La 27e session du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Union du Maghreb arabe (UMA), s'est ouverte dans la capitale marocaine. Il y sera question d'évaluation de la méthodologie suivie dans la perspective de rendre l'action maghrébine plus efficiente. La 27e session du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Union du Maghreb arabe (UMA), s'est ouverte dans la capitale marocaine. Il y sera question d'évaluation de la méthodologie suivie dans la perspective de rendre l'action maghrébine plus efficiente. Face aux défis de la globalisation et aux problèmes majeurs, telles l'émigration clandestine et la désertification, les pays du monde s'orientent de plus en plus vers les marchés communs et la complémentarité. A ce titre, les Etats maghrébins sont tenus de rattraper le temps perdu. L'espace maghrébin est appelé à adopter une architecture géoéconomique pour parer à la faiblesse des échanges intermaghrébins et aux dysfonctionnements structurels. Cette approche devient primordiale d'autant que la dynamisation de l'action maghrébine restera tributaire d'une volonté politique réelle qui répond aux aspirations des pays membres au progrès et au développement global et à leurs préoccupations face aux menaces qui guettent leur sécurité, leur stabilité et la quiétude de leurs citoyens. Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a estimé qu'un état des lieux objectif de l'action maghrébine exige de tous davantage de concertation, dans le but de conjuguer les efforts pour construire le Grand Maghreb. Dans ce contexte, il a souligné la nécessité d'adapter l'Union du Maghreb arabe (UMA) aux mutations rapides enregistrées de par le monde de manière à lui permettre de s'associer à la dynamique de rassemblement et d'intégration enclenchée par les continents et les régions. Il a ajouté que « les mutations politiques enregistrées par nos pays au cours des dernières années et les grands chantiers de reformes engagés s'inscrivent dans le cadre de ces mesures d'adaptation aux nouvelles donnes et aux changements rapides des relations internationales ». Autrement dit, la coordination des politiques économique et financière des pays de l'UMA est de nature à hâter la mise en place de la zone maghrébine de libre-échange. Ce dernier stimulera la circulation des marchandises et aidera au parachèvement des grands projets communs. De plus, il est attendu à ce que cette zone de libre-échange permette une mise en service concrète des institutions financières. Ceci en plus de favoriser la coopération dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et les fléaux sociaux. « Car à l'instar des organisations et blocs régionaux émergents à travers le monde, les pays du Maghreb arabe sont appelés à coordonner leurs positions pour faire face aux dangers communs qui menacent nos pays tels le terrorisme, l'immigration clandestine et la drogue », relève M.Messahel. Le ministre a appelé, par ailleurs, à « la concertation, la coordination et à l'échange d'idées sur les relations de l'UMA avec les différents ensembles et organisations régionaux en vue de dégager des positions unifiées avec ces partenaires et défendre les intérêts communs des peuples de la région ». Face aux défis de la globalisation et aux problèmes majeurs, telles l'émigration clandestine et la désertification, les pays du monde s'orientent de plus en plus vers les marchés communs et la complémentarité. A ce titre, les Etats maghrébins sont tenus de rattraper le temps perdu. L'espace maghrébin est appelé à adopter une architecture géoéconomique pour parer à la faiblesse des échanges intermaghrébins et aux dysfonctionnements structurels. Cette approche devient primordiale d'autant que la dynamisation de l'action maghrébine restera tributaire d'une volonté politique réelle qui répond aux aspirations des pays membres au progrès et au développement global et à leurs préoccupations face aux menaces qui guettent leur sécurité, leur stabilité et la quiétude de leurs citoyens. Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a estimé qu'un état des lieux objectif de l'action maghrébine exige de tous davantage de concertation, dans le but de conjuguer les efforts pour construire le Grand Maghreb. Dans ce contexte, il a souligné la nécessité d'adapter l'Union du Maghreb arabe (UMA) aux mutations rapides enregistrées de par le monde de manière à lui permettre de s'associer à la dynamique de rassemblement et d'intégration enclenchée par les continents et les régions. Il a ajouté que « les mutations politiques enregistrées par nos pays au cours des dernières années et les grands chantiers de reformes engagés s'inscrivent dans le cadre de ces mesures d'adaptation aux nouvelles donnes et aux changements rapides des relations internationales ». Autrement dit, la coordination des politiques économique et financière des pays de l'UMA est de nature à hâter la mise en place de la zone maghrébine de libre-échange. Ce dernier stimulera la circulation des marchandises et aidera au parachèvement des grands projets communs. De plus, il est attendu à ce que cette zone de libre-échange permette une mise en service concrète des institutions financières. Ceci en plus de favoriser la coopération dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et les fléaux sociaux. « Car à l'instar des organisations et blocs régionaux émergents à travers le monde, les pays du Maghreb arabe sont appelés à coordonner leurs positions pour faire face aux dangers communs qui menacent nos pays tels le terrorisme, l'immigration clandestine et la drogue », relève M.Messahel. Le ministre a appelé, par ailleurs, à « la concertation, la coordination et à l'échange d'idées sur les relations de l'UMA avec les différents ensembles et organisations régionaux en vue de dégager des positions unifiées avec ces partenaires et défendre les intérêts communs des peuples de la région ».