Les chauffeurs de taxi crient leur ras-le-bol. Ils dénoncent une situation intenable depuisl'apparition de la pandémie virale. L'Union nationale des transporteurs algériens annonce qu'une grève n'est pas exclue le 16 de ce mois si les revendications ne sont pas satisfaites. Les chauffeurs de taxi crient leur ras-le-bol. Ils dénoncent une situation intenable depuisl'apparition de la pandémie virale. L'Union nationale des transporteurs algériens annonce qu'une grève n'est pas exclue le 16 de ce mois si les revendications ne sont pas satisfaites. L'UNTA a indiqué dans un communiqué posté sur son site que "face à la situation difficile des chauffeurs de taxi inter-wilayas et des transporteurs de bus privés, qui sont à l'arrêt, il y a eu plusieurs réunions durant lesquelles un préavis de grève a été donné aux autorités publiques pour le 16 décembre prochain". Une menace qui planait depuis des semaines après avoir écrit plusieurs correspondances au ministère du Transport pour régler la situation. En effet, l'Union des transporteurs évoque une plateforme revendicative de 8 points dans lesquels figure "une reprise de l'activité de transport des taxis et bus entre les wilayas" sachant que ces derniers sont lésés depuis des mois suite à l'apparition de l'épidémie du coronavirus. Les transporteurs privés, qui ont reçu l'assurance de recevoir une prime de compensation pour leurs pertes sont déçus par les lenteurs des procédures et parfois le retard de l'encaissement de cette prime. A cet effet, l'UNTA signale dans son communiqué que "les transporteurs privés sont conditionnés par le paiement des cotisations à la Casnos pour pouvoir recevoir cette indemnité", dont il faut préciser qu'elle se situe actuellement à 30.000 DA par mois pour chaque transporteur privé qui est en arrêt d'activité. L'Union des transporteurs demande carrément "l'annulation de cette décision ou son report à une date ultérieure" sachant le marasme des taxis et des bus face aux difficultés financières. Un aléa qui ne leur permet pas d'être à jour pour leurs cotisations sociales. Le Syndicat des transporteurs déplore également "les tracasseries administratives pour obtenir un permis de place et le nombre des personnes à transporter, sachant qu'ils sont les premiers à encourir des sanctions s'ils transportent au-delà de 2 personnes". "Il est demandé aux autorités publiques de régler cette situation et de libérer les chauffeurs de taxi de cette contrainte supplémentaire", assure l'UNTA qui estime que "l'ensemble de la corporation n'a jamais violé les protocoles de respect sanitaire comme le port de masque et la distanciation tels qu'exigés par la loi". L'UNTA a indiqué dans un communiqué posté sur son site que "face à la situation difficile des chauffeurs de taxi inter-wilayas et des transporteurs de bus privés, qui sont à l'arrêt, il y a eu plusieurs réunions durant lesquelles un préavis de grève a été donné aux autorités publiques pour le 16 décembre prochain". Une menace qui planait depuis des semaines après avoir écrit plusieurs correspondances au ministère du Transport pour régler la situation. En effet, l'Union des transporteurs évoque une plateforme revendicative de 8 points dans lesquels figure "une reprise de l'activité de transport des taxis et bus entre les wilayas" sachant que ces derniers sont lésés depuis des mois suite à l'apparition de l'épidémie du coronavirus. Les transporteurs privés, qui ont reçu l'assurance de recevoir une prime de compensation pour leurs pertes sont déçus par les lenteurs des procédures et parfois le retard de l'encaissement de cette prime. A cet effet, l'UNTA signale dans son communiqué que "les transporteurs privés sont conditionnés par le paiement des cotisations à la Casnos pour pouvoir recevoir cette indemnité", dont il faut préciser qu'elle se situe actuellement à 30.000 DA par mois pour chaque transporteur privé qui est en arrêt d'activité. L'Union des transporteurs demande carrément "l'annulation de cette décision ou son report à une date ultérieure" sachant le marasme des taxis et des bus face aux difficultés financières. Un aléa qui ne leur permet pas d'être à jour pour leurs cotisations sociales. Le Syndicat des transporteurs déplore également "les tracasseries administratives pour obtenir un permis de place et le nombre des personnes à transporter, sachant qu'ils sont les premiers à encourir des sanctions s'ils transportent au-delà de 2 personnes". "Il est demandé aux autorités publiques de régler cette situation et de libérer les chauffeurs de taxi de cette contrainte supplémentaire", assure l'UNTA qui estime que "l'ensemble de la corporation n'a jamais violé les protocoles de respect sanitaire comme le port de masque et la distanciation tels qu'exigés par la loi".