Les entreprises algériennes doivent s'unir au sein de groupes "puissants et cohérents" pour développer leur compétitivité et faire face à la concurrence, a affirmé, hier, à Alger le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. «L'ouverture aux marchés extérieurs impose à nos entreprises la nécessité de s'unir au sein de groupes puissants et cohérents pour accéder facilement à l'information utile à la prise de décision idoine, et renforcer ainsi au mieux leur compétitivité", a-t-il expliqué à lors d'une journée d'étude sur la création d'un "Cluster" (réseau de PME) dans le secteur de la mécanique. En se rassemblant au sein de groupes et de réseaux spécialisés, les PME qui disposent de peu de moyens pour mener des activités relatives à la recherche et au développement (RD) pourront faire face à la rude concurrence imposée par les grandes entreprises dans ce domaine, a-t-il soutenu. M. Benmeradi a souligné, dans ce sens, les efforts consentis par l'Etat pour encourager la création de "Clusters" dans différentes filières industrielles à l'image des industries agroalimentaires (IAA) et de la mécanique. Ces filières peuvent constituer, a-t-il dit, "un gisement appréciable pour réaliser une véritable intégration nationale à travers le développement et la promotion de la sous-traitance". L'intérêt apporté à la sous-traitance, en tant qu'axe privilégié visant la densification du tissu industriel, est une réalité qui a fait ses preuves dans plusieurs pays qui ont su en tirer profit en conjuguant savoir-faire et capacités de production, a-t-il encore estimé. Le ministre a souligné, à cet effet, l'importance de la stratégie nationale du développement de la sous-traitance qui consiste notamment à encourager l'exploitation des ressources humaines et matérielles locales par les opérateurs économiques. Selon M. Benmeradi, l'existence en Algérie de plates-formes industrielles multidisciplinaires dans des filières comme l'électronique, les matériaux de construction et la pétrochimie, ainsi que d'un tissu de PME opérationnelles, ouvrent des perspectives à l'édification et à la promotion d'une sous-traitance nationale "dense et pérenne". Le ministre a estimé, par ailleurs, qu'une mobilisation et un engagement "accrus" de la part des pouvoirs publics et des opérateurs économiques, privés et publics, permettraient à l'Algérie de relever les défis d'une économie diversifiée et hors hydrocarbures. Les entreprises algériennes doivent s'unir au sein de groupes "puissants et cohérents" pour développer leur compétitivité et faire face à la concurrence, a affirmé, hier, à Alger le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. «L'ouverture aux marchés extérieurs impose à nos entreprises la nécessité de s'unir au sein de groupes puissants et cohérents pour accéder facilement à l'information utile à la prise de décision idoine, et renforcer ainsi au mieux leur compétitivité", a-t-il expliqué à lors d'une journée d'étude sur la création d'un "Cluster" (réseau de PME) dans le secteur de la mécanique. En se rassemblant au sein de groupes et de réseaux spécialisés, les PME qui disposent de peu de moyens pour mener des activités relatives à la recherche et au développement (RD) pourront faire face à la rude concurrence imposée par les grandes entreprises dans ce domaine, a-t-il soutenu. M. Benmeradi a souligné, dans ce sens, les efforts consentis par l'Etat pour encourager la création de "Clusters" dans différentes filières industrielles à l'image des industries agroalimentaires (IAA) et de la mécanique. Ces filières peuvent constituer, a-t-il dit, "un gisement appréciable pour réaliser une véritable intégration nationale à travers le développement et la promotion de la sous-traitance". L'intérêt apporté à la sous-traitance, en tant qu'axe privilégié visant la densification du tissu industriel, est une réalité qui a fait ses preuves dans plusieurs pays qui ont su en tirer profit en conjuguant savoir-faire et capacités de production, a-t-il encore estimé. Le ministre a souligné, à cet effet, l'importance de la stratégie nationale du développement de la sous-traitance qui consiste notamment à encourager l'exploitation des ressources humaines et matérielles locales par les opérateurs économiques. Selon M. Benmeradi, l'existence en Algérie de plates-formes industrielles multidisciplinaires dans des filières comme l'électronique, les matériaux de construction et la pétrochimie, ainsi que d'un tissu de PME opérationnelles, ouvrent des perspectives à l'édification et à la promotion d'une sous-traitance nationale "dense et pérenne". Le ministre a estimé, par ailleurs, qu'une mobilisation et un engagement "accrus" de la part des pouvoirs publics et des opérateurs économiques, privés et publics, permettraient à l'Algérie de relever les défis d'une économie diversifiée et hors hydrocarbures.