L'ensemble des secteurs d'activité économique et les représentants d'entreprises algériennes et françaises étaient présents hier, à l'hôtel El Aurassi, pour jeter les bases d'un partenariat stratégique et constructif entre les opérateurs économiques nationaux et les entrepreneurs et industriels de l'Hexagone. L'ensemble des secteurs d'activité économique et les représentants d'entreprises algériennes et françaises étaient présents hier, à l'hôtel El Aurassi, pour jeter les bases d'un partenariat stratégique et constructif entre les opérateurs économiques nationaux et les entrepreneurs et industriels de l'Hexagone. La participation active du ministre de l'Industrie, Chérif Rahmani, et la ministre française du Commerce extérieur, Nicole Bricq, à cette rencontre a donné un certain poids politique et économique aux négociations entre les différents opérateurs des deux pays. Durant deux journées, les participants vont s'atteler à chercher les voies et les moyens de consolider les rapports de partenariat et dénicher les opportunités de projet structurants de partenariat. Pour Chérif Rahmani, l'important est de sceller « un partenariat mutuellement bénéfique car cette approche audacieuse et novatrice ne peu se préciser sans l'accompagnement d'une expertise avancée, qui disposent d'une tradition industrielle et d'un savoir-faire technologique avéré ». Le ministre souligne « qu'afin de garantir à cette démarche toutes ses chances de réussite, l'édifice légal et réglementaire favorisant l'investissement a été amélioré pour être encore plus protecteur et incitatif. Des mesures supplémentaires d'aide au développement ont été décidées en faveur des entreprises algériennes. Ces mesures étaient nécessaires afin de développer davantage les relations avec les entreprises étrangères légitimement soucieuses de s'engager avec l'Algérie dans un partenariat gagnant-gagnant et dans un environnement sain et incitatif ». Saisissant dette occasion de la rencontre entre patronats français et algérien, il estime que « ce forum du partenariat est une opportunité renouvelée pour sceller une collaboration économique durable et efficiente entre les institutions et les opérateurs économiques des deux pays ». Il apprécie ce séminaire de deux jours en indiquant que « c'est pour ces raisons, qu'il est attendu du Forum d'Alger une approche opérationnelle qui mette en relation des porteurs de projets concrets pour assurant des partenariats équilibrés pour constituer une grande force économique ». Le ministre estime que la coopération entre l'Algérie et la France est « prometteuse et capable de piloter des projets de développement économique en ce sens que L'Algérie et la France disposent de nombreux atouts leur permettant d'avancer plus vite dans la concrétisation de projets fructueux. Dans cette perspective, une culture partagée, un espace géographique approprié et, surtout, des échanges humains denses constituent des facteurs facilitateurs et de réussite certains ». Signature d'un mémorandum Comefa Chérif Rahmani indique que « Nicole Bricq et moi-même, nous allons signer un mémorandum portant sur le comité mixte algéro-français, Comefa pour mettre en œuvre ce que nous allons faire ». Le volume global des investissements français en Algérie demeure modeste, selon le ministre, précisant, cependant, que des opportunités importantes existent en Algérie qui devient une destination de choix pour les entreprises françaises. En effet, plus de 400 acteurs économiques des deux parties et 350 rencontres business to business sont programmées durant ce forum, considéré par le ministre comme « un cadre de mise en relations d'affaires en scellant des partenariats durables ». Il ajoute que pas moins de 53 % des entreprises françaises sont favorables au partenariat en Algérie qui possède une force importante d'ouverture sur l'autre et l'avenir et intéressées par le transfert du savoir-faire. « Un seul objectif nous préoccupe, à savoir la croissance retrouvée entre l'Algérie et la France et la création d'emplois pour les jeunes » a-t-il indiqué. « L'Algérie, destination naturelle des entreprises françaises » La ministre française du Commerce extérieur, Nicole Bricq, quant à elle a souligné que « la politique de François Hollande vis-à-vis de l'Algérie consiste à allier la politique et l'économie qui ont intérêt à aller ensemble en se mobilisant vers l'avenir. Aujourd'hui, nous allons avoir des discussions pour maintenir nos relations économiques au plus haut niveau ». Elle dira qu'en 2012, « l'Algérie a été le premier pays partenaire de la France avec 10 milliards d'euros d'échanges avec 40.000 emplois directs et 100.000 emplois indirects créées en Algérie ». Mais elle souhaite « développer des investissements, notamment par le biais du comité mixte franco-algérien Comefa avec un pilotage pérenne de notre relation bilatérale. Il s'agit, pour elle, d'accentuer les PME-PMI en Algérie avec une diversification des entreprises dans les secteurs et tailles ». Nicole Bricq indique que « chaque année, 1.000 entreprises françaises se positionnent sur le marché algérien et l'Algérie va devenir en 2013 une destination naturelle des entreprises françaises ». Les secteurs de l'automobile, l'industrie agro-alimentaire, les technologies de la construction et de l'électricité sont susceptibles de connaître un partenariat et des joint ventures entre les entreprises des deux pays. « Notre paradigme c'est que l'Algérie n'est pas seulement un marché, mais également un partenaire » a-t-elle affirmé, ajoutant que « quatre entreprises françaises sont présélectionnées pour des appels d'offres en cours et pour des joint ventures avec des entreprises algériennes ». « Nous avons des relations d'égalité et des projets communs dans les secteurs de l'automobile, la chimie industrielle, l'agroalimentaire et les produits pharmaceutiques. Et nous allons passer des contrats