Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, aexpliqué hier, la démarche du gouvernement derrière la décision d'ouvrir l'importationdes véhicules d'occasion de moinsde trois ans. Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, aexpliqué hier, la démarche du gouvernement derrière la décision d'ouvrir l'importationdes véhicules d'occasion de moinsde trois ans. "Je suis chargé, avec mon collègue des finances, d'examiner la question des véhicules d'occasion. On adémarré avec la question de moins de trois ans", a indiqué le ministre, lors d'un pointpresse filmé par la chaîne de télévision ElBilad. "Nous sommes en train de voir tousles aspects techniques, économiques etfinanciers de ce dossier, qui vient d'êtreouvert", a-t-il ajouté. Le ministre a indiqué,que le paiement du véhicule d'occasionsera du ressort du citoyen qui devrarégler la facture en devises et non endinars. "La chose qui est importante, c'estque l'argent entrera dans la banque. Il y adonc une traçabilité de l'argent qui sortdu marché parallèle, pour entrer dans labanque", a affirmé Saïd Djellab. "Aumoins on aura une idée de la masse d'argentqu'on peut retirer du marché informel, pour le faire entrer dans le marchéformel", a en outre avancé le ministre. Leministre du Commerce a par ailleurs indiqué,que le gouvernement aspire avec cettedécision de voir les prix des véhiculesassemblés localement baisser. "Un desobjectifs de l'importation des véhiculesd'occasion, bien sûr avec le respect desconditions techniques, environnementaleset sécuritaires, ça va apaiser et faire pressionsur les prix des véhicules locaux", aindiqué Djellab."Ça va faire un facteur externe de pressionsur la baisse des prix", a estimé le ministre,ajoutant que "l'autre aspect est dedonner une chance aux citoyens, d'acheterun véhicule de moins de trois ans, selonses et ses moyens" "Je suis chargé, avec mon collègue des finances, d'examiner la question des véhicules d'occasion. On adémarré avec la question de moins de trois ans", a indiqué le ministre, lors d'un pointpresse filmé par la chaîne de télévision ElBilad. "Nous sommes en train de voir tousles aspects techniques, économiques etfinanciers de ce dossier, qui vient d'êtreouvert", a-t-il ajouté. Le ministre a indiqué,que le paiement du véhicule d'occasionsera du ressort du citoyen qui devrarégler la facture en devises et non endinars. "La chose qui est importante, c'estque l'argent entrera dans la banque. Il y adonc une traçabilité de l'argent qui sortdu marché parallèle, pour entrer dans labanque", a affirmé Saïd Djellab. "Aumoins on aura une idée de la masse d'argentqu'on peut retirer du marché informel, pour le faire entrer dans le marchéformel", a en outre avancé le ministre. Leministre du Commerce a par ailleurs indiqué,que le gouvernement aspire avec cettedécision de voir les prix des véhiculesassemblés localement baisser. "Un desobjectifs de l'importation des véhiculesd'occasion, bien sûr avec le respect desconditions techniques, environnementaleset sécuritaires, ça va apaiser et faire pressionsur les prix des véhicules locaux", aindiqué Djellab."Ça va faire un facteur externe de pressionsur la baisse des prix", a estimé le ministre,ajoutant que "l'autre aspect est dedonner une chance aux citoyens, d'acheterun véhicule de moins de trois ans, selonses et ses moyens"