Quatre ateliers inhérents aux ressources humaines et au transfert de savoir-faire interne en Algérie ont été animés, hier, par des dirigeants d'entreprise, lors de la seconde journée du forum de partenariat algéro-français. Quatre ateliers inhérents aux ressources humaines et au transfert de savoir-faire interne en Algérie ont été animés, hier, par des dirigeants d'entreprise, lors de la seconde journée du forum de partenariat algéro-français. Il s'agit de l'intervention d'Abdelmalek Lesbet qui a présenté une communication relative au pari de la jeunesse chez BNP Paribas en développant, notamment, la stratégie de cette banque en matière de recrutement et de formation des personnels et cadres techniques.«L'objectif de BNP Paribas El Djazaïr est de permettre à ses collaborateurs de se développer dans un environnement professionnel basé sur la performance, l'évolution par le mérite et l'égalité des chances», a-t-il souligné. Il estime également que «cet objectif se concrétise dès le recrutement grâce à un séminaire d'intégration, auquel participent les jeunes recrutés, au sein de notre centre de développement des compétences. Sous l'encadrement et l'animation de formateurs de BNP Paribas El Djazaïr, ils découvrent le Groupe et ses valeurs, l'organisation de la banque en Algérie, ses métiers, ses actualités». Le laboratoire Sanofi Aventis Algérie, qui est fortement représenté à ce forum, confirme son engagement sur le marché algérien avec la construction d'une nouvelle usine de production et d'un centre de distribution au sein du technopôle de Sidi Abdellah.Ainsi, pour son directeur général, Thierry Lefèvre, Sanofi Aventis «confirme sa volonté d'accompagner le développement économique du pays, notamment à travers l'extension de ses investissements», en précisant également que «cet accord est d'un montant financier de 6,6 milliards DA et consiste à consolider la présence de ce laboratoire en Algérie». Lefèvre ajoute que «nous sommes très heureux de la construction de cette usine Sanofi Aventis en Algérie. Notre objectif à terme est de fabriquer localement 80 à 85% des produits commercialisés sous nos différentes marques». Les responsables de ce laboratoire indiquent également que «la nouvelle implantation de cette usine confirme l'engagement de Sanofi Aventis en faveur du développement de l'industrie pharmaceutique locale. Elle témoigne également des belles perspectives de ce secteur en Algérie et devrait permettre de recruter de nombreux employés dans la région».Première entreprise privée en Algérie dans son secteur d'activité, elle est implantée depuis 1997 à travers deux usines de fabrication (Aïn Benian et Oued Smar), Aanofi Aventis connaît depuis près de 15 ans une forte croissance et occupe aujourd'hui une position de leader avec 13,5% de parts de marché et un effectif de près de 630 personnes. Sanofi Aventis met le paquet «Nous travaillons depuis de nombreuses années avec les institutions publiques algériennes afin de fournir des médicaments adaptés aux besoins du marché local, notamment dans les domaines de l'oncologie et du diabète, des maladies thrombotiques, cardiovasculaires, du système nerveux central, ainsi que de la médecine interne. Il devenait indispensable d'accroître nos capacités en termes de production locale afin de poursuivre la croissance et le développement que nous avons connus ces dernières années», a-t-il indiqué.Relatant sa collaboration et sa coopération avec l'Etat algérien, il dira que «cette usine va nous permettre d'être plus proches de nos clients et de renforcer notre capacité à satisfaire leurs besoins. Nous allons ainsi étendre notre présence sur le marché local et contribuer à soutenir les objectifs menés par la politique de santé des autorités algériennes».Pour sa part, Karim Cheriet a exposé l'exemple de Renault académie de Boufarik, affirmant que cette entreprise a consenti un investissement de 150 millions DA, mais elle investit aussi dans la formation et le perfectionnement des ressources humaines et des cadres techniques. Concernant l'entreprise Seaal, son représentant, Rachid Terra, a expliqué la méthode de gestion utilisée au sein de cette entreprise en mettant en relief le transfert de savoir-faire. «Les objectifs fixés par les autorités, pour les 5 ans et demi, en termes d'accès à l'eau et de qualité de service, sont atteints à près de 99% aujourd'hui, à savoir le H24 est passé de 8% des clients en 2006, à 100%. L'eau est 100% potable depuis mai 2008. Le taux de traitement des eaux usées sur Alger est passé de 7% en 2006 à 53% aujourd'hui. Il atteindra plus de 70% en 2015 et 100% vers 2020» a-t-il souligné. Il s'agit de l'intervention d'Abdelmalek Lesbet qui a présenté une communication relative au pari de la jeunesse chez BNP Paribas en développant, notamment, la stratégie de cette banque en matière de recrutement et de formation des personnels et cadres techniques.