Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a souligné mardi à Alger la nécessité de sortir le don d'organes du cadre familial et de passer au prélèvement sur des cadavres. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a souligné mardi à Alger la nécessité de sortir le don d'organes du cadre familial et de passer au prélèvement sur des cadavres. Intervenant lors d‘une visite effectuée au CHU de Beni Messous, M. Boudiaf a affirmé que "la greffe d‘organes en Algérie est limitée actuellement au cadre familial", ajoutant que les Algériens "refusent toujours les prélèvements d‘organes sur des cadavres" en dépit de l‘existence d‘un texte de loi régissant cette opération outre les avis de religieux l‘autorisant également rapporte l‘APS. Dans ce contexte, le ministre a indiqué que "la loi 05-85 sera bientôt révisée et cette question fera l‘objet d‘examen lors des assises nationales sur la Santé prévues durant la première semaine du moi de mai". Outre le fichier national des cancéreux en cours d‘élaboration, M. Boudiaf a affirmé que son secteur procédera à la mise en place d‘un fichier similaire pour les demandeurs de greffe d‘organes, soulignant que le travail de l‘Agence nationale de greffe d‘organes sera palpable sur le terrain. Le premier responsable du secteur a révélé que son secteur "délivrera, dans les plus brefs délais, des autorisations à près de 50 cliniques privées spécialisées en hémodialyse", ajoutant que son département avait donné des instructions rigoureuses concernant la "nécessité de mettre la santé du malade au dessus de toute autre considération". Après avoir inauguré le nouveau service de médecine légale, le nouveau service de radiologie et un amphithéâtre au CHU de Béni Messous, le ministre a tenu à saluer le travail cohérent de l‘équipe médicale de l‘hôpital et du staff administratif appelant à préserver les acquis du secteur. En réponse à une question sur l‘augmentation prévue des salaires des gestionnaires des établissements hospitaliers, M. Boudiaf a déclaré que son secteur avait programmé une révision de leurs salaires, "d‘autant qu‘ils constituent le maillon faible du secteur". Intervenant lors d‘une visite effectuée au CHU de Beni Messous, M. Boudiaf a affirmé que "la greffe d‘organes en Algérie est limitée actuellement au cadre familial", ajoutant que les Algériens "refusent toujours les prélèvements d‘organes sur des cadavres" en dépit de l‘existence d‘un texte de loi régissant cette opération outre les avis de religieux l‘autorisant également rapporte l‘APS. Dans ce contexte, le ministre a indiqué que "la loi 05-85 sera bientôt révisée et cette question fera l‘objet d‘examen lors des assises nationales sur la Santé prévues durant la première semaine du moi de mai". Outre le fichier national des cancéreux en cours d‘élaboration, M. Boudiaf a affirmé que son secteur procédera à la mise en place d‘un fichier similaire pour les demandeurs de greffe d‘organes, soulignant que le travail de l‘Agence nationale de greffe d‘organes sera palpable sur le terrain. Le premier responsable du secteur a révélé que son secteur "délivrera, dans les plus brefs délais, des autorisations à près de 50 cliniques privées spécialisées en hémodialyse", ajoutant que son département avait donné des instructions rigoureuses concernant la "nécessité de mettre la santé du malade au dessus de toute autre considération". Après avoir inauguré le nouveau service de médecine légale, le nouveau service de radiologie et un amphithéâtre au CHU de Béni Messous, le ministre a tenu à saluer le travail cohérent de l‘équipe médicale de l‘hôpital et du staff administratif appelant à préserver les acquis du secteur. En réponse à une question sur l‘augmentation prévue des salaires des gestionnaires des établissements hospitaliers, M. Boudiaf a déclaré que son secteur avait programmé une révision de leurs salaires, "d‘autant qu‘ils constituent le maillon faible du secteur".