Le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques a lancé une session de formation au profit de 56 professionnels en prévision de la saison de la pêche au thon rouge qui débutera le 26 mai et se poursuivra jusqu'au 4 juin. Le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques a lancé une session de formation au profit de 56 professionnels en prévision de la saison de la pêche au thon rouge qui débutera le 26 mai et se poursuivra jusqu'au 4 juin. Le directeur de la pêche au ministère, Kaddour Aomar a indiqué à l'APS que le nombre de thoniers a augmenté cette année passant à huit contre quatre en 2013. Il a ajouté que le quota de l'Algérie pour la pêche au thon s'est, cependant, stabilisé aux alentours de 243,84 tonnes pour 2014, précisant que les négociateurs algériens ont avancé dans leurs concertations avec la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA). La partie algérienne a pu décrocher la reconnaissance de la commission qui a publié une décision qui prévoit de reconsidérer la part de l'Algérie avec un retour au quota fixé en 2010 (680 tonnes) dès la prochaine révision qu'effectuera la CICTA. Le ministère compte par ailleurs, selon Kaddour Aomar, lancer des opérations d'engraissement du thon rouge en fournissant des cages d'engraissement et en prenant en charge l'aspect technique, affirmant toutefois que cela dépend également de la contribution des investisseurs privés. La formation, a-t-il indiqué, devrait asseoir les règles de la pêche au thon rouge en Algérie et aider à la préparation de la flotte dédiée à cette activité et qui est à même d'inciter les opérateurs nationaux à se tourner vers la culture du thon rouge. "Nous avons constaté des défaillances dans l'opération de la pêche au thon durant les années précédentes et voulons former les concernés selon les standards internationaux", a indiqué la sous-directrice de gestion et d'aménagement des ressources halieutiques au ministère, Lounis Samia. Le ministère compte confier l'opération de la pêche dans les prochaines années à des experts algériens après avoir compté sur des spécialistes étrangers depuis 2010, a-t-elle ajouté. Cette formation concerne 18 contrôleurs de la direction de la pêche au ministère, quatre garde-côtes, quatre cadres de l'Institut national supérieur de la pêche et des ressources halieutiques, six scaphandriers et 24 agents marins. Selon Mme Lounis, cette formation vise à établir la liaison entre les contrôleurs relevant du ministère de la Pêche et des contrôleurs de la CICTA dans le cadre d'un échange d'informations et de statistiques sur la pêche au thon rouge. La formation qui s'étalera sur deux jours sera encadrée par la CICTA. La CICTA avait affirmé que la "récupération par l'Algérie de son quota historique de thon rouge sera au centre de la prochaine révision des quotas". Le directeur de la pêche au ministère, Kaddour Aomar a indiqué à l'APS que le nombre de thoniers a augmenté cette année passant à huit contre quatre en 2013. Il a ajouté que le quota de l'Algérie pour la pêche au thon s'est, cependant, stabilisé aux alentours de 243,84 tonnes pour 2014, précisant que les négociateurs algériens ont avancé dans leurs concertations avec la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA). La partie algérienne a pu décrocher la reconnaissance de la commission qui a publié une décision qui prévoit de reconsidérer la part de l'Algérie avec un retour au quota fixé en 2010 (680 tonnes) dès la prochaine révision qu'effectuera la CICTA. Le ministère compte par ailleurs, selon Kaddour Aomar, lancer des opérations d'engraissement du thon rouge en fournissant des cages d'engraissement et en prenant en charge l'aspect technique, affirmant toutefois que cela dépend également de la contribution des investisseurs privés. La formation, a-t-il indiqué, devrait asseoir les règles de la pêche au thon rouge en Algérie et aider à la préparation de la flotte dédiée à cette activité et qui est à même d'inciter les opérateurs nationaux à se tourner vers la culture du thon rouge. "Nous avons constaté des défaillances dans l'opération de la pêche au thon durant les années précédentes et voulons former les concernés selon les standards internationaux", a indiqué la sous-directrice de gestion et d'aménagement des ressources halieutiques au ministère, Lounis Samia. Le ministère compte confier l'opération de la pêche dans les prochaines années à des experts algériens après avoir compté sur des spécialistes étrangers depuis 2010, a-t-elle ajouté. Cette formation concerne 18 contrôleurs de la direction de la pêche au ministère, quatre garde-côtes, quatre cadres de l'Institut national supérieur de la pêche et des ressources halieutiques, six scaphandriers et 24 agents marins. Selon Mme Lounis, cette formation vise à établir la liaison entre les contrôleurs relevant du ministère de la Pêche et des contrôleurs de la CICTA dans le cadre d'un échange d'informations et de statistiques sur la pêche au thon rouge. La formation qui s'étalera sur deux jours sera encadrée par la CICTA. La CICTA avait affirmé que la "récupération par l'Algérie de son quota historique de thon rouge sera au centre de la prochaine révision des quotas".