Constantine comme capitale de la culture arabe a été inaugurée solennellement le 16 avril. Une date qui correspond avec Youm el ilm qui évoque toute sa symbolique dans un contexte où l'Algérie aura à vivre des moments forts de l'histoire de sa culture en partage avec les autres pays arabes. Constantine comme capitale de la culture arabe a été inaugurée solennellement le 16 avril. Une date qui correspond avec Youm el ilm qui évoque toute sa symbolique dans un contexte où l'Algérie aura à vivre des moments forts de l'histoire de sa culture en partage avec les autres pays arabes. La cérémonie d'ouverture de la capitale culturelle arabe a été une véritable épopée de l'histoire de Constantine. Le gouvernement avec ses ministres, les diplomates et ambassadeurs des pays arabes ainsi que des hommes de culture et autres personnalités ont pu apprécier un spectacle bien conçu sur le plan artistique et de la présentation sauf quelques imperfections qui ont été relevées sur le plan narratif. La soirée artistique a été un moment fort après le discours officiel du président de la République lu par son représentant, Benamar Zerhouni et les allocutions du SG de la Ligue arabe Nabil El Arabi et l'intervention du commissaire du festival, Hocine Bencheikh. Le spectacle qui a duré plus de deux heures a mis en valeur un jeu scénique composé de 500 comédiens qui se sont succédé sur les planches de la salle de spectacle du « Zénith» qui a affiché salle comble par un public venu écouter et voir l'histoire de Constantine de l'époque antique à nos jours. Il faut dire que le réalisateur Brahim Aissaoui et le scénariste de la pièce Fawzi Benbraham ont su illustrer une épopée chargée de grands personnages allant de l'époque numide, en passant par la présence de Rome et traversant les siècles en évènements politiques majeurs jusqu'à l'arrivée des conquérants musulmans et leurs dynasties. Ensuite l'époque ottomane avec le passage de plusieurs Beys dont le plus connu Ahmed Bey qui a résisté à la colonisation française. Puis l'histoire contemporaine avec les figures du nationalisme algérien et l'illustre Ibn Benbadis qui reste la figure de proue pour la ville. Le spectacle n'a pas manqué en épaisseur et a dû mobiliser des moyens de sonorisation bien réglés et un jeu de lumières qui se sont combinés avec des lectures poétiques bien maîtrisées. Le Premier ministre qui a affiché une nette satisfaction a tenu à rendre hommage à toute l'équipe artistique qui a participé à la mise en scène et à l'écriture de cette fresque culturelle, en leur attribuant des prix symboliques afin de les pousser à investir en termes de créativité. Cirta en effervescence culturelle Constantine est désormais consacrée capitale de la culture arabe. Une préparation minutieuse avait été entamée depuis presque un an. Les infrastructures nouvellement créées, des artistes de talent et des notabilités du monde culturel vont devoir relever un défi extraordinaire pour toute l'année. Ainsi l'évènement tant attendu et qui a mobilisé des moyens colossaux a été au rendez- vous. Il y a un challenge culturel qui ne dit pas son nom face aux activités qui vont se succéder. Aussi prévoit-on des dizaines de conférences, lectures de poésie, une production foisonnante de théâtre et bien entendu le cinéma en tant que 7eme art aura la part belle pour illustrer films, documentaires et reportages culturels des pays arabes invités à exprimer leurs verve et créativité en tous genres. C'est assurément l'évènement qui va également susciter de l'intérêt pour les Constantinois qui ont cette soif de la culture et de connaissances de patrimoine de leur cité d'abord et des autres pays arabes qui vont la décliner sous forme artistique ou intellectuelle avec des modes d'expression aussi variés. Du côté du gouvernement, on promet que l'année 2015 sera celle d'un bouillonnement culturel avec un programme qui mettra en valeur les artistes, La cérémonie d'ouverture de la capitale culturelle arabe a été une véritable épopée de l'histoire de Constantine. Le gouvernement avec ses ministres, les diplomates et ambassadeurs des pays arabes ainsi que des hommes de culture et autres personnalités ont pu apprécier un spectacle bien conçu sur le plan artistique et de la présentation sauf quelques imperfections qui ont été relevées sur le plan narratif. La soirée artistique a été un moment fort après le discours officiel du président de la République lu par son représentant, Benamar Zerhouni et les allocutions du SG de la Ligue arabe Nabil El Arabi et l'intervention du commissaire du festival, Hocine Bencheikh. Le spectacle qui a duré plus de deux heures a mis en valeur un jeu scénique composé de 500 comédiens qui se sont succédé sur les planches de la salle de spectacle du « Zénith» qui a affiché salle comble par un public venu écouter et voir l'histoire de Constantine de l'époque antique à nos jours. Il faut dire que le réalisateur Brahim Aissaoui et le scénariste de la pièce Fawzi Benbraham ont su illustrer une épopée chargée de grands personnages allant de l'époque numide, en passant par la présence de Rome et traversant les siècles en évènements politiques majeurs jusqu'à l'arrivée des conquérants musulmans et leurs dynasties. Ensuite l'époque ottomane avec le passage de plusieurs Beys dont le plus connu Ahmed Bey qui a résisté à la colonisation française. Puis l'histoire contemporaine avec les figures du nationalisme algérien et l'illustre Ibn Benbadis qui reste la figure de proue pour la ville. Le spectacle n'a pas manqué en épaisseur et a dû mobiliser des moyens de sonorisation bien réglés et un jeu de lumières qui se sont combinés avec des lectures poétiques bien maîtrisées. Le Premier ministre qui a affiché une nette satisfaction a tenu à rendre hommage à toute l'équipe artistique qui a participé à la mise en scène et à l'écriture de cette fresque culturelle, en leur attribuant des prix symboliques afin de les pousser à investir en termes de créativité. Cirta en effervescence culturelle Constantine est désormais consacrée capitale de la culture arabe. Une préparation minutieuse avait été entamée depuis presque un an. Les infrastructures nouvellement créées, des artistes de talent et des notabilités du monde culturel vont devoir relever un défi extraordinaire pour toute l'année. Ainsi l'évènement tant attendu et qui a mobilisé des moyens colossaux a été au rendez- vous. Il y a un challenge culturel qui ne dit pas son nom face aux activités qui vont se succéder. Aussi prévoit-on des dizaines de conférences, lectures de poésie, une production foisonnante de théâtre et bien entendu le cinéma en tant que 7eme art aura la part belle pour illustrer films, documentaires et reportages culturels des pays arabes invités à exprimer leurs verve et créativité en tous genres. C'est assurément l'évènement qui va également susciter de l'intérêt pour les Constantinois qui ont cette soif de la culture et de connaissances de patrimoine de leur cité d'abord et des autres pays arabes qui vont la décliner sous forme artistique ou intellectuelle avec des modes d'expression aussi variés. Du côté du gouvernement, on promet que l'année 2015 sera celle d'un bouillonnement culturel avec un programme qui mettra en valeur les artistes,