Les concessionnaires automobiles seront tenus, à partir de 2016, de déclarer l'impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS), et ce, dans le cadre de la mise en place des licences d'importation, a indiqué, au courant de la semaine dernière, le ministre du Commerce, Amara Benyounes. Les concessionnaires automobiles seront tenus, à partir de 2016, de déclarer l'impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS), et ce, dans le cadre de la mise en place des licences d'importation, a indiqué, au courant de la semaine dernière, le ministre du Commerce, Amara Benyounes. Rappelant que les importations de véhicules seront soumises aux licences d'importation à partir de 2016, Benyounes a affirmé que "parmi les critères qui seront exigés (dans le cadre de ce mécanisme) est la déclaration de l'IBS". "C'est parmi les plus grands vendeurs de voitures en Algérie qu'il y a moins de déclaration d'impôts. Cela veut dire que leurs marges (bénéficiaires) sont faites à l'étranger", a-t-il affirmé. "Nous sommes le seul pays au monde où nous pouvons importer autant de voitures que nous voulons. Les concessionnaires algériens ne sont jamais limités dans le nombre de leurs importations", a-t-il observé. Selon le ministre, "tous les concessionnaires automobiles, sans aucune exception, sont astreints par les constructeurs à importer (pour le marché algérien) un certain nombre de véhicules", ce qui a permis, parfois, d'introduire sur le marché national des véhicules avec de fausses dates de fabrication. "Il est possible que vous achetiez une voiture en 2015 alors qu'en réalité, elle a été fabriquée en 2014 ou en 2013", a-t-il fait savoir. Parmi les produits qui feront l'objet de licences, Benyounes a cité les véhicules. Rappelant que les importations de véhicules seront soumises aux licences d'importation à partir de 2016, Benyounes a affirmé que "parmi les critères qui seront exigés (dans le cadre de ce mécanisme) est la déclaration de l'IBS". "C'est parmi les plus grands vendeurs de voitures en Algérie qu'il y a moins de déclaration d'impôts. Cela veut dire que leurs marges (bénéficiaires) sont faites à l'étranger", a-t-il affirmé. "Nous sommes le seul pays au monde où nous pouvons importer autant de voitures que nous voulons. Les concessionnaires algériens ne sont jamais limités dans le nombre de leurs importations", a-t-il observé. Selon le ministre, "tous les concessionnaires automobiles, sans aucune exception, sont astreints par les constructeurs à importer (pour le marché algérien) un certain nombre de véhicules", ce qui a permis, parfois, d'introduire sur le marché national des véhicules avec de fausses dates de fabrication. "Il est possible que vous achetiez une voiture en 2015 alors qu'en réalité, elle a été fabriquée en 2014 ou en 2013", a-t-il fait savoir. Parmi les produits qui feront l'objet de licences, Benyounes a cité les véhicules.