Le Ghana, favori avec la Côte d'Ivoire pour le sacre final de la 28e Coupe d'Afrique des Nations de football (CAN-2012), n'a plus qu'une étape à franchir pour atteindre la finale, lorsqu'il affrontera mercredi la Zambie pour le compte de la demi-finale à Bata (Guinée Equatoriale). Le Ghana, favori avec la Côte d'Ivoire pour le sacre final de la 28e Coupe d'Afrique des Nations de football (CAN-2012), n'a plus qu'une étape à franchir pour atteindre la finale, lorsqu'il affrontera mercredi la Zambie pour le compte de la demi-finale à Bata (Guinée Equatoriale). Les malheureux finalistes de la dernière édition en 2010 en Angola, et quarts de finalistes du Mondial sud-africain, auront en face la Zambie, une équipe dégagée de toute pression et qui a fait mieux que ce que généralement on attendait d'elle. "Jouer la finale est le moins que nous puissions faire. J'ai dit que je voulais être celui qui ramènerait la coupe au pays, trente ans après sa dernière victoire dans une CAN", a martelé l'entraîneur du Ghana, Goran Stevanovic. La dernière finale en CAN avait été perdue il y a deux ans à Luanda, par les Black Stars contre l'Egypte. Elle a été, sur le moment, une grosse déception, mais l'équipe a vite rebondi avec son quart de finale de Coupe du monde. Aujourd'hui, le Ghana a acquis un surplus d'expérience et sait qu'à tout moment Asamaoah Gyan est capable de faire la différence de même qu'André Ayew dont le jeu, l'efficacité, le sens de l'anticipation n'ont cessé de s'améliorer. En 2010 il venait à peine de sortir des rangs juniors avec lesquels il avait remporté le titre mondial, trois mois auparavant. La présence en demi-finale des Chipolopolo Boys (surnom donné à l'équipe de Zambie) constitue beaucoup plus une surprise, malgré le talent des Katongo, Kalaba, Mayuka et d'une pléiade de joueurs rompus aux joutes africaines comme les Sunzu et Himoonde avec le TP Mazembe. Pour les médias zambiens, "les idées toutes faites ont longue vie". Simple outsider désormais challenger, la troupe menée par le Français Renard, qui était déjà là il y a deux ans en Angola avant de partir momentanément en Angola et en Algérie, pour revenir en Zambie, abordera sa demi-finale libre de toute pression, ce qui peut constituer un avantage. Sur ce qui s'est passé depuis le début du tournoi, une Zambie constante, un Ghana montant progressivement en puissance, la partie n'est pas gagnée d'avance. Le verdict sera connu à l'issue dui match prévu l'Estadio de Bata. Les malheureux finalistes de la dernière édition en 2010 en Angola, et quarts de finalistes du Mondial sud-africain, auront en face la Zambie, une équipe dégagée de toute pression et qui a fait mieux que ce que généralement on attendait d'elle. "Jouer la finale est le moins que nous puissions faire. J'ai dit que je voulais être celui qui ramènerait la coupe au pays, trente ans après sa dernière victoire dans une CAN", a martelé l'entraîneur du Ghana, Goran Stevanovic. La dernière finale en CAN avait été perdue il y a deux ans à Luanda, par les Black Stars contre l'Egypte. Elle a été, sur le moment, une grosse déception, mais l'équipe a vite rebondi avec son quart de finale de Coupe du monde. Aujourd'hui, le Ghana a acquis un surplus d'expérience et sait qu'à tout moment Asamaoah Gyan est capable de faire la différence de même qu'André Ayew dont le jeu, l'efficacité, le sens de l'anticipation n'ont cessé de s'améliorer. En 2010 il venait à peine de sortir des rangs juniors avec lesquels il avait remporté le titre mondial, trois mois auparavant. La présence en demi-finale des Chipolopolo Boys (surnom donné à l'équipe de Zambie) constitue beaucoup plus une surprise, malgré le talent des Katongo, Kalaba, Mayuka et d'une pléiade de joueurs rompus aux joutes africaines comme les Sunzu et Himoonde avec le TP Mazembe. Pour les médias zambiens, "les idées toutes faites ont longue vie". Simple outsider désormais challenger, la troupe menée par le Français Renard, qui était déjà là il y a deux ans en Angola avant de partir momentanément en Angola et en Algérie, pour revenir en Zambie, abordera sa demi-finale libre de toute pression, ce qui peut constituer un avantage. Sur ce qui s'est passé depuis le début du tournoi, une Zambie constante, un Ghana montant progressivement en puissance, la partie n'est pas gagnée d'avance. Le verdict sera connu à l'issue dui match prévu l'Estadio de Bata.