La présidente du tribunal correctionnel de première instance de Sidi M'hamed (Alger) a annoncé, hier, que le verdict dans l'affaire de malversation en 2007 au profit de la société Algerian Business Multimedia (ABM) et dans laquelle sont poursuivis Oultache Chouaib et 24 autres inculpés sera prononcé le 9 novembre prochain. Le procureur de la République près le tribunal correctionnel de première instance de Sidi M'hamed (Alger) avait requis, samedi, une peine de dix années de prison à l'encontre des 25 inculpés accusés de passation de marchés publics en violation de la législation, dilapidation de deniers publics et trafic d'influence. Avant de fixer la date du verdict, la présidente du tribunal a demandé aux inculpés, qui ont nié tous les faits qui leur sont reprochés, de faire leurs dernières déclarations. Le cinquième et dernier jour du procès a été marqué par la plaidoirie des avocats qui ont estimé que l'accusation de dilapidation des deniers publics était "infondée", indiquant que les équipements informatiques faisant l'objet du marché se trouvent au niveau de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) et "fonctionnent normalement". La présidente du tribunal correctionnel de première instance de Sidi M'hamed (Alger) a annoncé, hier, que le verdict dans l'affaire de malversation en 2007 au profit de la société Algerian Business Multimedia (ABM) et dans laquelle sont poursuivis Oultache Chouaib et 24 autres inculpés sera prononcé le 9 novembre prochain. Le procureur de la République près le tribunal correctionnel de première instance de Sidi M'hamed (Alger) avait requis, samedi, une peine de dix années de prison à l'encontre des 25 inculpés accusés de passation de marchés publics en violation de la législation, dilapidation de deniers publics et trafic d'influence. Avant de fixer la date du verdict, la présidente du tribunal a demandé aux inculpés, qui ont nié tous les faits qui leur sont reprochés, de faire leurs dernières déclarations. Le cinquième et dernier jour du procès a été marqué par la plaidoirie des avocats qui ont estimé que l'accusation de dilapidation des deniers publics était "infondée", indiquant que les équipements informatiques faisant l'objet du marché se trouvent au niveau de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) et "fonctionnent normalement".