Un attentat attribué à Al-Qaïda a visé samedi un palais présidentiel dans le sud du Yémen, le jour même de la prestation de serment du nouveau président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi. Peu après la cérémonie, au cours de laquelle M. Hadi s'est engagé à continuer à combattre Al-Qaïda, un kamikaze a fait exploser une voiture piégée devant un symbole du pouvoir : le palais présidentiel de Moukalla, dans le Sud-est, tuant 26 soldats de la Garde républicaine, selon une source médicale. Des partisans d'Al-Qaïda ont mis à profit l'affaiblissement du pouvoir central au Yémen au cours de dix mois de contestation ayant conduit Ali Abdallah Saleh à céder sa place, pour étendre leur influence dans le Sud et l'Est du Yémen. L'organisation y contrôle des villages et la ville de Zinjibar, capitale de la province d'Abyane. Une voiture piégée conduite par un kamikaze a explosé à l'entrée du palais présidentiel de Moukalla, selon une source militaire. Une autre source militaire a affirmé que l'attentat "porte l'empreinte d'Al-Qaïda", ajoutant que le kamikaze pourrait être Mohammed al-Sayari, un Saoudien originaire de la province du Hadramout, dont Moukalla est la capitale. Selon cette source, aucune personnalité ne se trouvait dans le palais au moment de l'explosion, qui a été suivie par des échanges de tirs entre hommes armés et soldats. Le kamikaze au volant du pick-up a péri, selon la même source. Le palais présidentiel de Moukalla est gardé par des éléments de la Garde républicaine, un corps d'élite de l'armée yéménite, commandé par Ahmed Ali Abdallah Saleh, le fils du président sortant. En prêtant serment, M. Hadi s'est engagé à "préserver l'unité du pays, son indépendance et son intégrité territoriale" et de continuer à combattre Al-Qaïda. R. I./Agence Téhéran Démenti sur la livraison d'armes à la Syrie L'Iran a démenti samedi toute livraison d'armes au régime syrien, selon le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. Ramin Mehmanparst a déclaré que son pays "rejette toute intervention militaire en Syrie" et démenti les informations faisant état de la livraison d'armes au gouvernement syrien. "La position de l'Iran sur la Syrie reste claire : il soutient toutes les réformes en faveur du peuple syrien", a rappelé le porte-parole. Selon certains médias, l'Iran a fourni des armes au régime syrien "pour l'aider à réprimer l'opposition". Un attentat attribué à Al-Qaïda a visé samedi un palais présidentiel dans le sud du Yémen, le jour même de la prestation de serment du nouveau président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi. Peu après la cérémonie, au cours de laquelle M. Hadi s'est engagé à continuer à combattre Al-Qaïda, un kamikaze a fait exploser une voiture piégée devant un symbole du pouvoir : le palais présidentiel de Moukalla, dans le Sud-est, tuant 26 soldats de la Garde républicaine, selon une source médicale. Des partisans d'Al-Qaïda ont mis à profit l'affaiblissement du pouvoir central au Yémen au cours de dix mois de contestation ayant conduit Ali Abdallah Saleh à céder sa place, pour étendre leur influence dans le Sud et l'Est du Yémen. L'organisation y contrôle des villages et la ville de Zinjibar, capitale de la province d'Abyane. Une voiture piégée conduite par un kamikaze a explosé à l'entrée du palais présidentiel de Moukalla, selon une source militaire. Une autre source militaire a affirmé que l'attentat "porte l'empreinte d'Al-Qaïda", ajoutant que le kamikaze pourrait être Mohammed al-Sayari, un Saoudien originaire de la province du Hadramout, dont Moukalla est la capitale. Selon cette source, aucune personnalité ne se trouvait dans le palais au moment de l'explosion, qui a été suivie par des échanges de tirs entre hommes armés et soldats. Le kamikaze au volant du pick-up a péri, selon la même source. Le palais présidentiel de Moukalla est gardé par des éléments de la Garde républicaine, un corps d'élite de l'armée yéménite, commandé par Ahmed Ali Abdallah Saleh, le fils du président sortant. En prêtant serment, M. Hadi s'est engagé à "préserver l'unité du pays, son indépendance et son intégrité territoriale" et de continuer à combattre Al-Qaïda. R. I./Agence Téhéran Démenti sur la livraison d'armes à la Syrie L'Iran a démenti samedi toute livraison d'armes au régime syrien, selon le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. Ramin Mehmanparst a déclaré que son pays "rejette toute intervention militaire en Syrie" et démenti les informations faisant état de la livraison d'armes au gouvernement syrien. "La position de l'Iran sur la Syrie reste claire : il soutient toutes les réformes en faveur du peuple syrien", a rappelé le porte-parole. Selon certains médias, l'Iran a fourni des armes au régime syrien "pour l'aider à réprimer l'opposition".