de performance et nous avons également l'offre de quatre filiales de partenaires et 50 entreprises sélectionnées. Nous sommes intéressés par le programme de logements en Algérie et des entreprises françaises ont conclu des accords avec la partie algérienne pour le transfert de compétences » a-t-elle indiqué. La participation active du ministre de l'Industrie, Chérif Rahmani, et la ministre française du Commerce extérieur, Nicole Bricq, à cette rencontre a donné un certain poids politique et économique aux négociations entre les différents opérateurs des deux pays. Durant deux journées, les participants vont s'atteler à chercher les voies et les moyens de consolider les rapports de partenariat et dénicher les opportunités de projet structurants de partenariat. Pour Chérif Rahmani, l'important est de sceller « un partenariat mutuellement bénéfique car cette approche audacieuse et novatrice ne peu se préciser sans l'accompagnement d'une expertise avancée, qui disposent d'une tradition industrielle et d'un savoir-faire technologique avéré ». Le ministre souligne « qu'afin de garantir à cette démarche toutes ses chances de réussite, l'édifice légal et réglementaire favorisant l'investissement a été amélioré pour être encore plus protecteur et incitatif. Des mesures supplémentaires d'aide au développement ont été décidées en faveur des entreprises algériennes. Ces mesures étaient nécessaires afin de développer davantage les relations avec les entreprises étrangères légitimement soucieuses de s'engager avec l'Algérie dans un partenariat gagnant-gagnant et dans un environnement sain et incitatif ». Saisissant dette occasion de la rencontre entre patronats français et algérien, il estime que « ce forum du partenariat est une opportunité renouvelée pour sceller une collaboration économique durable et efficiente entre les institutions et les opérateurs économiques des deux pays ». Il apprécie ce séminaire de deux jours en indiquant que « c'est pour ces raisons, qu'il est attendu du Forum d'Alger une approche opérationnelle qui mette en relation des porteurs de projets concrets pour assurant des partenariats équilibrés pour constituer une grande force économique ». Le ministre estime que la coopération entre l'Algérie et la France est « prometteuse et capable de piloter des projets de développement économique en ce sens que L'Algérie et la France disposent de nombreux atouts leur permettant d'avancer plus vite dans la concrétisation de projets fructueux. Dans cette perspective, une culture partagée, un espace géographique approprié et, surtout, des échanges humains denses constituent des facteurs facilitateurs et de réussite certains ». Signature d'un mémorandum Comefa Chérif Rahmani indique que « Nicole Bricq et moi-même, nous allons signer un mémorandum portant sur le comité mixte algéro-français, Comefa pour mettre en œuvre ce que nous allons faire ». Le volume global des investissements français en Algérie demeure modeste, selon le ministre, précisant, cependant, que des opportunités importantes existent en Algérie qui devient une destination de choix pour les entreprises françaises. En effet, plus de 400 acteurs économiques des deux parties et 350 rencontres business to business sont programmées durant ce forum, considéré par le ministre comme « un cadre de mise en relations d'affaires en scellant des partenariats durables ». Il ajoute que pas moins de 53 % des entreprises françaises sont favorables au partenariat en Algérie qui possède une force importante d'ouverture sur l'autre et l'avenir et intéressées par le transfert du savoir-faire. « Un seul objectif nous préoccupe, à savoir la croissance retrouvée entre l'Algérie et la France et la création d'emplois pour les jeunes » a-t-il indiqué. « L'Algérie, destination naturelle des entreprises françaises » La ministre française du Commerce extérieur, Nicole Bricq, quant à elle a souligné que « la politique de François Hollande vis-à-vis de l'Algérie consiste à allier la politique et l'économie qui ont intérêt à aller ensemble en se mobilisant vers l'avenir. Aujourd'hui, nous allons avoir des discussions pour maintenir nos relations économiques au plus haut niveau ». Elle dira qu'en 2012, « l'Algérie a été le premier pays partenaire de la France avec 10 milliards d'euros d'échanges avec 40.000 emplois directs et 100.000 emplois indirects créées en Algérie ». Mais elle souhaite « développer des investissements, notamment par le biais du comité mixte franco-algérien Comefa avec un pilotage pérenne de notre relation bilatérale. Il s'agit, pour elle, d'accentuer les PME-PMI en Algérie avec une diversification des entreprises dans les secteurs et tailles ». Nicole Bricq indique que « chaque année, 1.000 entreprises françaises se positionnent sur le marché algérien et l'Algérie va devenir en 2013 une destination naturelle des entreprises françaises ». Les secteurs de l'automobile, l'industrie agro-alimentaire, les technologies de la construction et de l'électricité sont susceptibles de connaître un partenariat et des joint ventures entre les entreprises des deux pays. « Notre paradigme c'est que l'Algérie n'est pas seulement un marché, mais également un partenaire » a-t-elle affirmé, ajoutant que « quatre entreprises françaises sont présélectionnées pour des appels d'offres en cours et pour des joint ventures avec des entreprises algériennes ». « Nous avons des relations d'égalité et des projets communs dans les secteurs de l'automobile, la chimie industrielle, l'agroalimentaire et les produits pharmaceutiques. Et nous allons passer des contrats de performance et nous avons également l'offre de quatre filiales de partenaires et 50 entreprises sélectionnées. Nous sommes intéressés par le programme de logements en Algérie et des entreprises françaises ont conclu des accords avec la partie algérienne pour le transfert de compétences » a-t-elle indiqué.