Le président de l'APC de Beni-Douala, issu du FFS, et ses trois adjoints ont démissionné hier de l'exécutif communal. La décision de ces élus, qui intervient à moins de trois mois des élections locales du 29 novembre, est liée à «des blocages administratifs», nous informe un ex-membre du conseil national du parti d'Aït Ahmed. Dans une déclaration qui a été rendue publique le jour même, les 4 membres de l'exécutif critiquent les lenteurs pour la concrétisation des projets inscrits au profit de la commune, tels que le lycée, l'hôpital et le gaz de ville. «Les efforts des élus qui ont dégagé les assiettes foncières devant recevoir les projets n'ont pas été suivis par le déblocage de l'argent pour qu'ils puissent voir le jour. Or les élus ont pris des engagements devant la population», ajoute notre source. A l'approche de la fin de leur mandat, donc à l'heure des bilans, les élus n'ont trouvé devant eux que la solution de la démission de l'exécutif pour expliquer à la population que «la balle est dans le camp de l'administration». Le président de l'APC de Beni-Douala, issu du FFS, et ses trois adjoints ont démissionné hier de l'exécutif communal. La décision de ces élus, qui intervient à moins de trois mois des élections locales du 29 novembre, est liée à «des blocages administratifs», nous informe un ex-membre du conseil national du parti d'Aït Ahmed. Dans une déclaration qui a été rendue publique le jour même, les 4 membres de l'exécutif critiquent les lenteurs pour la concrétisation des projets inscrits au profit de la commune, tels que le lycée, l'hôpital et le gaz de ville. «Les efforts des élus qui ont dégagé les assiettes foncières devant recevoir les projets n'ont pas été suivis par le déblocage de l'argent pour qu'ils puissent voir le jour. Or les élus ont pris des engagements devant la population», ajoute notre source. A l'approche de la fin de leur mandat, donc à l'heure des bilans, les élus n'ont trouvé devant eux que la solution de la démission de l'exécutif pour expliquer à la population que «la balle est dans le camp de l'administration».
