Dans la wilaya d'Aïn-Témouchent, la valorisation des potentialités agricoles offre plusieurs opportunités aux investisseurs, notamment, dans le domaine de la viticulture, a indiqué la Direction des services agricoles. Dans la wilaya d'Aïn-Témouchent, la valorisation des potentialités agricoles offre plusieurs opportunités aux investisseurs, notamment, dans le domaine de la viticulture, a indiqué la Direction des services agricoles. Créneau redynamisé et renforcé, à partir de 2001, par le programme national de développement de l'agriculture et du monde rural (PNDAR) grâce à la politique de soutien, la réhabilitation viticole a permis d'atteindre une production annuelle de plus de 400.000 quintaux de raisin pour une superficie de 13.000 ha, a souligné la même direction à l'APS, affirmant cependant, qu'au vu de la vétusté et l'inaptitude des structures de transformation et de stockage, il est difficile de réaliser un produit de qualité et concurrentiel sur le marché. Selon la DSA, pour éliminer ces difficultés, il serait judicieux, pour cette filière, de réaliser de petites unités de transformation du raisin d'une capacité moyenne de 25.000 hectolitres qui seront destinées à la production et le conditionnement du jus de raisin et du vinaigre et la distillerie pour la production d'alcool pharmaceutique. Quant aux opérateurs désireux d'investir dans le secteur de l'agroalimentaire, un créneau d'investissement potentiel se présente dans ce domaine, a souligné l'APS, cependant, la filière de la viticulture devrait faire face aux difficultés liées à l'indisponibilité de la main d'oeuvre ordinaire (saisonnière) et qualifiée, l'absence d'un réseau de commercialisation des produits agricoles et de micro entreprises en agroalimentaires. Selon l'APS, elle doit, également, rechercher et former des ouvriers dans certaines spécialités, à l'instar des maîtres tailleurs, maîtres greffeurs. Enfin, la viticulture fait face aussi au phénomène de l'arrachage massif de la vigne pour être remplacée par la céréaliculture autrement plus soutenue par les pouvoirs publics. La Direction des services agricoles estime que sa réhabilitation passe inéluctablement par le renforcement du dispositif de soutien à cette filière afin d'encourager les viticulteurs à dépasser les différents problèmes cités et augurer davantage de production viticole. Selon les prévisions de la DSA, pour cette saison 2013-2014, une faible production est attendue pour la filière, et dès à présent, des prix prohibitifs sont appliqués sur le marché pour les premières productions, à l'instar du cardinal, un cépage noir de raisin de table, cédé à 250 dinars/kilo. Créneau redynamisé et renforcé, à partir de 2001, par le programme national de développement de l'agriculture et du monde rural (PNDAR) grâce à la politique de soutien, la réhabilitation viticole a permis d'atteindre une production annuelle de plus de 400.000 quintaux de raisin pour une superficie de 13.000 ha, a souligné la même direction à l'APS, affirmant cependant, qu'au vu de la vétusté et l'inaptitude des structures de transformation et de stockage, il est difficile de réaliser un produit de qualité et concurrentiel sur le marché. Selon la DSA, pour éliminer ces difficultés, il serait judicieux, pour cette filière, de réaliser de petites unités de transformation du raisin d'une capacité moyenne de 25.000 hectolitres qui seront destinées à la production et le conditionnement du jus de raisin et du vinaigre et la distillerie pour la production d'alcool pharmaceutique. Quant aux opérateurs désireux d'investir dans le secteur de l'agroalimentaire, un créneau d'investissement potentiel se présente dans ce domaine, a souligné l'APS, cependant, la filière de la viticulture devrait faire face aux difficultés liées à l'indisponibilité de la main d'oeuvre ordinaire (saisonnière) et qualifiée, l'absence d'un réseau de commercialisation des produits agricoles et de micro entreprises en agroalimentaires. Selon l'APS, elle doit, également, rechercher et former des ouvriers dans certaines spécialités, à l'instar des maîtres tailleurs, maîtres greffeurs. Enfin, la viticulture fait face aussi au phénomène de l'arrachage massif de la vigne pour être remplacée par la céréaliculture autrement plus soutenue par les pouvoirs publics. La Direction des services agricoles estime que sa réhabilitation passe inéluctablement par le renforcement du dispositif de soutien à cette filière afin d'encourager les viticulteurs à dépasser les différents problèmes cités et augurer davantage de production viticole. Selon les prévisions de la DSA, pour cette saison 2013-2014, une faible production est attendue pour la filière, et dès à présent, des prix prohibitifs sont appliqués sur le marché pour les premières productions, à l'instar du cardinal, un cépage noir de raisin de table, cédé à 250 dinars/kilo.