Le nouveau secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, Amine Larbi Hadj Said, s'est entretenu, dans la soirée d'avant-hier à l'hôtel Hilton, avec une délégation formée d'une trentaine de journalistes représentant les différents médias nationaux. Il a été question, dans l'essentiel, de la nouvelle politique enclenchée par le gouvernement de Sellal dans le domaine de la promotion du tourisme national au profit des populations et de l'amélioration du cadre de vie. Cette nouvelle politique, a soutenu Hadj Said, appelle aujourd'hui à l'adoption des nouvelles énergies dites propres à même de préserver les richesses touristiques chez nous et capable de provoquer davantage de ressources de vie pour les populations, notamment celles les plus démunies. "Aujourd'hui, l'Algérie brigue une nouvelle expérience visant à développer une industrie touristique en respect de l'environnement", a-t-il ajouté. Cette démarche ne peut que propulser ledit secteur qui est considéré, de nos jours, comme un véritable levier économique, a soutenu le secrétaire d'Etat chargé du Tourisme. Dans ce même ordre d'idées, Hadj Said a rappelé que le domaine du tourisme représente 5 à 8% du PIB mondial. Bien que l'économie mondiale ait subi une chute importante, l'activité touristique dans le monde est restée, pour sa part, en hausse permanente évaluée à 6% par rapport aux années passées, a souligné l'orateur. Toutefois, faut-il le noter, le sort de l'activité touristique en Afrique n'a pas suivi le même élan mondial. Aucune évolution touristique dans cette zone, pourtant très prisée, n'a été enregistrée cette année, bien au contraire. Les conjonctures actuelles ont fait que l'Afrique encaisse un taux de baisse de l'activité de plus de 12%. Aussi, depuis le début des turbulences engendrées par les printemps arabes, le Moyen-Orient affiche une baisse de 10% de ses ressources touristiques par rapport aux années passées. Affirmant, dans ce contexte, que la nouvelle stratégie de l'Etat consiste en la rentabilisation du secteur, d'autant plus que notre pays recèle un potentiel touristique diversifié et incommensurable par rapport à nombreux pays, notamment ceux du Maghreb qui sont considérés comme étant les destinations favorites des touristes étrangers, le secrétaire d'Etat chargé du Tourisme a indiqué que le gouvernement algérien est déterminé à redynamiser le secteur par l'adoption d'une nouvelle politique visant la professionnalisation des structures et institutions du secteur. A ce sujet, le parc national de la literie touristique est en phase d'extension grâce à la réalisation de plus de 700 projets. Ces projets en cours devraient élargir les capacités d'accueil par 86 mille lits supplémentaires a annoncé Amine Hadj Said. Les nouveaux investisseurs sont conviés à recourir aux solutions des énergies renouvelables, dites propres, en vue de concrétiser les nouvelles orientations de l'instance onusienne chargée du tourisme (OMT). Par ailleurs, ce même membre du gouvernement a rappelé que l'Algérie a accueillis plus de 1 million 300 mille touristes durant le premier semestre de l'année en cours. Ce nombre représente une hausse de l'activité de plus de 26% par rapport à l'année dernière, a-t-il mentionné. Depuis la fin de l'année 2006, l'Algérie a réussit, tant bien que mal, à se convertir en pays récepteur de touristes. Ce constat augure un lendemain touristique prometteur pour le pays, a estimé le secrétaire d'Etat. En ce sens, le nouveau plan d'action, adopté par le ministère, s'axera sur le déclenchement des mécanismes requis à même de vendre une image de marque de nos produits pouvant faire de l'Algérie un pays de destination par excellence. Tout le monde est convié à s'impliquer davantage dans cette démarche. Les opérateurs touristiques, les agences de tourisme et de voyages, les hôteliers et les différents secteurs en rapport avec la qualité du cadre touristique ainsi que les mass médias sont appelés à parachever le grand projet touristique national, dont les répercutions ne peuvent être que bénéfiques pour l'économie nationale et pour l'amélioration du cadre de vie des Algériens, a supputé Amine Hadj Said. S'agissant de la promotion du tourisme à destination du Sud algérien, ce même interlocuteur a affirmé que "les agences touristiques du Sud doivent s'ingénier pour promouvoir le tourisme chez les locaux", et d'ajouter, "l'Administration s'attellera, quant à elle, pour répondre aux attentes et de suivre de près leur démarche". Le