que la route ne soit libérée. Mais il n'empêche que la circulation routière a été perturbée durant plusieurs heures et des files interminables de véhicules se sont formées dans les deux sens. Plusieurs automobilistes ont été contraints de rebrousser chemin où de contourner la ville de Bordj Ménaïel, pour rejoindre leurs destinations. Des heurts ont éclaté entre de jeunes chômeurs et les forces de l'ordre, dans la matinée d'hier, sur la RN12 à hauteur de la commune de Naciria, à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Vers 10h30, plusieurs jeunes chômeurs ont fermé, à l'aide de pneus brûlés et troncs d'arbres, la RN 12 à la circulation pour réclamer des postes d'emploi. Selon des protestataires, plus de 1.000 lettres d'orientation leur ont été attribuées par l'Anem au moment où les capacités de recrutement au niveau de la municipalité ne dépassent pas la centaine de jeunes à recaser. L'intervention des forces de l'ordre pour disperser la foule et rétablir le trafic routier n'a pas été du goût des jeunes qui ne sont pas restés bras croisés. Ils ont lancé divers projectiles et pierres sur les forces antiémeutes qui ont répliqué par des bombes lacrymogènes. Cet échange n'a heureusement duré qu'une quarantaine de minutes avant que la route ne soit libérée. Mais il n'empêche que la circulation routière a été perturbée durant plusieurs heures et des files interminables de véhicules se sont formées dans les deux sens. Plusieurs automobilistes ont été contraints de rebrousser chemin où de contourner la ville de Bordj Ménaïel, pour rejoindre leurs destinations.