Le pot-aux-roses a été découvert il y a deux jours seulement. C'est une enquête, minutieusement menée par les services compétents d'Algérie Poste chargés de contrôler les agences de l'entreprise, qui a abouti à ces arrestations. Le pot-aux-roses a été découvert il y a deux jours seulement. C'est une enquête, minutieusement menée par les services compétents d'Algérie Poste chargés de contrôler les agences de l'entreprise, qui a abouti à ces arrestations. Plusieurs employés de l'agence d'Algérie Poste de Chéraga ont été placés sous mandat de dépôt, suite à un détournement de 30 milliards de centimes. Un trou financier jamais enregistré dans cette agence, ce qui a fait dire à certains employés qu'un détournement de cette importance devait nécessiter une complicité certaine à différents niveaux. Il est clair qu'à ce stade préliminaire de l'enquête, l'on ne peut préjuger du degré d'implication des employés placés sous mandat de dépôt, mais il est évident, au vu des premiers éléments de l'investigation que le «trou» a été sans doute l'œuvre de plus d'une personne. Pour l'heure et à en croire les informations recueillies sur place, le pot-aux-roses a été découvert il y a deux jours seulement. C'est une enquête, minutieusement menée par les services compétents d'Algérie Poste chargés de contrôler les agences de l'entreprise, qui a abouti à ces arrestations. Ces services ont découvert que la malversation ne date pas de d'hier. Les premiers détournements datent de 2001 et se sont étalés sur plusieurs années, sans attirer l'attention de la hiérarchie. Les mis en cause soutiraient apparemment des petites sommes à intervalles réguliers, croit-on savoir de même source. Ils ont fait montre d'une grande habileté, ce qui leur a permis de masquer le trou financier, de plus en plus grand, et sur cinq exercices. Ce genre de détournements, étalés dans le temps, est une pratique déjà constatée, tant au niveau des banques que dans les agences postales. Il se trouve néanmoins que la somme détournée est assez importante et est de nature à alerter les hauts responsables d'Algérie poste qui avaient, justement, misé sur un nouveau système de comptabilité censé faire échouer toute tentative d'employés indélicats. Il nous est pour l'heure impossible d'évoquer une quelconque corrélation entre l'entrée en vigueur dudit système et la découverte de ce détournement de pas moins de 30 milliards de centimes à la poste de Chéraga. Il faut dire que pareils forfaits qui ont été souvent constatés durant les années 90 et entre 2000 et 2005, étaient réduits de manière significative durant l'exercice 2007. L'affaire de Chéraga vient rappeler que le système de contrôle des sommes d'argent qui transitent par la poste reste encore à parfaire en Algérie. En attendant de connaître les tenants et aboutissants de cette scabreuse affaire, l'information fait déjà parler le tout-Chéraga. Plusieurs employés de l'agence d'Algérie Poste de Chéraga ont été placés sous mandat de dépôt, suite à un détournement de 30 milliards de centimes. Un trou financier jamais enregistré dans cette agence, ce qui a fait dire à certains employés qu'un détournement de cette importance devait nécessiter une complicité certaine à différents niveaux. Il est clair qu'à ce stade préliminaire de l'enquête, l'on ne peut préjuger du degré d'implication des employés placés sous mandat de dépôt, mais il est évident, au vu des premiers éléments de l'investigation que le «trou» a été sans doute l'œuvre de plus d'une personne. Pour l'heure et à en croire les informations recueillies sur place, le pot-aux-roses a été découvert il y a deux jours seulement. C'est une enquête, minutieusement menée par les services compétents d'Algérie Poste chargés de contrôler les agences de l'entreprise, qui a abouti à ces arrestations. Ces services ont découvert que la malversation ne date pas de d'hier. Les premiers détournements datent de 2001 et se sont étalés sur plusieurs années, sans attirer l'attention de la hiérarchie. Les mis en cause soutiraient apparemment des petites sommes à intervalles réguliers, croit-on savoir de même source. Ils ont fait montre d'une grande habileté, ce qui leur a permis de masquer le trou financier, de plus en plus grand, et sur cinq exercices. Ce genre de détournements, étalés dans le temps, est une pratique déjà constatée, tant au niveau des banques que dans les agences postales. Il se trouve néanmoins que la somme détournée est assez importante et est de nature à alerter les hauts responsables d'Algérie poste qui avaient, justement, misé sur un nouveau système de comptabilité censé faire échouer toute tentative d'employés indélicats. Il nous est pour l'heure impossible d'évoquer une quelconque corrélation entre l'entrée en vigueur dudit système et la découverte de ce détournement de pas moins de 30 milliards de centimes à la poste de Chéraga. Il faut dire que pareils forfaits qui ont été souvent constatés durant les années 90 et entre 2000 et 2005, étaient réduits de manière significative durant l'exercice 2007. L'affaire de Chéraga vient rappeler que le système de contrôle des sommes d'argent qui transitent par la poste reste encore à parfaire en Algérie. En attendant de connaître les tenants et aboutissants de cette scabreuse affaire, l'information fait déjà parler le tout-Chéraga.