«L'objectif de BNP Paribas El Djazaïr est de permettre à ses collaborateurs de se développer dans un environnement professionnel basé sur la performance, l'évolution par le mérite et l'égalité des chances», a-t-il souligné. Il estime également que «cet objectif se concrétise dès le recrutement grâce à un séminaire d'intégration, auquel participent les jeunes recrutés, au sein de notre centre de développement des compétences. Sous l'encadrement et l'animation de formateurs de BNP Paribas El Djazaïr, ils découvrent le Groupe et ses valeurs, l'organisation de la banque en Algérie, ses métiers, ses actualités». Le laboratoire Sanofi Aventis Algérie, qui est fortement représenté à ce forum, confirme son engagement sur le marché algérien avec la construction d'une nouvelle usine de production et d'un centre de distribution au sein du technopôle de Sidi Abdellah.Ainsi, pour son directeur général, Thierry Lefèvre, Sanofi Aventis «confirme sa volonté d'accompagner le développement économique du pays, notamment à travers l'extension de ses investissements», en précisant également que «cet accord est d'un montant financier de 6,6 milliards DA et consiste à consolider la présence de ce laboratoire en Algérie». Lefèvre ajoute que «nous sommes très heureux de la construction de cette usine Sanofi Aventis en Algérie. Notre objectif à terme est de fabriquer localement 80 à 85% des produits commercialisés sous nos différentes marques». Les responsables de ce laboratoire indiquent également que «la nouvelle implantation de cette usine confirme l'engagement de Sanofi Aventis en faveur du développement de l'industrie pharmaceutique locale. Elle témoigne également des belles perspectives de ce secteur en Algérie et devrait permettre de recruter de nombreux employés dans la région».Première entreprise privée en Algérie dans son secteur d'activité, elle est implantée depuis 1997 à travers deux usines de fabrication (Aïn Benian et Oued Smar), Aanofi Aventis connaît depuis près de 15 ans une forte croissance et occupe aujourd'hui une position de leader avec 13,5% de parts de marché et un effectif de près de 630 personnes. Sanofi Aventis met le paquet «Nous travaillons depuis de nombreuses années avec les institutions publiques algériennes afin de fournir des médicaments adaptés aux besoins du marché local, notamment dans les domaines de l'oncologie et du diabète, des maladies thrombotiques, cardiovasculaires, du système nerveux central, ainsi que de la médecine interne. Il devenait indispensable d'accroître nos capacités en termes de production locale afin de poursuivre la croissance et le développement que nous avons connus ces dernières années», a-t-il indiqué.Relatant sa collaboration et sa coopération avec l'Etat algérien, il dira que «cette usine va nous permettre d'être plus proches de nos clients et de renforcer notre capacité à satisfaire leurs besoins. Nous allons ainsi étendre notre présence sur le marché local et contribuer à soutenir les objectifs menés par la politique de santé des autorités algériennes».Pour sa part, Karim Cheriet a exposé l'exemple de Renault académie de Boufarik, affirmant que cette entreprise a consenti un investissement de 150 millions DA, mais elle investit aussi dans la formation et le perfectionnement des ressources humaines et des cadres techniques. Concernant l'entreprise Seaal, son représentant, Rachid Terra, a expliqué la méthode de gestion utilisée au sein de cette entreprise en mettant en relief le transfert de savoir-faire. «Les objectifs fixés par les autorités, pour les 5 ans et demi, en termes d'accès à l'eau et de qualité de service, sont atteints à près de 99% aujourd'hui, à savoir le H24 est passé de 8% des clients en 2006, à 100%. L'eau est 100% potable depuis mai 2008. Le taux de traitement des eaux usées sur Alger est passé de 7% en 2006 à 53% aujourd'hui. Il atteindra plus de 70% en 2015 et 100% vers 2020» a-t-il souligné.