Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a indiqué, samedi à Blida, que la révision de la Constitution doit passer par un référendum. Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a indiqué, samedi à Blida, que la révision de la Constitution doit passer par un référendum. ''Au FNA, nous estimons que le peuple est la source de toute légitimité et le détenteur de toute décision concernant le pays. Il faut laisser les citoyens s'exprimer librement sur le choix du régime politique à instaurer, qu'il soit parlementaire, présidentiel ou semi-présidentiel'', a affirmé Touati, lors d'un rassemblement populaire tenu dans la commune de Bougara. Réitérant l'opposition de son parti à un nouveau mandat présidentiel, Touati a indiqué que le FNA ''prendra part à la prochaine échéance électorale et jouera toutes ses cartes pour arriver au pouvoir, si les conditions de transparence y sont assurées''. Il a, d'autre part, dénoncé ce qu'il a appelé ''les formes de corruption et de clientélisme'', appelant à la nécessité d' ''instaurer la transparence dans la gestion des affaires du pays'' et de ''donner plus de considération au simple citoyen pour qu'il se sente maître dans sa patrie''. Le président du FNA a, par ailleurs, appelé à ''rendre la souveraineté au peuple conformément à la proclamation du 1er novembre 1954, qui a déterminé les fondements de l'Etat algérien''. ''Au FNA, nous estimons que le peuple est la source de toute légitimité et le détenteur de toute décision concernant le pays. Il faut laisser les citoyens s'exprimer librement sur le choix du régime politique à instaurer, qu'il soit parlementaire, présidentiel ou semi-présidentiel'', a affirmé Touati, lors d'un rassemblement populaire tenu dans la commune de Bougara. Réitérant l'opposition de son parti à un nouveau mandat présidentiel, Touati a indiqué que le FNA ''prendra part à la prochaine échéance électorale et jouera toutes ses cartes pour arriver au pouvoir, si les conditions de transparence y sont assurées''. Il a, d'autre part, dénoncé ce qu'il a appelé ''les formes de corruption et de clientélisme'', appelant à la nécessité d' ''instaurer la transparence dans la gestion des affaires du pays'' et de ''donner plus de considération au simple citoyen pour qu'il se sente maître dans sa patrie''. Le président du FNA a, par ailleurs, appelé à ''rendre la souveraineté au peuple conformément à la proclamation du 1er novembre 1954, qui a déterminé les fondements de l'Etat algérien''.