Les disponibilités bancaires étaient de 5.000 milliards DA en 2010 dont un peu plus de 3.000 milliards DA ont été destinés aux crédits à l'économie, ce qui veut dire que 2.000 milliards DA restent sous forme de surliquidités chez les banques. C'est ce qu'a déclaré jeudi un économiste de la banque centrale. Le "système financier informel", engendré par l'économie informelle, la faiblesse relative des crédits, la sous-bancarisation, la faiblesse de l'utilisation des chèques et de la monétique, est un autre défi pour la politique monétaire, qui s'ajoute au problème des "surliquidités bancaires à gérer". a-t-il relevé. Sur un autre registre, le contrôle de l'inflation constitue désormais le premier objectif de la politique monétaire menée par la Banque d'Algérie (BA), a indiqué jeudi à Alger, son gouverneur Mohamed Laksaci. La BA procède à "un suivi rigoureux des processus inflationnistes" en Algérie, inspiré des leçons de la crise financière internationale et de la "réforme profonde" de la politique monétaire introduite par l'amendement de la loi sur la monnaie et le crédit en 2010, a-t-il souligné lors d'une réunion animée au siège de la Banque autour de l'inflation. Les disponibilités bancaires étaient de 5.000 milliards DA en 2010 dont un peu plus de 3.000 milliards DA ont été destinés aux crédits à l'économie, ce qui veut dire que 2.000 milliards DA restent sous forme de surliquidités chez les banques. C'est ce qu'a déclaré jeudi un économiste de la banque centrale. Le "système financier informel", engendré par l'économie informelle, la faiblesse relative des crédits, la sous-bancarisation, la faiblesse de l'utilisation des chèques et de la monétique, est un autre défi pour la politique monétaire, qui s'ajoute au problème des "surliquidités bancaires à gérer". a-t-il relevé. Sur un autre registre, le contrôle de l'inflation constitue désormais le premier objectif de la politique monétaire menée par la Banque d'Algérie (BA), a indiqué jeudi à Alger, son gouverneur Mohamed Laksaci. La BA procède à "un suivi rigoureux des processus inflationnistes" en Algérie, inspiré des leçons de la crise financière internationale et de la "réforme profonde" de la politique monétaire introduite par l'amendement de la loi sur la monnaie et le crédit en 2010, a-t-il souligné lors d'une réunion animée au siège de la Banque autour de l'inflation.