Le syndicat des pharmaciens d'officine passent à la vitesse supérieure ! Le syndicat des pharmaciens d'officine passent à la vitesse supérieure ! Tirant à plusieurs reprises, la sonnette d'alarme pour que les pouvoirspublics prennent sérieusement encharge le problème qui n'en finit pas, celuiqui consiste, la vente de médicaments noninscritsdans la liste de psychotropes, le SNAPO compte investir cette fois-ci, la rue, pour faire entendre sa voix, en organisant,pas moins de trois actions qui consiste :«une journée de protestation devant leministère de la Justice, le 20 mai prochain,puis une grève le 29 du même mois et,enfin, l'abandon définitif de la vente depsychotropes», précise un communiqué du SNAPO.En effet, les pharmaciens se retrouventface à un dilemme. D'un côté, un «videjuridique» qui les pénalise. Ce handicap,a contribué à l'enregistrement de plusieurslacunes sur le terrain et à l'emprisonnement des pharmaciens sans que ces dernierssoient impliqués. Et de l'autre, lesagressions auxquelles ils s'exposent de la part des toxicomanes au cas où ils refuseraientde leur vendre ces produits. Pour eux, il est plus qu'urgent de réviser la loide sorte à permettre au pharmacien de travaillerdans la sérénité. Le syndicat ademandé, par ailleurs, «la publicationdans le journal officiel, de toutes les listesdes médicaments classés comme substancespsychotropes, et la republication dudécret ministériel relatif au classement deces substances, dans le respect des articles2 et 3 de loi relative à la santé». «Aucunpharmacien ne doit être déféré à la Justice avant l'établissement d'une expertise juridique de classification officiel des substancespour lesquelles il est poursuivi, une expertise devant être menée par un laboratoire médico-légal, une source accréditée ou une instance professionnelle agrééereprésentant les pharmaciens», souligne le SNAPO qui a demandé également «de nepas poursuivre en justice, ni condamner les pharmaciens pour des affaires de ventede produits non classées officiellement en tant que substance psychotrope». Le syndicat a déploré, par ailleurs, les actes deviolence subis par plusieurs pharmaciens,à cause des «psychotropes destinés à unecatégorie bien particulière de malades». Tirant à plusieurs reprises, la sonnette d'alarme pour que les pouvoirspublics prennent sérieusement encharge le problème qui n'en finit pas, celuiqui consiste, la vente de médicaments noninscritsdans la liste de psychotropes, le SNAPO compte investir cette fois-ci, la rue, pour faire entendre sa voix, en organisant,pas moins de trois actions qui consiste :«une journée de protestation devant leministère de la Justice, le 20 mai prochain,puis une grève le 29 du même mois et,enfin, l'abandon définitif de la vente depsychotropes», précise un communiqué du SNAPO.En effet, les pharmaciens se retrouventface à un dilemme. D'un côté, un «videjuridique» qui les pénalise. Ce handicap,a contribué à l'enregistrement de plusieurslacunes sur le terrain et à l'emprisonnement des pharmaciens sans que ces dernierssoient impliqués. Et de l'autre, lesagressions auxquelles ils s'exposent de la part des toxicomanes au cas où ils refuseraientde leur vendre ces produits. Pour eux, il est plus qu'urgent de réviser la loide sorte à permettre au pharmacien de travaillerdans la sérénité. Le syndicat ademandé, par ailleurs, «la publicationdans le journal officiel, de toutes les listesdes médicaments classés comme substancespsychotropes, et la republication dudécret ministériel relatif au classement deces substances, dans le respect des articles2 et 3 de loi relative à la santé». «Aucunpharmacien ne doit être déféré à la Justice avant l'établissement d'une expertise juridique de classification officiel des substancespour lesquelles il est poursuivi, une expertise devant être menée par un laboratoire médico-légal, une source accréditée ou une instance professionnelle agrééereprésentant les pharmaciens», souligne le SNAPO qui a demandé également «de nepas poursuivre en justice, ni condamner les pharmaciens pour des affaires de ventede produits non classées officiellement en tant que substance psychotrope». Le syndicat a déploré, par ailleurs, les actes deviolence subis par plusieurs pharmaciens,à cause des «psychotropes destinés à unecatégorie bien particulière de malades».