Le P.-dg de l'opérateur de téléphonie mobile, Mobilis, a proposé de programmer une rencontre Algérie-Real Madrid le 18 mai 2014 à Alger sans le consentement et l'assentiment de la Fédération algérienne de football, ou sans préalablement avoir trouvé la concertation nécessaire auprès de l'instance dirigeante du football algérien, Hadj Mohamed Raouraoua, le boss de l'association nationale de football, aurait dû coopérer avec Saad Damma, lequel caractérisé par un exceptionnel engouement voulait satisfaire les fans de l'équipe nationale et les milliers de supporters algériens du Grand Real. Le P.-dg de l'opérateur de téléphonie mobile, Mobilis, a proposé de programmer une rencontre Algérie-Real Madrid le 18 mai 2014 à Alger sans le consentement et l'assentiment de la Fédération algérienne de football, ou sans préalablement avoir trouvé la concertation nécessaire auprès de l'instance dirigeante du football algérien, Hadj Mohamed Raouraoua, le boss de l'association nationale de football, aurait dû coopérer avec Saad Damma, lequel caractérisé par un exceptionnel engouement voulait satisfaire les fans de l'équipe nationale et les milliers de supporters algériens du Grand Real. En tout état de cause, la proposition faite par Damma ne peut, en aucun cas être fantaisiste, sachant que dans les années 80, cette même équipe du Real a donné la réplique aux Verts au stade 5-Juillet à l'époque de Madjer, Belloumi et Assad où il n'y avait pas de téléphonie mobile. Aujourd'hui, l'heure devrait être à la coopération et au partenariat pour aider le football algérien et non pas pour polémiquer autour de l'EN où tous les joueurs drivés par Halilhodzic, souhaitent, bien entendu, affronter les camarades de Ronaldo et Casillas. En fait, Damma et Raouraoua sont, désormais, condamnés à s'entendre et à concrétiser la programmation de ce match, d'autant plus que Damma a contacté le ministre de la Poste et des TIC, Moussa Benhammadi, et même le Premier ministre Abdelmalek Sellal qui ont encouragé l'organisation de ce match. Autrement dit, ce qui manque à la FAF et à Mobilis,c'est une plus forte dose de bon sens et de communication objective et positive, au lieu de se chamailler, certains observateurs estiment que la réaction de la FAF est aussi inattendue que sévère. Pour le bien de l'équipe nationale, la FAF aurait dû agir avec beaucoup plus de doigté et de diplomatie en évitant les invectives et les mises au point. Sportivement parlant, Damma a raison de se surpasser pour décrocher ce match historique entre l'EN et le Real Madrid, plus de 32 années, après celui disputé par les coéquipiers de Mustapha Dahleb au stade 5-Juillet face à la légendaire équipe de l'ex-meneur de jeu Di Stefano. Avec Zineddine Zidane comme directeur technique du Real Madrid (grand invité de l'autre opérateur de téléphonie mobile Nedjma pour promouvoir le tourisme en Algérie antérieurement), la venue de cette formation espagnole à Alger n'est pas indésirable, et ce, même si la date du 18 mai coïncide avec des dates Fifa et même si le Real n'évolue pas avec l'ensemble de ses vedettes... L'action initiée par le P.-dg de Mobilis n'est pas répréhensible, donc, au point de susciter l'ire et le mécontentement de la FAF. Elle n'est pas, non plus, passible de poursuites judiciaires, bien entendu. L'important c'est de promouvoir la balle ronde algérienne en assurant le football spectacle comme l'aimait bien Ali Bencheikh, l'ancien maître à jouer du MC Alger, Rabah Madjer et Noureddine Korichi, l'actuel adjoint de Halilihodzic et qui a pris part au match Algérie – Real Madrid en tant que joueur. En tout état de cause, la proposition faite par Damma ne peut, en aucun cas être fantaisiste, sachant que dans les années 80, cette même équipe du Real a donné la réplique aux Verts au stade 5-Juillet à l'époque de Madjer, Belloumi et Assad où il n'y avait pas de téléphonie mobile. Aujourd'hui, l'heure devrait être à la coopération et au partenariat pour aider le football algérien et non pas pour polémiquer autour de l'EN où tous les joueurs drivés par Halilhodzic, souhaitent, bien entendu, affronter les camarades de Ronaldo et Casillas. En fait, Damma et Raouraoua sont, désormais, condamnés à s'entendre et à concrétiser la programmation de ce match, d'autant plus que Damma a contacté le ministre de la Poste et des TIC, Moussa Benhammadi, et même le Premier ministre Abdelmalek Sellal qui ont encouragé l'organisation de ce match. Autrement dit, ce qui manque à la FAF et à Mobilis,c'est une plus forte dose de bon sens et de communication objective et positive, au lieu de se chamailler, certains observateurs estiment que la réaction de la FAF est aussi inattendue que sévère. Pour le bien de l'équipe nationale, la FAF aurait dû agir avec beaucoup plus de doigté et de diplomatie en évitant les invectives et les mises au point. Sportivement parlant, Damma a raison de se surpasser pour décrocher ce match historique entre l'EN et le Real Madrid, plus de 32 années, après celui disputé par les coéquipiers de Mustapha Dahleb au stade 5-Juillet face à la légendaire équipe de l'ex-meneur de jeu Di Stefano. Avec Zineddine Zidane comme directeur technique du Real Madrid (grand invité de l'autre opérateur de téléphonie mobile Nedjma pour promouvoir le tourisme en Algérie antérieurement), la venue de cette formation espagnole à Alger n'est pas indésirable, et ce, même si la date du 18 mai coïncide avec des dates Fifa et même si le Real n'évolue pas avec l'ensemble de ses vedettes... L'action initiée par le P.-dg de Mobilis n'est pas répréhensible, donc, au point de susciter l'ire et le mécontentement de la FAF. Elle n'est pas, non plus, passible de poursuites judiciaires, bien entendu. L'important c'est de promouvoir la balle ronde algérienne en assurant le football spectacle comme l'aimait bien Ali Bencheikh, l'ancien maître à jouer du MC Alger, Rabah Madjer et Noureddine Korichi, l'actuel adjoint de Halilihodzic et qui a pris part au match Algérie – Real Madrid en tant que joueur.