La 22e Conférence régionale africaine d'Interpol s'ouvrira à Oran du 10 au 12 septembre prochain. Cette importante réunion qui va convoquer les principaux représentants des polices africaines est une première en Algérie. La 22e Conférence régionale africaine d'Interpol s'ouvrira à Oran du 10 au 12 septembre prochain. Cette importante réunion qui va convoquer les principaux représentants des polices africaines est une première en Algérie. Elle verra la participation de la présidente d'Interpol, Mireille Ballestrazi durant les travaux. Au menu de cette rencontre, annonce-t-on, figurent des dossiers touchant la criminalité internationale, le trafic de drogue, le terrorisme et la piraterie maritime. Tous ces dossiers seront abordés avec en prime les capacités dans la région africaine par des mécanismes d'échanges d'information et celles touchant à la collecte de renseignements particulièrement pour les affaires de terrorisme et ses réseaux de connexions dans le monde. A cet effet, le site d'Interpol indique que «la conférence régionale africaine se tient tous les deux ans pour évaluer l'état de la coopération policière et la lutte contre la criminalité transnationale. Elle permet également d'élaborer de nouvelles lignes directrices pour les activités de la police dans la région à la lumière des priorités exprimées par les chefs de police». Avec l'Algérie, la coopération est renforcée ces dernières années avec la collaboration et la mise en place d'un bureau national central Interpol qui prend en charge tout le volet concernant les renseignements et les investigations sur les personnes recherchées dans le cadre du crime transnational, terrorisme et fraudes. Conformément au statut qui lui est dévolu, chaque bureau national d'Interpol émet des mandats d'arrêt contre les personnes recherchées pour différents délits sur ordre du parquet de la justice. Pour le cas algérien, le bureau national d'Interpol a diffusé selon sa direction 141 personnes recherchées par les autorités judiciaires nationales. Cette liste, précisons-le, concerne l'année 2012 où cette liste a été publiée. Cependant, le site d'Interpol à l'international ne comporte aucun des noms où des mandats d'arrêt ont été lancés à leur encontre. Au total, on comptabilise seulement 19 personnes recherchées. C'est le cas de Chakib Khelil qui ne figure pas encore dans la liste d'Interpol où pourtant le mandat d'arrêt lancé récemment contre lui est bien noté par le procureur général de la cour d'Alger. Le problème se poserait vraisemblablement par la nationalité américaine de l'ex-ministre de l'Energie qui a eu le temps de s'y réfugier. En matière de procédure judiciaire, Chakib Khelil peut obtenir le gage de ne pas être arrêté car le mandat d'arrêt à son encontre a été diffusé en qualité de citoyen de nationalité algérienne. Ce qui va compliquer probablement sa mise en arrestation aux Etats-Unis, à moins que le juge du district où Khellil réside, décide de lancer un mandat d'amener à son endroit. C'est d'ailleurs le cas également de Moumen Khalifa, qui est actuellement dans une prison en Grande-Bretagne mais dont le mandat d'arrêt à son encontre ne figure pas dans la liste d'Interpol où il est recherché pour différents délits. Elle verra la participation de la présidente d'Interpol, Mireille Ballestrazi durant les travaux. Au menu de cette rencontre, annonce-t-on, figurent des dossiers touchant la criminalité internationale, le trafic de drogue, le terrorisme et la piraterie maritime. Tous ces dossiers seront abordés avec en prime les capacités dans la région africaine par des mécanismes d'échanges d'information et celles touchant à la collecte de renseignements particulièrement pour les affaires de terrorisme et ses réseaux de connexions dans le monde. A cet effet, le site d'Interpol indique que «la conférence régionale africaine se tient tous les deux ans pour évaluer l'état de la coopération policière et la lutte contre la criminalité transnationale. Elle permet également d'élaborer de nouvelles lignes directrices pour les activités de la police dans la région à la lumière des priorités exprimées par les chefs de police». Avec l'Algérie, la coopération est renforcée ces dernières années avec la collaboration et la mise en place d'un bureau national central Interpol qui prend en charge tout le volet concernant les renseignements et les investigations sur les personnes recherchées dans le cadre du crime transnational, terrorisme et fraudes. Conformément au statut qui lui est dévolu, chaque bureau national d'Interpol émet des mandats d'arrêt contre les personnes recherchées pour différents délits sur ordre du parquet de la justice. Pour le cas algérien, le bureau national d'Interpol a diffusé selon sa direction 141 personnes recherchées par les autorités judiciaires nationales. Cette liste, précisons-le, concerne l'année 2012 où cette liste a été publiée. Cependant, le site d'Interpol à l'international ne comporte aucun des noms où des mandats d'arrêt ont été lancés à leur encontre. Au total, on comptabilise seulement 19 personnes recherchées. C'est le cas de Chakib Khelil qui ne figure pas encore dans la liste d'Interpol où pourtant le mandat d'arrêt lancé récemment contre lui est bien noté par le procureur général de la cour d'Alger. Le problème se poserait vraisemblablement par la nationalité américaine de l'ex-ministre de l'Energie qui a eu le temps de s'y réfugier. En matière de procédure judiciaire, Chakib Khelil peut obtenir le gage de ne pas être arrêté car le mandat d'arrêt à son encontre a été diffusé en qualité de citoyen de nationalité algérienne. Ce qui va compliquer probablement sa mise en arrestation aux Etats-Unis, à moins que le juge du district où Khellil réside, décide de lancer un mandat d'amener à son endroit. C'est d'ailleurs le cas également de Moumen Khalifa, qui est actuellement dans une prison en Grande-Bretagne mais dont le mandat d'arrêt à son encontre ne figure pas dans la liste d'Interpol où il est recherché pour différents délits.