Des dizaines de villageois ont protesté, hier, devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour réclamer l'amélioration de leurs conditions de vie dans leur localité. Des dizaines de villageois ont protesté, hier, devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour réclamer l'amélioration de leurs conditions de vie dans leur localité. Les habitants de plusieurs villages de Tizi N'Ali Nslimane, Idjelouahen, Ighil Messeda dans la commune de Bordj Ménaïel se sont révoltés pour exprimer leur indignation quant au laxisme des responsables locaux qui n'ont pas fait beaucoup de choses pour améliorer le quotidien de villageois. Les villages réclament en effet, le revêtement de 4 km d'une route les reliant au chef-lieu communal. Ce tronçon routier, disent des manifestants, n'a pas été aménagé depuis son ouverture durant l'époque coloniale. Ils trouvent d'énormes difficultés pour rejoindre leurs habitations notamment en période hivernale où les moyens de transports se font très rares. Les villageois exigent son revêtement et réclament l'ouverture du centre de soins occupé depuis plusieurs années. Pour une simple consultation, ils sont contraints de rallier les établissements de santé de la ville. La salle de soins en question a été construite durant les années 80 et n'a jamais ouvert ses portes. « Nous vivotons un calvaire inégalé depuis plusieurs années, et les responsables ne se soucient que de leurs carrières politiques », tempête un manifestant. L'école primaire du village est fermée depuis 2003 et les élèves parcourent plusieurs kilomètres à pied pour rejoindre les écoles se trouvant au village Ait Sidi Amara dans la commune mitoyenne de Timzerite et au village Tizi N'aliN'slimane. Les habitants de plusieurs villages de Tizi N'Ali Nslimane, Idjelouahen, Ighil Messeda dans la commune de Bordj Ménaïel se sont révoltés pour exprimer leur indignation quant au laxisme des responsables locaux qui n'ont pas fait beaucoup de choses pour améliorer le quotidien de villageois. Les villages réclament en effet, le revêtement de 4 km d'une route les reliant au chef-lieu communal. Ce tronçon routier, disent des manifestants, n'a pas été aménagé depuis son ouverture durant l'époque coloniale. Ils trouvent d'énormes difficultés pour rejoindre leurs habitations notamment en période hivernale où les moyens de transports se font très rares. Les villageois exigent son revêtement et réclament l'ouverture du centre de soins occupé depuis plusieurs années. Pour une simple consultation, ils sont contraints de rallier les établissements de santé de la ville. La salle de soins en question a été construite durant les années 80 et n'a jamais ouvert ses portes. « Nous vivotons un calvaire inégalé depuis plusieurs années, et les responsables ne se soucient que de leurs carrières politiques », tempête un manifestant. L'école primaire du village est fermée depuis 2003 et les élèves parcourent plusieurs kilomètres à pied pour rejoindre les écoles se trouvant au village Ait Sidi Amara dans la commune mitoyenne de Timzerite et au village Tizi N'aliN'slimane.