Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a esquissé, jeudi, la feuille de route que doit suivre la commission nationale du FLN de préparation des élections locale, installée jeudi. Il semble fini le temps où le choix des candidats à une élections locales ne répondait qu'à des critère subjectifs. Une méthode que bien des militants ont dénoncés dans ce qu'elle a engendré comme sentiments, notamment la partialité, l'exclusion et la marginalisation, lors de la confection des listes des candidats. Il apparaît que le secrétaire général du vieux parti s'est décidé résolument à remettre le parti dans le droit chemin. Saisissant l'opportunité que lui offrait la cérémonie d'installation de cet organe qui supervisera la préparation des locales, réunissant les cadres et des secrétaires des mouhafadates de son parti, Abdelaziz Belkhadem a instruit d'une manière ferme les structures de sa formation politique à ouvrir « le champ des candidatures aux prochaines élections locales aux compétences » en les exhortant à choisir « des candidats capables d'aider à solutionner les problèmes des citoyens ». L'orateur, qui affirmera que l'objectif de son parti est de remporter le plus grand nombre de communes possible, insistera sur la sélection des candidats qui doit être faite, selon lui, sur la base des «capacité des candidats à mobiliser les foules». Ceci, sans pour autant marginaliser les élus sortants. Dans cet ordre d'idées, le SG de l'instance exécutive du FLN, qui a estimé que «la gestion des collectivités locales est une question d'accumulation d'expériences», invitera les différents responsables du parti à renouveler leur confiance à «ces élus qui ont fait montre d'abnégation et de savoir faire dans la gestion des communes». Toutefois, M. Belkhadem veut ratisser large pour mettre tous les atouts du côté de son parti lors de cette bataille. Ainsi, il appelle à ne pas marginaliser les nouveaux candidats, compétents, intègres et qui n'ont pas une ancienneté au sein du parti à faire valoir, et à éviter dans ce cas aussi, «la partialité, l'exclusion et la marginalisation», lors de la confection des listes des candidats. Pour lui, les critères que sont «la compétence, l'intégrité et la capacité à gérer, sont autant de paramètres à prendre en charge» lors de cette opération. Le secrétaire général de l'instance exécutive souligne enfin que cet organe se réserve «le droit d'intervenir pour modifier le classement des premiers dans les listes proposées par les commissions des wilayas», dans les cas des Assemblées populaires de wilaya (APW), des communes des chefs-lieux de wilaya et des communes dépassant les 90.000 habitants. Une prérogative qui risque d'être mal perçue par les militants de la base. Et pour cause. Ils se sont toujours élevés contre cette pratique opaque de leurs dirigeants, lors des précédentes échéances électorales. Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a esquissé, jeudi, la feuille de route que doit suivre la commission nationale du FLN de préparation des élections locale, installée jeudi. Il semble fini le temps où le choix des candidats à une élections locales ne répondait qu'à des critère subjectifs. Une méthode que bien des militants ont dénoncés dans ce qu'elle a engendré comme sentiments, notamment la partialité, l'exclusion et la marginalisation, lors de la confection des listes des candidats. Il apparaît que le secrétaire général du vieux parti s'est décidé résolument à remettre le parti dans le droit chemin. Saisissant l'opportunité que lui offrait la cérémonie d'installation de cet organe qui supervisera la préparation des locales, réunissant les cadres et des secrétaires des mouhafadates de son parti, Abdelaziz Belkhadem a instruit d'une manière ferme les structures de sa formation politique à ouvrir « le champ des candidatures aux prochaines élections locales aux compétences » en les exhortant à choisir « des candidats capables d'aider à solutionner les problèmes des citoyens ». L'orateur, qui affirmera que l'objectif de son parti est de remporter le plus grand nombre de communes possible, insistera sur la sélection des candidats qui doit être faite, selon lui, sur la base des «capacité des candidats à mobiliser les foules». Ceci, sans pour autant marginaliser les élus sortants. Dans cet ordre d'idées, le SG de l'instance exécutive du FLN, qui a estimé que «la gestion des collectivités locales est une question d'accumulation d'expériences», invitera les différents responsables du parti à renouveler leur confiance à «ces élus qui ont fait montre d'abnégation et de savoir faire dans la gestion des communes». Toutefois, M. Belkhadem veut ratisser large pour mettre tous les atouts du côté de son parti lors de cette bataille. Ainsi, il appelle à ne pas marginaliser les nouveaux candidats, compétents, intègres et qui n'ont pas une ancienneté au sein du parti à faire valoir, et à éviter dans ce cas aussi, «la partialité, l'exclusion et la marginalisation», lors de la confection des listes des candidats. Pour lui, les critères que sont «la compétence, l'intégrité et la capacité à gérer, sont autant de paramètres à prendre en charge» lors de cette opération. Le secrétaire général de l'instance exécutive souligne enfin que cet organe se réserve «le droit d'intervenir pour modifier le classement des premiers dans les listes proposées par les commissions des wilayas», dans les cas des Assemblées populaires de wilaya (APW), des communes des chefs-lieux de wilaya et des communes dépassant les 90.000 habitants. Une prérogative qui risque d'être mal perçue par les militants de la base. Et pour cause. Ils se sont toujours élevés contre cette pratique opaque de leurs dirigeants, lors des précédentes échéances électorales.