Durant les journées de Ramadhan, coïncidant cette année avec la période des vacances, beaucoup de Khenchelis ont pris l'habitude de prendre le chemin des sources d'eau, dont les plus célèbres sont Aïn El-Kerma, Aïn Safa, Kentina, Aïn Silane et Temrisset. Durant les journées de Ramadhan, coïncidant cette année avec la période des vacances, beaucoup de Khenchelis ont pris l'habitude de prendre le chemin des sources d'eau, dont les plus célèbres sont Aïn El-Kerma, Aïn Safa, Kentina, Aïn Silane et Temrisset. Densément boisés en général, les sites naturels de ces sources procurent calme et quiétude et incitent les automobilistes à prendre des moments de détente et de délassement avant de remplir leurs bouteilles et jerricans d'eau fraîche immanquablement présentée sur la méida du f'tour. Les forêts de Chélia, Yabous, Bouhamma et Lemsara tout comme les bois de Hammam Essalihine, Chaâbat El-Ghoula, Djebel Sardoun, Hamma K'nif et Aïn Mimoune, connus pour leurs multiples sources innombrables, deviennent, dans l'après-midi, des refuges pour les dizaines de Khenchelis en familles ou en groupe d'amis, indique l'APS. Richement boisée, la région montagneuse du nord de la wilaya de Khenchela, où trône le célèbre pic de Ras Kaltoum qui culmine à 2.328 mètres d'altitude, accueille depuis le début de l'été des estivants de Biskra, d'El-Oued et du Sud de Khenchela. Les espaces ouverts de ces milieux naturels attirent également les groupes de jeunes qui y passent le plus clair de la journée à l'ombre de grands et majestueux cèdres et des pins d'Alep, noyés dans les effluves de la forêt, à jouer aux cartes, aux dominos, aux échecs ou encore à jouer de la musique. D'autres profitent de ces virées en montagne pour rendre visite à leurs proches dans les villages des environs et trouvent là une occasion pour s'approvisionner en produits frais de la ferme (lait, petit-lait, œufs) et les fruits de saison (figues et figues de barbarie). Adepte de ces évasions, Hamzaoui affirme à l'APS se rendre deux à trois fois par semaine à la source de Aïn Safa, dans la commune de Tamza, pour s'approvisionner en eau de source et permettre à ses enfants de profiter de l'air pur de la forêt avoisinante. Les gens y viennent de Khenchela, Kaïs et même de Chechar. Quant à Hamoudi, habitant de Ouled Archach (28 km de Khenchela), lui vient chaque deux jours pour l'eau de Aïn El-Kerma de la cité Boujelbana du chef-lieu de wilaya, une source limpide, connue depuis des siècles et chantée par la voix puissante de Aïssa el-Djarmouni, célèbre chanteur chaoui qui vécut non loin de là, et est mort en 1946. La chanteuse Zoulikha, native aussi de cette cité, a célébré cette source également, tout comme, aujourd'hui, le grand artiste Abdelhamid Bouzaher. A 4 km seulement de Khenchela, les bois de Hammam Essalihine deviennent en fin d'après-midi, le rendez-vous des familles khenchelies qui y viennent avec leurs enfants pour profiter de la fraîcheur et des aires de jeux aménagées par la commune. Kamel Abdouni affirme fréquenter cette forêt chaque jour à partir de 17 heures, accompagné de ses enfants et de son épouse qui a pris soins, auparavant, de "tout régler" dans la cuisine pour le f'tour. Le manque d'aménagements sur ces espaces ouverts à Chelia, Yabous ou encore à Hammam K'nif limite les possibilités pour les familles de profiter pleinement de ces magnifiques et enchanteurs sites naturels, regrettent toutefois nombre d'habitués de ces lieux, souligne l'APS pour conclure. Densément boisés en général, les sites naturels de ces sources procurent calme et quiétude et incitent les automobilistes à prendre des moments de détente et de délassement avant de remplir leurs bouteilles et jerricans d'eau fraîche immanquablement présentée sur la méida du f'tour. Les forêts de Chélia, Yabous, Bouhamma et Lemsara tout comme les bois de Hammam Essalihine, Chaâbat El-Ghoula, Djebel Sardoun, Hamma K'nif et Aïn Mimoune, connus pour leurs multiples sources innombrables, deviennent, dans l'après-midi, des refuges pour les dizaines de Khenchelis en familles ou en groupe d'amis, indique l'APS. Richement boisée, la région montagneuse du nord de la wilaya de Khenchela, où trône le célèbre pic de Ras Kaltoum qui culmine à 2.328 mètres d'altitude, accueille depuis le début de l'été des estivants de Biskra, d'El-Oued et du Sud de Khenchela. Les espaces ouverts de ces milieux naturels attirent également les groupes de jeunes qui y passent le plus clair de la journée à l'ombre de grands et majestueux cèdres et des pins d'Alep, noyés dans les effluves de la forêt, à jouer aux cartes, aux dominos, aux échecs ou encore à jouer de la musique. D'autres profitent de ces virées en montagne pour rendre visite à leurs proches dans les villages des environs et trouvent là une occasion pour s'approvisionner en produits frais de la ferme (lait, petit-lait, œufs) et les fruits de saison (figues et figues de barbarie). Adepte de ces évasions, Hamzaoui affirme à l'APS se rendre deux à trois fois par semaine à la source de Aïn Safa, dans la commune de Tamza, pour s'approvisionner en eau de source et permettre à ses enfants de profiter de l'air pur de la forêt avoisinante. Les gens y viennent de Khenchela, Kaïs et même de Chechar. Quant à Hamoudi, habitant de Ouled Archach (28 km de Khenchela), lui vient chaque deux jours pour l'eau de Aïn El-Kerma de la cité Boujelbana du chef-lieu de wilaya, une source limpide, connue depuis des siècles et chantée par la voix puissante de Aïssa el-Djarmouni, célèbre chanteur chaoui qui vécut non loin de là, et est mort en 1946. La chanteuse Zoulikha, native aussi de cette cité, a célébré cette source également, tout comme, aujourd'hui, le grand artiste Abdelhamid Bouzaher. A 4 km seulement de Khenchela, les bois de Hammam Essalihine deviennent en fin d'après-midi, le rendez-vous des familles khenchelies qui y viennent avec leurs enfants pour profiter de la fraîcheur et des aires de jeux aménagées par la commune. Kamel Abdouni affirme fréquenter cette forêt chaque jour à partir de 17 heures, accompagné de ses enfants et de son épouse qui a pris soins, auparavant, de "tout régler" dans la cuisine pour le f'tour. Le manque d'aménagements sur ces espaces ouverts à Chelia, Yabous ou encore à Hammam K'nif limite les possibilités pour les familles de profiter pleinement de ces magnifiques et enchanteurs sites naturels, regrettent toutefois nombre d'habitués de ces lieux, souligne l'APS pour conclure.