Le dialogue intermalien inclusif se poursuivait hier à Alger, à huis clos, entre le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires de la région du nord du Mali ayant adhéré au processus de négociations sous la conduite de l'Algérie. Le dialogue intermalien inclusif se poursuivait hier à Alger, à huis clos, entre le gouvernement malien et les représentants des groupes politico-militaires de la région du nord du Mali ayant adhéré au processus de négociations sous la conduite de l'Algérie. L'équipe de médiation, conduite par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, la délégation du gouvernement malien, avec à sa tête le chef de la diplomatie, Abdoulay Diop, ainsi que les représentants du mouvement de la plateforme (Nord-Mali), doivent "discuter de la quintessence du document global de négociation qui a été remis aux parties au début du mois d'octobre" a indiqué à l'APS le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif. Les parties examinent également "les revendications des groupes politico-militaires du Nord et les propositions du gouvernement malien", a-t-il précisé. Samedi, les parties engagées dans le dialogue avaient étudié les réactions et commentaires des parties maliennes au document portant éléments pour un accord de paix globale et définitive dont elles étaient saisies depuis octobre 2014. Pendant deux jours (vendredi et samedi), l'équipe de médiation s'est attelée à recueillir les propositions consolidées des parties sur le document de la médiation. Ce document a fait l'objet d'un examen minutieux au niveau des experts de la médiation conduite par l'Algérie, à la lumière des propositions préliminaires formulées dans le cadre des quatre groupes de négociations relatifs notamment aux questions institutionnelles, sécurité et développement économique. Il tient compte également des préoccupations exprimées en septembre dernier par la société civile et les représentants des communautés du Mali. Outre les représentants du gouvernement malien, les six mouvements signataires des deux documents sont le Mouvement arabe de l'Azawad, la Coordination pour le peuple de l'Azawad, la Coordination des mouvements et fronts patriotiques de résistance, le Mouvement national de libération de l'Azawad, le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident). L'équipe de médiation, conduite par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, la délégation du gouvernement malien, avec à sa tête le chef de la diplomatie, Abdoulay Diop, ainsi que les représentants du mouvement de la plateforme (Nord-Mali), doivent "discuter de la quintessence du document global de négociation qui a été remis aux parties au début du mois d'octobre" a indiqué à l'APS le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif. Les parties examinent également "les revendications des groupes politico-militaires du Nord et les propositions du gouvernement malien", a-t-il précisé. Samedi, les parties engagées dans le dialogue avaient étudié les réactions et commentaires des parties maliennes au document portant éléments pour un accord de paix globale et définitive dont elles étaient saisies depuis octobre 2014. Pendant deux jours (vendredi et samedi), l'équipe de médiation s'est attelée à recueillir les propositions consolidées des parties sur le document de la médiation. Ce document a fait l'objet d'un examen minutieux au niveau des experts de la médiation conduite par l'Algérie, à la lumière des propositions préliminaires formulées dans le cadre des quatre groupes de négociations relatifs notamment aux questions institutionnelles, sécurité et développement économique. Il tient compte également des préoccupations exprimées en septembre dernier par la société civile et les représentants des communautés du Mali. Outre les représentants du gouvernement malien, les six mouvements signataires des deux documents sont le Mouvement arabe de l'Azawad, la Coordination pour le peuple de l'Azawad, la Coordination des mouvements et fronts patriotiques de résistance, le Mouvement national de libération de l'Azawad, le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident).