Valérie Trierweiler, journaliste politique, a pris la relève de Carla Bruni à l'Elysée et endosse désormais le rôle de première dame. Compagne de François Hollande depuis 2006, elle a toujours préféré rester dans l'ombre de son conjoint, plutôt que de s'exposer médiatiquement. Preuve de sa discrétion : à la victoire de son conjoint, Valérie Trierweiler s'est contentée d'un petit tweet pour le féliciter : « Tout simplement fière d'accompagner le nouveau président de la République et toujours aussi heureuse de partager la vie de François » Pendant que François Hollande s'entretenait ce mercredi avec son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika, Valérie Trierweiler visitait une école et exposait son rôle de première dame à des élèves curieux. L'école primaire rattachée au lycée international Alexandre-Dumas, dans la banlieue d'Alger. Dans l'établissement fraîchement inauguré, la compagne du chef de l'Etat, accompagnée de son chef de cabinet et de quelques journalistes, a reçu des bouquets de fleurs et chocolats Journaliste de profession, elle a dû cesser de présenter l'émission Politiquement parlant sur la chaîne Direct 8 et cesser sa participation à la «vie collective» de Paris Match, Valérie Trierweiler s'est étonné de questions «gênantes» posées par ces petits écoliers. «Je suis tombée amoureuse de l'homme pas d'un président», confie-t-elle à ces derniers. «Vos questions sont pires que celles des journalistes!» leur dira-t-elle avec un petit sourire un brin crispé. Des élèves de CM2 ont été invités à lui poser quelques questions sur la thématique de l'éducation civique mais leur sujet de prédilection va se révéler beaucoup plus pointu : le statut de première dame. « Quel est votre rôle ? », interroge un enfant. Réponse : « Le rôle de la première dame n'est pas défini, c'est à elle d'en faire quelque chose. ». « Pourquoi êtes-vous venue en Algérie? », interroge un élève. Un autre : « Quels sont les avantages et les inconvénients de votre rôle? » Valérie Trierweiler ne se démonte pas et répond : « L'avantage est de pouvoir voyager, ce que je faisais avant dans le cadre de ma profession. C'est de pouvoir rencontrer toutes sortes de gens. L'inconvénient, c'est de perdre un peu de sa liberté et d'abandonner un peu de ce qu'on est soi-même ». Les enfants, décidément curieux, osent une dernière question : « Quel effet cela fait-il d'être première dame ? ». Réponse du tac au tac de Valérie Trierweiler : « ça fait très peur au début. On apprend ensuite, comme vous à l'école ». La compagne du président français a également visité mercredi après-midi le Palais des Raïs à Alger. Mme Trierweiler a reçu, à son arrivée au Palais des Raïs, des explications de la part des responsables de ce monument. Il est l'un des derniers vestiges de l'époque ottomane, qui atteste du prolongement de la médina d'El Djazaïr jusqu'à la mer. Valérie Trierweiler a fait le tour des pièces du palais, tout en admirant les tenues traditionnelles algériennes qui y sont exposées. A la fin de sa tournée, la compagne du président Hollande a signé le livre d'or et reçu, de la part des responsables du Bastion 23, un livre intitulé Universelle Algérie : les sites inscrits patrimoine mondial de Zaki Bouzid éditions et un burnous algérois. Valérie Trierweiler, journaliste politique, a pris la relève de Carla Bruni à l'Elysée et endosse désormais le rôle de première dame. Compagne de François Hollande depuis 2006, elle a toujours préféré rester dans l'ombre de son conjoint, plutôt que de s'exposer médiatiquement. Preuve de sa discrétion : à la victoire de son conjoint, Valérie Trierweiler s'est contentée d'un petit tweet pour le féliciter : « Tout simplement fière d'accompagner le nouveau président de la République et toujours aussi heureuse de partager la vie de François » Pendant que François Hollande s'entretenait ce mercredi avec son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika, Valérie Trierweiler visitait une école et exposait son rôle de première dame à des élèves curieux. L'école primaire rattachée au lycée international Alexandre-Dumas, dans la banlieue d'Alger. Dans l'établissement fraîchement inauguré, la compagne du chef de l'Etat, accompagnée de son chef de cabinet et de quelques journalistes, a reçu des bouquets de fleurs et chocolats Journaliste de profession, elle a dû cesser de présenter l'émission Politiquement parlant sur la chaîne Direct 8 et cesser sa participation à la «vie collective» de Paris Match, Valérie Trierweiler s'est étonné de questions «gênantes» posées par ces petits écoliers. «Je suis tombée amoureuse de l'homme pas d'un président», confie-t-elle à ces derniers. «Vos questions sont pires que celles des journalistes!» leur dira-t-elle avec un petit sourire un brin crispé. Des élèves de CM2 ont été invités à lui poser quelques questions sur la thématique de l'éducation civique mais leur sujet de prédilection va se révéler beaucoup plus pointu : le statut de première dame. « Quel est votre rôle ? », interroge un enfant. Réponse : « Le rôle de la première dame n'est pas défini, c'est à elle d'en faire quelque chose. ». « Pourquoi êtes-vous venue en Algérie? », interroge un élève. Un autre : « Quels sont les avantages et les inconvénients de votre rôle? » Valérie Trierweiler ne se démonte pas et répond : « L'avantage est de pouvoir voyager, ce que je faisais avant dans le cadre de ma profession. C'est de pouvoir rencontrer toutes sortes de gens. L'inconvénient, c'est de perdre un peu de sa liberté et d'abandonner un peu de ce qu'on est soi-même ». Les enfants, décidément curieux, osent une dernière question : « Quel effet cela fait-il d'être première dame ? ». Réponse du tac au tac de Valérie Trierweiler : « ça fait très peur au début. On apprend ensuite, comme vous à l'école ». La compagne du président français a également visité mercredi après-midi le Palais des Raïs à Alger. Mme Trierweiler a reçu, à son arrivée au Palais des Raïs, des explications de la part des responsables de ce monument. Il est l'un des derniers vestiges de l'époque ottomane, qui atteste du prolongement de la médina d'El Djazaïr jusqu'à la mer. Valérie Trierweiler a fait le tour des pièces du palais, tout en admirant les tenues traditionnelles algériennes qui y sont exposées. A la fin de sa tournée, la compagne du président Hollande a signé le livre d'or et reçu, de la part des responsables du Bastion 23, un livre intitulé Universelle Algérie : les sites inscrits patrimoine mondial de Zaki Bouzid éditions et un burnous algérois.