Air Algérie va déployer son plan de développement à l'horizon 2017. Il est prévu l'acquisition de 16 nouveaux appareils. Les vols sur Paris et Pékin vont être renforcés, de même que la ligne Montréal connaîtra deux vols par jour. La compagnie consentira d'importantes réductions sur les tarifs. Les prestations de service seront revues et corrigées à la faveur d'un nouveau plan de management. Air Algérie va déployer son plan de développement à l'horizon 2017. Il est prévu l'acquisition de 16 nouveaux appareils. Les vols sur Paris et Pékin vont être renforcés, de même que la ligne Montréal connaîtra deux vols par jour. La compagnie consentira d'importantes réductions sur les tarifs. Les prestations de service seront revues et corrigées à la faveur d'un nouveau plan de management. Le P.-dg d'Air Algérie, Mohamed Boultif, s'est exprimé hier au forum d'El Moudjahid sur beaucoup de questions. Il souligne d'abord la nécessité d'étoffer la flotte à travers l'acquisition de 16 nouveaux appareils qui seront réceptionnés au fur et à mesure jusqu'à 2017. « Les négociations avec le constructeurs sont en phase finale et à la fion de l'année, on fera connaître tous les détails sur cette opération », a-t-il indiqué. Ce que l'on sait, c'est que les coûts de cette opération sont évalués à 60 milliards DA. Le challenge pour le P.-dg est de continuer à satisfaire la demande de plus en exigeante, en consentant la réduction des tarifs à l'international. La ligne Alger-Paris qui reste la plus importante en raison de l'importante communauté nationale qui réside en France. A ce sujet, le P.-dg a indiqué que la ligne va être renforcée par deux vols quotidiennement supplémentaires en période estivale. Les tarifs se déclinent selon lui à travers une réduction où le vol d'Alger à Paris sera de 19.900 DA pour les nationaux. Les résidents nationaux en France devront payer leurs billets selon la catégorie. Le tarif senior de Paris vers Alger sera de 387 euros, celui des familles est de 316 euros et le tarif junior (12 à 29 ans) s'établira autour de 332 euros. Mais à partir du 1er juillet 2014, le tarif sera de 200 euros comme réduction pour le mois de Ramadhan. Le P-DG de la compagnie conteste que les tarifs soient chers. Selon lui «la compagnie paye les taxes françaises de 120 euros». Ce qui justifie ces prix. L'absence de compagnie Low cost fait qu'Air Algérie est seule sur un marché de lignes régulières avec des concurrents de la même taille. Le responsable de la compagnie souhaite d'ailleurs qu'il y ait des compagnies de ce genre. « La concurrence du privé ne nous fait pas peur» a-t-il martelé. Mais, selon le premier responsable « Air Algérie applique depuis deux ans des tarifs spéciaux pour la communauté algérienne à l'étranger ». Pour résorber le flux des retours à la fin de la saison estivale, la compagnie programme 40 vols supplémentaires pour parer au rush des passagers. « Nous n'enregistrons aucun retard grâce au programme de vols supplémentaires en direction de la France». Côté prestations, Mohamed Boultif estime que « rien n'est parfait !». Les efforts déployés vont permettre à la compagnie de s'améliorer. Le P-DG d'Air Algérie justifie ces « abus » par le nombre de 200 vols par jour à gérer. Toutefois, il donne une idée sur le nouveau logiciel de Yield Management qui a été installé pour faciliter le trafic des passagers à n'importe quelle destination. A ce propos, les indices sur le nombre des passagers enregistrés annuellement évoluent avec 3,8 millions de passagers en 2011, 4,4 millions de passagers en 2012 et 4,8 millions attendus en 2013. Quant aux raisons du retard de certains vols elles ont été éludées par le président de la compagnie qui a déploré que des cas spécifiques peuvent être réglés. Sans plus. Toutefois, Mohamed Boultif reste serein pour l'avenir surtout avec le nouveau projet de l'aérogare qui sera conçu comme un véritable « hub » international. Air Algérie aura son terminal à part dans cette infrastructure et pourra élargir ses destinations partout. Le P.-dg d'Air Algérie, Mohamed Boultif, s'est exprimé hier au forum d'El Moudjahid sur beaucoup de questions. Il souligne d'abord la nécessité d'étoffer la flotte à travers l'acquisition de 16 nouveaux appareils qui seront réceptionnés au fur et à mesure jusqu'à 2017. « Les négociations avec le constructeurs sont en phase finale et à la fion de l'année, on fera connaître tous les détails sur cette opération », a-t-il indiqué. Ce que l'on sait, c'est que les coûts de cette opération sont évalués à 60 milliards DA. Le challenge pour le P.-dg est de continuer à satisfaire la demande de plus en exigeante, en consentant la réduction des tarifs à l'international. La ligne Alger-Paris qui reste la plus importante en raison de l'importante communauté nationale qui réside en France. A ce sujet, le P.-dg a indiqué que la ligne va être renforcée par deux vols quotidiennement supplémentaires en période estivale. Les tarifs se déclinent selon lui à travers une réduction où le vol d'Alger à Paris sera de 19.900 DA pour les nationaux. Les résidents nationaux en France devront payer leurs billets selon la catégorie. Le tarif senior de Paris vers Alger sera de 387 euros, celui des familles est de 316 euros et le tarif junior (12 à 29 ans) s'établira autour de 332 euros. Mais à partir du 1er juillet 2014, le tarif sera de 200 euros comme réduction pour le mois de Ramadhan. Le P-DG de la compagnie conteste que les tarifs soient chers. Selon lui «la compagnie paye les taxes françaises de 120 euros». Ce qui justifie ces prix. L'absence de compagnie Low cost fait qu'Air Algérie est seule sur un marché de lignes régulières avec des concurrents de la même taille. Le responsable de la compagnie souhaite d'ailleurs qu'il y ait des compagnies de ce genre. « La concurrence du privé ne nous fait pas peur» a-t-il martelé. Mais, selon le premier responsable « Air Algérie applique depuis deux ans des tarifs spéciaux pour la communauté algérienne à l'étranger ». Pour résorber le flux des retours à la fin de la saison estivale, la compagnie programme 40 vols supplémentaires pour parer au rush des passagers. « Nous n'enregistrons aucun retard grâce au programme de vols supplémentaires en direction de la France». Côté prestations, Mohamed Boultif estime que « rien n'est parfait !». Les efforts déployés vont permettre à la compagnie de s'améliorer. Le P-DG d'Air Algérie justifie ces « abus » par le nombre de 200 vols par jour à gérer. Toutefois, il donne une idée sur le nouveau logiciel de Yield Management qui a été installé pour faciliter le trafic des passagers à n'importe quelle destination. A ce propos, les indices sur le nombre des passagers enregistrés annuellement évoluent avec 3,8 millions de passagers en 2011, 4,4 millions de passagers en 2012 et 4,8 millions attendus en 2013. Quant aux raisons du retard de certains vols elles ont été éludées par le président de la compagnie qui a déploré que des cas spécifiques peuvent être réglés. Sans plus. Toutefois, Mohamed Boultif reste serein pour l'avenir surtout avec le nouveau projet de l'aérogare qui sera conçu comme un véritable « hub » international. Air Algérie aura son terminal à part dans cette infrastructure et pourra élargir ses destinations partout.