Le projet de loi de finances (PLF) pour 2014, adopté la semaine dernière par le Conseil des ministres, permet la mise en œuvre de la dernière tranche des dépenses d'équipement inscrite dans le programme quinquennal 2010-2014. Le projet de loi de finances (PLF) pour 2014, adopté la semaine dernière par le Conseil des ministres, permet la mise en œuvre de la dernière tranche des dépenses d'équipement inscrite dans le programme quinquennal 2010-2014. Les dépenses projetées par le PLF 2014 sont de 7.656,16 mds DA, contre des dépenses de 6.879,8 mds DA dans la loi de finances de 2013, soit une hausse de 11,28%. Plus de 4.714,45 mds DA de ces dépenses sont consacrés au fonctionnement, contre 4.335,6 mds DA en 2013, et 2.941,71 mds DA, contre 2.544,2 mds DA en 2013, à l'équipement. Les dépenses de fonctionnement projetées pour 2014 s'affichent ainsi en hausse de 8,7 % par rapport à 2013 alors que celles d'équipement sont en hausse de 15,6%. Les dépenses d'équipements sont réparties à raison de 2.050,34 mds DA pour l'investissement et 891,36 mds DA pour les opérations en capital. Pour ce qui est des investissements et des crédits il est prévu 781,6 mds DA pour les infrastructures économiques et administratives, 243,8 mds DA pour l'Education et la Formation, 236,6 mds DA pour la réalisation d'infrastructures socio-culturelles, 203,5 mds DA pour l'agriculture et l'hydraulique, 127,5 mds DA pour le soutien de l'accès à l'habitat, 29,3 mds DA pour le soutien aux services productifs, 2,8 mds DA à l'Industrie, 65 mds DA pour les PCD (Plans communaux de développement) et 360 mds DA pour des dépenses diverses. Quant aux opérations en capital, elles portent sur le soutien à l'activité économique (dotation des comptes d'affectation spéciale et bonification des taux d'intérêt) avec une enveloppe de 661,3 mds DA. Le Programme complémentaire au profit des wilayas doté de 70 mds DA. 160 mds DA pour la provision pour les dépenses imprévues. Les autorisations de programme ont été plafonnées à 2.744,3 mds DA contre un plafond de 2.240,2 mds DA en 2013. Ces autorisations couvrent le coût des réévaluations du programme en cours et celui des programmes neufs susceptibles d'être inscrits au cours de 2014. Les ressources attendues sont par ailleurs de 4.218,18 mds DA contre 3.820 mds DA en 2013, soit une hausse de 10,4%. Les ressources ordinaires sont de 2.640,45 mds DA, contre 2.204,1 mds DA en 2013. La fiscalité pétrolière budgétisée pour 2014 s'élève à 1.577,7 mds de DA (1.615,9 mds DA en 2013). Le déficit budgétaire prévu pour 2014 est de 3.438 mds DA (45 milliards de dollars), contre un déficit de 3.059,8 mds DA en 2013. Le texte prévoit une croissance de 4,5% (contre 5% en 2013) et une inflation de 3,5% (4% en 2013). Les dépenses projetées par le PLF 2014 sont de 7.656,16 mds DA, contre des dépenses de 6.879,8 mds DA dans la loi de finances de 2013, soit une hausse de 11,28%. Plus de 4.714,45 mds DA de ces dépenses sont consacrés au fonctionnement, contre 4.335,6 mds DA en 2013, et 2.941,71 mds DA, contre 2.544,2 mds DA en 2013, à l'équipement. Les dépenses de fonctionnement projetées pour 2014 s'affichent ainsi en hausse de 8,7 % par rapport à 2013 alors que celles d'équipement sont en hausse de 15,6%. Les dépenses d'équipements sont réparties à raison de 2.050,34 mds DA pour l'investissement et 891,36 mds DA pour les opérations en capital. Pour ce qui est des investissements et des crédits il est prévu 781,6 mds DA pour les infrastructures économiques et administratives, 243,8 mds DA pour l'Education et la Formation, 236,6 mds DA pour la réalisation d'infrastructures socio-culturelles, 203,5 mds DA pour l'agriculture et l'hydraulique, 127,5 mds DA pour le soutien de l'accès à l'habitat, 29,3 mds DA pour le soutien aux services productifs, 2,8 mds DA à l'Industrie, 65 mds DA pour les PCD (Plans communaux de développement) et 360 mds DA pour des dépenses diverses. Quant aux opérations en capital, elles portent sur le soutien à l'activité économique (dotation des comptes d'affectation spéciale et bonification des taux d'intérêt) avec une enveloppe de 661,3 mds DA. Le Programme complémentaire au profit des wilayas doté de 70 mds DA. 160 mds DA pour la provision pour les dépenses imprévues. Les autorisations de programme ont été plafonnées à 2.744,3 mds DA contre un plafond de 2.240,2 mds DA en 2013. Ces autorisations couvrent le coût des réévaluations du programme en cours et celui des programmes neufs susceptibles d'être inscrits au cours de 2014. Les ressources attendues sont par ailleurs de 4.218,18 mds DA contre 3.820 mds DA en 2013, soit une hausse de 10,4%. Les ressources ordinaires sont de 2.640,45 mds DA, contre 2.204,1 mds DA en 2013. La fiscalité pétrolière budgétisée pour 2014 s'élève à 1.577,7 mds de DA (1.615,9 mds DA en 2013). Le déficit budgétaire prévu pour 2014 est de 3.438 mds DA (45 milliards de dollars), contre un déficit de 3.059,8 mds DA en 2013. Le texte prévoit une croissance de 4,5% (contre 5% en 2013) et une inflation de 3,5% (4% en 2013).