nouveau secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, Amine Larbi Hadj Said, s'est entretenu, dans la soirée d'avant-hier à l'hôtel Hilton, avec une délégation formée d'une trentaine de journalistes représentant les différents médias nationaux. Il a été question, dans l'essentiel, de la nouvelle politique enclenchée par le gouvernement de Sellal dans le domaine de la promotion du tourisme national au profit des populations et de l'amélioration du cadre de vie. Cette nouvelle politique, a soutenu Hadj Said, appelle aujourd'hui à l'adoption des nouvelles énergies dites propres à même de préserver les richesses touristiques chez nous et capable de provoquer davantage de ressources de vie pour les populations, notamment celles les plus démunies. "Aujourd'hui, l'Algérie brigue une nouvelle expérience visant à développer une industrie touristique en respect de l'environnement", a-t-il ajouté. Cette démarche ne peut que propulser ledit secteur qui est considéré, de nos jours, comme un véritable levier économique, a soutenu le secrétaire d'Etat chargé du Tourisme. Dans ce même ordre d'idées, Hadj Said a rappelé que le domaine du tourisme représente 5 à 8% du PIB mondial. Bien que l'économie mondiale ait subi une chute importante, l'activité touristique dans le monde est restée, pour sa part, en hausse permanente évaluée à 6% par rapport aux années passées, a souligné l'orateur. Toutefois, faut-il le noter, le sort de l'activité touristique en Afrique n'a pas suivi le même élan mondial. Aucune évolution touristique dans cette zone, pourtant très prisée, n'a été enregistrée cette année, bien au contraire. Les conjonctures actuelles ont fait que l'Afrique encaisse un taux de baisse de l'activité de plus de 12%. Aussi, depuis le début des turbulences engendrées par les printemps arabes, le Moyen-Orient affiche une baisse de 10% de ses ressources touristiques par rapport aux années passées. Affirmant, dans ce contexte, que la nouvelle stratégie de l'Etat consiste en la rentabilisation du secteur, d'autant plus que notre pays recèle un potentiel touristique diversifié et incommensurable par rapport à nombreux pays, notamment ceux du Maghreb qui sont considérés comme étant les destinations favorites des touristes étrangers, le secrétaire d'Etat chargé du Tourisme a indiqué que le gouvernement algérien est déterminé à redynamiser le secteur par l'adoption d'une nouvelle politique visant la professionnalisation des structures et institutions du secteur. A ce sujet, le parc national de la literie touristique est en phase d'extension grâce à la réalisation de plus de 700 projets. Ces projets en cours devraient élargir les capacités d'accueil par 86 mille lits supplémentaires a annoncé Amine Hadj Said. Les nouveaux investisseurs sont conviés à recourir aux solutions des énergies renouvelables, dites propres, en vue de concrétiser les nouvelles orientations de l'instance onusienne chargée du tourisme (OMT). Par ailleurs, ce même membre du gouvernement a rappelé que l'Algérie a accueillis plus de 1 million 300 mille touristes durant le premier semestre de l'année en cours. Ce nombre représente une hausse de l'activité de plus de 26% par rapport à l'année dernière, a-t-il mentionné. Depuis la fin de l'année 2006, l'Algérie a réussit, tant bien que mal, à se convertir en pays récepteur de touristes. Ce constat augure un lendemain touristique prometteur pour le pays, a estimé le secrétaire d'Etat. En ce sens, le nouveau plan d'action, adopté par le ministère, s'axera sur le déclenchement des mécanismes requis à même de vendre une image de marque de nos produits pouvant faire de l'Algérie un pays de destination par excellence. Tout le monde est convié à s'impliquer davantage dans cette démarche. Les opérateurs touristiques, les agences de tourisme et de voyages, les hôteliers et les différents secteurs en rapport avec la qualité du cadre touristique ainsi que les mass médias sont appelés à parachever le grand projet touristique national, dont les répercutions ne peuvent être que bénéfiques pour l'économie nationale et pour l'amélioration du cadre de vie des Algériens, a supputé Amine Hadj Said. S'agissant de la promotion du tourisme à destination du Sud algérien, ce même interlocuteur a affirmé que "les agences touristiques du Sud doivent s'ingénier pour promouvoir le tourisme chez les locaux", et d'ajouter, "l'Administration s'attellera, quant à elle, pour répondre aux attentes et de suivre de près leur démarche".