C'est hier à Alger qu'a eu lieu une rencontre bilatérale de solidarité ayant regroupé le Comité national algérien de soutien au peuple sahraoui (CNASPS) et les élus de différentes villes algériennes et villes de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Les villes algériennes qui ont pris part à cette rencontre sont : Alger, Oran, Batna, Biskra, Tiaret, Arris et Mascara, alors que du côté sahraoui, les villes à l'honneur étaient : El-Ayoun, Dakhla, Boujdour, Bir Lahlou, Tifariti, Ausserd et Gdym-izik. L'organisation de cette rencontre intervient à la veille de la commémoration de la journée de l'Afrique et des accords de coopération entre les villes algériennes et celles de la RASD. D'ailleurs, à ce sujet, d'autres rencontres sont prévues aujourd'hui et demain à Alger. L'un des objectifs de ce type de rencontres, affirme-t-on, est de réaffirmer le soutien indéfectible des élus algériens et de la société civile à la cause du peuple sahraouie qui se bat pour son autodétermination. Par ces initiatives, il est également question de l'élargissement des réseaux de soutien à la cause sahraouie pour, dit-on, briser une bonne fois pour toutes l'omerta ainsi que le mur de la honte érigé par les autorités coloniales. Ce mur, rappelons-le, s'étend sur 2700 km séparant ainsi le territoire du Sahara occidental en deux. L'élargissement de la mission de la Minurso est également un point sur lequel les indéfectibles soutiens à la cause sahraouie, de par le monde, travaillent d'arrache-pied. Le retrait de confiance du Maroc à l'envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, M. Christopher Ross. Cette décision, précisons-le, a provoqué la cassure entre l'ONU et le Maroc et intervient seulement quelques semaines après le rapport accablant contre Rabat qu'a présenté Ban Ki-moon aux membres du Conseil de sécurité. Le gouvernement islamiste marocain accuse Christopher Ross d'avoir, dans plusieurs cas, «appliqué une méthode déséquilibrée et partiale pour mener sa mission ». Dans son communiqué, Rabat, a indiqué : «Les comportements contrastés de M. Ross s'écartent des grandes lignes qui ont été tracées par les négociations dans le Conseil de sécurité. Pour cela, le Maroc a décidé de retirer sa confiance». L'inflexibilité qui a marqué M. Ross par rapport à son prédécesseur, Peter Van Walsum, zélé défenseur du Maroc, sur le dossier du Sahara occidental, est agaçante pour Rabah, qui tente par tous les chemins de faire valoir son « plan d'autonomie » mais en vain. Les Etats-Unis qui désavouent le jeune monarque, qui selon certains observateurs, a encore du chemin à faire en diplomatie pour se faire entendre. Le diplomate avisé qu'est M. Ross, quant à lui, faut-il le rappeler, bénéficie d'un total soutien des Américains, de l'aveu même de l'ambassadeur US en Algérie, M. Henry S. Ensher, qui en réponse à une question, lors d'une conférence Lundi au siège de l'ambassade à Alger, pour savoir si son gouvernement apportait encore son soutien à M. Ross, a répliqué par un «Yes», sourire aux lèvres. C'est hier à Alger qu'a eu lieu une rencontre bilatérale de solidarité ayant regroupé le Comité national algérien de soutien au peuple sahraoui (CNASPS) et les élus de différentes villes algériennes et villes de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Les villes algériennes qui ont pris part à cette rencontre sont : Alger, Oran, Batna, Biskra, Tiaret, Arris et Mascara, alors que du côté sahraoui, les villes à l'honneur étaient : El-Ayoun, Dakhla, Boujdour, Bir Lahlou, Tifariti, Ausserd et Gdym-izik. L'organisation de cette rencontre intervient à la veille de la commémoration de la journée de l'Afrique et des accords de coopération entre les villes algériennes et celles de la RASD. D'ailleurs, à ce sujet, d'autres rencontres sont prévues aujourd'hui et demain à Alger. L'un des objectifs de ce type de rencontres, affirme-t-on, est de réaffirmer le soutien indéfectible des élus algériens et de la société civile à la cause du peuple sahraouie qui se bat pour son autodétermination. Par ces initiatives, il est également question de l'élargissement des réseaux de soutien à la cause sahraouie pour, dit-on, briser une bonne fois pour toutes l'omerta ainsi que le mur de la honte érigé par les autorités coloniales. Ce mur, rappelons-le, s'étend sur 2700 km séparant ainsi le territoire du Sahara occidental en deux. L'élargissement de la mission de la Minurso est également un point sur lequel les indéfectibles soutiens à la cause sahraouie, de par le monde, travaillent d'arrache-pied. Le retrait de confiance du Maroc à l'envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, M. Christopher Ross. Cette décision, précisons-le, a provoqué la cassure entre l'ONU et le Maroc et intervient seulement quelques semaines après le rapport accablant contre Rabat qu'a présenté Ban Ki-moon aux membres du Conseil de sécurité. Le gouvernement islamiste marocain accuse Christopher Ross d'avoir, dans plusieurs cas, «appliqué une méthode déséquilibrée et partiale pour mener sa mission ». Dans son communiqué, Rabat, a indiqué : «Les comportements contrastés de M. Ross s'écartent des grandes lignes qui ont été tracées par les négociations dans le Conseil de sécurité. Pour cela, le Maroc a décidé de retirer sa confiance». L'inflexibilité qui a marqué M. Ross par rapport à son prédécesseur, Peter Van Walsum, zélé défenseur du Maroc, sur le dossier du Sahara occidental, est agaçante pour Rabah, qui tente par tous les chemins de faire valoir son « plan d'autonomie » mais en vain. Les Etats-Unis qui désavouent le jeune monarque, qui selon certains observateurs, a encore du chemin à faire en diplomatie pour se faire entendre. Le diplomate avisé qu'est M. Ross, quant à lui, faut-il le rappeler, bénéficie d'un total soutien des Américains, de l'aveu même de l'ambassadeur US en Algérie, M. Henry S. Ensher, qui en réponse à une question, lors d'une conférence Lundi au siège de l'ambassade à Alger, pour savoir si son gouvernement apportait encore son soutien à M. Ross, a répliqué par un «Yes», sourire aux lèvres.